l'orphelinat d'adept
La première chose que Favole remarqua sur la route, si on enlève le magnifique soleil et le manque de végétation, cest le nombre de jeunes enfants ou dadolescents errant seuls. Et elle ne comptait plus les malheureux complètement affamés et sans eau à moitié mort en chemin. Ils avait des airs dorphelins abandonnés de tous, ils lui rappelaient cruellement la petite Lylith quand elle lavait trouvée dans la foret.
Dailleurs un regard à cette dernier lui fit comprendre quelle nétait pas non plus indifférente au sort de ses enfants. Favole ne pouvait rester de glace fasse à tant de désespoir. Elle avait déjà fait arrêter plusieurs fois le convoi pour partager de leau et de la nourriture avec des malheureux.
Favole avait même pris sur elle demmener les plus faibles dans le chariot, quitte à marcher un peu avec Lylith. Très vite ces arrêts fréquent attirèrent lattention de lady Myrwen. Elle avait très bien compris ce que faisait Favole et elle même avait fait des sorts pour soulager la peine de ses malheureux.
Dés quelle la vu, Favole linterpella. Myrwen fut surprise, Favole était du genre discrète et préférait ne pas demander quoique ce soit pour éviter quon ne la remarque.
" Dame Myrwen ! Je voudrait vous parler
"
Myrwen était touchée par la détresse de la jeune veuve et de sa petite sur... même si elle se demandait si leurs visages marqués par les derniers évènements ne cachaient pas un passé encore lus triste. Myrwen avait reçu une missive pour la prévenir que leur famille avait été retrouvée massacrée, elle navait jamais trouvé le bon moment pour en parler à Favole. Le destin était dure, et pas seulement avec les Stark, les Waters avaient eu moins de chance queux.
" Je técoute Favole. "
" Ma Dame, avec votre permission... je souhaiterais recueillir ses malheureux... je sais que ce nest pas le bon moment mais, jai les bijoux que Ron mavait offert qui pourront aider pour construire une batisse pour eux et repondre à leurs besoins. Je moccuperais de les aider
Je
. Nous ne pouvons pas laisser les choses ainsi. "
édité au tour 1907 par Favole