Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

P’tain, là c’était pire que tout. V’la que la vache laiterie et l’otarie elles allaient régler leur compte. Je voulais en parler à m’sieur Demether, mais, je senti qu’il n’aurait vu que mon incompétence. Il fallait que je règle ça moi même, enfin avec mousse Renald.

La Favole avait reçu une provocation en duel, de la laiterie naturiste, sans arme tant qu’a faire et dans l’arène. Tous le monde connaît l’arène, c’est pas un endroit pour une fille comme la gueuse du nord. Surtout contre Siriane. La potiche savait changer des bébés, chanter des chansons, parler de trucs pas a mon niveau, mais là, elle allait se prendre une grosse tatane.

Au départ, j’avais rigolé comme un âne en voyant la provocation, elle manquait pas d’air la naturiste, comme si gros nénés allait accepter. Favole aussi sourit, avant d’envoyer son acceptation…

J’ai faillis mourir étranglé. Mais à quoi elle pensait cette folle ???

Elle s’imaginait qu’avec ces petit point de fille elle allait gagner contre l’autre vipère traîne taverne ??? Elle n’avait aucune chance.

Et dire que je devais veiller sur elle, si elle était blessé ou pire. Fallait que j’en parler à m’sieur Demether, lui il saurait lui faire entendre raison !
édité au tour 1964 par JimHawkins


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

La lettre était claire, Favole avait le regard un peu dans le vague. Siriane la provoquait en duel dans l’arène.
Favole eut un petit sourire, Siriane s’imaginait certainement pas qu’une « Dame » connaisse l’existence de ce lieu de perdissions ou les paris allaient bon train.
Le régent lui même allait souvent entretenir les liens fraternels et s’entraîner là-bas.

Siriane voulait que cela soit sans arme. Favole n’était qu’une chasseresse. Rien de plus. Mais s’il fallait endurer ça pour calmer Siriane, Favole n’allait pas se défiler.

Jim était adorable a vouloir l’empêcher d’y aller. Mais sa décision était prise. Une Waters ne recule pas. Favole se prépara. Elle avait survécu a 8 frères et 2 sœurs, même si son orgueil en prendrait un coups, elle devrait s’en remettre.

Il fallait aller au milieu du désert dans cette arène.

Malgré les protestations de Jim, elle fit quelque chose qui lui parut intelligent : elle paria sur la victoire de Siriane. Au moins gagnerait elle un peu d’argent.

Jim s’énerva face au résolutions de Favole qu’il trouvaient incompréhensibles et parti en courant voir Demether. Laissant Favole à ses préparations.


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Jim vint trouver Demether avec sa panique habituelle. Ce dernier resta avec son indifférence habituelle.
La « nouvelle » du jour c’était le combat Siriane-Favole.
Le hic c’est que ce n’était pas une nouvelle pour la vampire qui se préparait déjà pour aller en combat, certes dans sa tenue habituelle.

Les deux Batringues arrivèrent donc dans la case du capitaine, où Favole se préparait pour son combat. Demether savait ce que Favole faisait, et connaissait l’importance de ce combat à mains nues. Il aida Favole comme il pu pour qu’elle se prépare.

Jim, définitivement agacé, sorti de la case pour ne pas vomir de ce spectacle. Jim ne voulait pas qu’elle combatte et réciproquement Favole prenait soin de Jim autant qu’elle pouvait.
La constat était fait : ils s’aimaient bien.

Demether se retourna quand Favole finit de se préparer au niveau de la taille….

Ils parlaient de Zell lorsque Favole parla d’un coup de Renald, le bébé bastringue.

« Je voudrais l’adopter… »

Ces mots avaient résonné dans l’esprit de Demether qui se retourna sans autorisation vers la Nordiste.

« Allez vous faire voir à Dun Liath, il y a assez d’enfants là-bas ».

S’en suivit une discussion tendue sur l’éducation de Renald et qui s’occupait de lui.
Des choses futiles certes mais il ne fallait pas donner raison à quoi que ce soit à Favole.
L’hypothétique père de Renald fut la source de ce qui arriva par la suite.

Alors que les deux ennemis étaient prêts à déclencher un guerre, un flash-back surgit dans les pensée du vampire. Le silence se fit. Ses yeux devinrent encore plus vides.

« Messire Demether, vous vous sentez bien ? »

Il ne l’entendait pas. Il était maintenant perdu dans les souvenirs inconnus de son enfance, de ses premiers jours mêmes.

(HRP voir bg de Demether pour se situer)

Il n’était qu’un bébé. Il en était pleinement conscience et ses mots n’étaient que d’incompréhensibles gémissements.

Favole rentra dans son esprit avec une facilité déconcertante, sûrement à cause de l’affaiblissement du vieil acariâtre.
Elle se tenait maintenant à coté de la mère de l’enfant. Demether….
Favole le suppliait de revenir à la réalité. Il ne pouvait pas. Elle le tenait et s’accrochait à lui.
Le moine faisait comme si elle n’était pas là, comme si elle n’était qu’un songe dans un songe…
L’enfant finit par échapper au moine. Il tombe.
Favole le rattrapa de justesse.
Puis un éclair vint déchirer le ciel. La lumière révélait les visages comme au grand jour.
Demether contemplait celle qui l’avait sauvé. Le tonnerre déclencha un bruit sourd.
L’enfant ferma les yeux, et les rouvrit dans la case du capitaine.

Que s’était-il passé ?
Sa tête tournait et il leva les yeux pour demander réponse à la meilleure personne.
Nenni.
Le prêtre s’effondra lourdement au sol, inconscient, l’esprit broyé par tant de contradictions.


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Le soleil brillait déjà haut dans le ciel, le doux vent pénétrait dans la vaste case du capitaine par les murs trop fin de bambou.

Il était dans un hamac. Celui du capitaine. A cette idée il pensa de suite à Jim qui ferait une crise en le découvrant là.
Prestement, il en sortit et découvrit Favole endormie, sa tête posée sur la table de chevet.
La nuit avait du être dure pour elle aussi. Peut être avait elle veillée sur lui.

Demether la regarda, avec haine.
Il se souvint de ce qui s’était passé. Le mal de tête était désormais complètement passé.
Qui était-elle pour s’introduire dans son passé ?
Si elle n’était pas intervenue, il aurait connu la réalité de ses premières heures passées à la bibliothèque, d’où venait son étrange nom et bien d’autres choses encore.
Il se rappelait maintenant de sa mère, de son visage, de ses larmes. Qu’elle était belle.
Mais le visage craintif de Favole à ses cotés transformait le rêve en cauchemar.
Le vampire dévoila ses canines.
Non, il ne fallait pas.
Parce que c’était ce qu’elle voudrait, un jour où l’autre.
Il la regarda, plus longuement.
Elle non plus n’avait certainement pas oubliée.

Un oiseau vint se poser à la fenêtre et commença à chanter. Ce fut le moment que choisit Favole pour se réveiller doucement, regardant dans le hamac vide avec surprise puis autour d’elle pour finir par trouver Demether, planté devant elle, à la regarder avec ses yeux qui la poignardait.



édité au tour 1965 par Demether

RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Bon, j’avais fais une tenue qui ressemblait à celle du c’ptaine mais pour fille. En regardant le résultat, je me demandais si la nordiste savait ce qu’elle faisait, ça allait carrément la mouler. Avec un soupir je me dis que c’était p’être pour ça que tout l’équipage ne parlait que ça.
Quelle idée de vouloir voir deux femelles en petite tenue se foutre des tartes. Manquait plus que la boue pour que ça soit dégoûtant.

Bon, j’allais voir ou en etait m’sieur Demether, gros néné et mousse Renald. Ils n’étaient pas sortie de la case du c’ptaine, et vu que la lumière n’était pas allumée, l’idée que m’sieur Demether ait fait un bisous sanglant à la Favole, n’était pas pour me rassurer.

Le spectacle qui m’attendait derrière la porte était pire que tous mes cauchemars les plus terribles. Le hamac du c’ptaine était juste devant moi, mais pas vide.

Non mais, v’la que m’sire Demether si mettait aussi !! C’était une invasion barbare ou quoi !! On respectait plus rien dans cet équipage !! C’était la vraie débandade heureusement que le c’ptaine allait revenir, enfin j’espere.

En plus y avait de l’abus, que ça soit l’otarie ou mousse Renald, c’était déjà inadmissible, mais que ça soit m’sieur Demether qui squatte, là je trouve plus mes mots.

Bon d’accord il avait l’air mal au point, la Favole n’était pas non plus dans une forme inoubliable. Forcement a la question:
« C’est quoi c’p’tain de bordel ici !!! »

Elle me répondit un :
« chut Messire Demether a besoins de repos et Renald dors. ».

Bon après un regard de gros nénés, je compris qu’elle allait continuer à le veiller et qu’il valait mieux que je me repose. Mais vraiment, M’sieur Deemtehre il bossait pour Dame Siriane ou quoi ?

Après demain elle allait dans l’arène !!

C’était pas le moment de faire son gosse et de se laisser câliner parce que mam’zelle était une idiote trop gentille !!

Bon, demain je trouverais un plan, j’éviterais ce combat, et je ferais en sorte que plus personne ne squatte le hamac ou la cabine du c’ptaine. Sur ses bonnes pensées et malgré les gémissements de m’sieur Demether, je réussi a m’endormir.


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

La soirée avait été mouvementée. Demether s’était plongé dans des abymes de souvenirs sans en percevoir le danger. Vampire ou pas, c’était un miracle qu’ils aient pu s’en sortir tous les deux. Il s’en était fallu de peut pour que lui et Favole soit encore dans les limbes.
Favole avait du puiser dans toutes ses réserves pour réussir à ramener Demether à la réalité. Mais ses réserves l’avait rendu vulnérable à ce qui la menaçait.
Sans parler de son poignet qu’elle avait bander a la va vite. Elle s’était fait mal en rattrapant Demether dans sa chute.

Elle savait maintenant même si elle n’était pas sure d’avoir compris. Etait ce possible de naître… vampire ?
Favole regarda Demether dormir.
Que cela avait du être dur pour lui et sa mère.

Elle tressailli en ressentant le même malaise que le jour de son arrivée. Ce qui était tapi dans l’oasis l’avait senti, et lui avait fait voir quelque chose.
Elle n’en était pas sure, mais les yeux du Dragon s’étaient posés sur Penn Duick.

Elle avait du calmer Jim, toujours aussi soucieux de suivre à la ligne les directive de son capitaine et toujours aussi impuissant devant les événements. Favole aurait bien voulu mettre Demether ailleurs, mais elle n’avait pas eu la force de le porter plus loin qu’au hamac.
C’était déjà miraculeux qu’elle ait réussi à l’empêcher d’heurter le sol.

Jim avec ses grognements habituels finis par s’endormir en rêvant à son capitaine et ses aventures (peut être pas celles avec la gens féminine). Renald était déjà dans les bras de Morphée, quand Zell revint épuisé.

Favole s’en voulu mais elle le renvoya quand même avec deux missive. La vision du dragon en furie était trop présente. Penn Duick devait être prévenu au plus tôt.

Elle resta auprès de Demether le reste de la nuit, mais la fatigue l’emporta a somnoler. Quand elle réouvrit les yeux Demether était devant elle.

« Vous aller mieux Messire »


Le silence glacé et son regard répondit pour lui. Elle ouvrit la bouche, mais ne put laisser tomber qu’un simple « Veuillez me pardonner…pour hier ». Dr Livesey avait raison, Ron avait raison, même Methusaleah avait raison.

Quoiqu’elle fasse, elle ne resterait que ce qu’elle était : une femme qui ne sert a rien sauf a empirer les choses. Son attention se reporta sur Jim qui considérait la scène d’un œil endormit. C’est lui qui était dans le vrai, depuis le début.

Elle ne regarda pas Demether sortir, elle n’écouta pas Jim essayer de la réconforter, et se contenta de s’occuper de Renald.

Demether, lui en voulait, à mort, Siriane aussi, et ils n’étaient pas les seuls. Elle attendit que Jim parte faire ses corvées Elle s’accorda de faire ce qu’elle aurait du faire depuis deux ans: se laisser aller à pleurer.

Si seulement Ron n’était jamais allé avec Methusaleah à Pouceflint.



édité au tour 1965 par Favole


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Bon, M’sieur Demether il abusait sur ce coup là, mais je l’avais prévenu que la Miss gros néné c’était une calinophile indécrottable. Il avait joué, et il avait perdu.
Ben la prochaine fois au lieu de bouder il reconnaîtra que je n’dis pas que des conneries. De toute façon avoir des greluches nordistes ici… un frisson vomitif me parcouru en repensant que l’une venait nous polluer à long terme.

Bon y’avait plus urgent. J’avais la lessive à faire, et un plan à mettre sur pieds. Bon s’était tout simple. La Favole était butée, m’sieur Demether s’était braqué, M’sieur Saanne était occupé, et le reste de l’équipage attendait le combat avec trop d’impatience pour m’être utile.

C’est là que mon génial cerveau de mousse en train de faire la lessive ce mis en branle. J’devais la surveiller, donc la protéger, pour M’sieur Penn Duick mais surtout pour le c’ptaine.
Bon après la distribution du linge, bah l’idée était simple. J’ennerrais Favole voir un autre enfant en détresse, je maquillerais un chien errant ou un chat, enfin un truc en bébé. C’est une fille, ça gobe tout une fille. Dans la taverne de ma vieille j’entendais toujours les clients dire que les filles étaient des grandes goulues au point d’avaler des couleuvres.
Quand Favole se pencherait pour le ramasser, BOOOOOMMM ! Que je te l’assomme ! Que je te la ligote dans la case du c’ptaine ou elle va rester jusqu'à après le combat !

Mon plan était génial. Dommage qu’après avoir été porter les chaussettes devenues rose (un petit soucis avec la marcelle rouge de m'sieur Juune, comme il puait autant que les chaussettes, je les avais lavé ensemble, la nature avait fait le reste...)de m’sieur Juune a son garage et accepter un verre, un grand trou noir m’a frapper dans la tête. J’me souviens juste que la mer était déchaînés au point de faire chavirer un bon matelot et que m’sieur Juune me disait que c’était la faute de M’sieur Saanne et ses potions.

P’tain j’avais trop mal au crâne. Mais qu’est ce que je foutais devant chez m’sieur Saane ? La lune était déjà haute… Merdouillleeeeeuuu le combat !!!!!

J’essayais de me relever mais ma tête était pas d’accord, j’eu autant la nausée qu’à ma première fois en mer. Apres avoir délesté mon estomac, je me mis à courir vers l’arène en espérant arriver a temps pour empêcher ça !
édité au tour 1965 par JimHawkins


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Les vêtements fais pas Jim était vraiment très moulants, parfaitement huilés, Favole espérait ainsi moins souffrir des coups de Siriane.
Et si Siriane avait préparer ses ongles, comme le redoutait Jim, il y avait moins de chance qu’elle arrive a la blesser.

Jim n’était pas venu de la journée, Demether aussi, seul le message de Penn Duick avait un peu rassuré Favole. Elle s’était occupée de Renald mais malgré les rire et les jeux déjà monétaire du bambin, elle n’avait pas trouvé l’envie de sourire.



Elle écrivit la missive que le régent lui avait demandé. Mais l’envie et l’enthousiasme qui la caractérisait n’étaient plus là.


Puis elle prit le chemin de l’arène, elle avait attendu en vain Jim, et au fond d’elle l’absence du mousse l’inquiétait. Elle laissa Renald à un garde, espérant revenir en un seul morceau.

Quoiqu’il arrive, elle n’attaquerait pas. Siriane avait besoins de ca pour aller mieux, il fallait qu’elle le fasse.

L’arène était bondée, Favole n’était pas a l’aise. Mais elle était Waters, elle ne reculerait pas, elle allait être mise en pièce sous les yeux et les boutades douteuses de la foule amassée ici.
Elle se contenta d’encaisser en espérant que Cela soulage Siriane. Elle réussit a sourire avant de tomber au sol, elle avait l’impression de voir Oberyn et Novembre dans les gradin.

Puis ce fut le noir.


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Un combat de femmes qui attirait autant les foules, comme si ces faibles créatures étaient réellement capables de se battre, quelle idiotie.
J’allais quand même par curiosité et pour suivre mes noble compagnon voir ce combat. Mon sang ne fit qu’un tour. Favole était dans l’arène offrant au regard te tous ce qui me revenait de droit !!!

La honte s’abattue sur moi. Mais pour qui se prenait donc cette femelle. Déjà s’être faite violenté, mais maintenant s’afficher ainsi, en plus contre la douce damoiselle Siriane. Mais comment osait elle faire face a celle que le Régent considérait comme sa fille !

J’aurais du la massacrer avec sa famille plutôt que de la prendre comme femme !

Des que le combat serait fini, je la ramènerais au royaume pas les cheveux et je la rosserais jusqu'à ce qu’elle se souvienne des devoir d’une épouse.

Diantre ! Et cette fois que Methusaleah soit d’accord ou pas, j’allais la remettre dans le droit chemin une fois pour toute.

Je fendis la foule sans regarder la fin du combat.

J'allais recuperer ma femme et lui apprendre a se tenir en public!


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

P’tain, j’étais mort, crevé, un pirate c’est pas fait pour gambader comme ça.

Fallait que j’empêche le massacre. Mais vu les cris dans l’arène, j’arrivais trop tard. Gros néné se faisait dérouiller par la vache, fallait dire qu’elle lui donnait du file à retordre, elle cachait bien son jeu la Miss je caline et bisouille du nord, mais la laiterie avait plus d’une corde a son arc. Fallait dire qu’elle avait la haine, ça se voyait. Elle tapait furieusement la garce!! Mais elle voyait pas qu’la Favole se contentait d’encaisser ????

Mon regard se porta sur les tribunes.
Il y a avait un homme en boite de conserver qui regardait la Favole comme s’il allait la tuer. Mince, pourquoi c’était moi a qui on avait fillé la responsabilité de cette otarie.

Je le suivis quand il partit vers la sortie des combattants, j’avais pas b’soins de voir la fin du combat pour savoir comment ça aller se terminer.
Le type par contre, il m’inquiétait.

édité au tour 1966 par JimHawkins


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Siriane avait revetu pour l'occasion... enfin revetu c'est un grand mot...disons que certaines pieces de cuir cachaient les endroits stratégiques.
Elle avait relevé ses cheveux, découvrant son cou mince et sa nuque, et s'était peint le visage avec le suc d'une certaine plante, laissant des arabesques rougeatres et lui donnant une force peu commune.
Elle se loua d'etre une kalie, connaitre les propriétés botaniques avait quelques avantages...

C'est cependant les ongles propres et sans armes qu'elle se rendit à l'arene, provoquant sur son passage quelques accident.
Pas facile de zieuter les filles pour marcher dans la rue ET regarder devant soi.

Cependant, elle se ficha comme d'un gigne des regards des hommes, et c'est l'esprit tendu vers un seul but : donner sa paté à Favole, que la jeune femme partait au combat.

Le sable n'avait pas encore absorbé le sang de son amant quand elle y planta ses pieds nus. Elle avait eu de la peine à reconnaitre Dame Epouvantail, qui avait, semblait il pour une fois, choisi une tenue mettant en valeur ses formes.

La jeune femme se mit en posture de combat, les points levés, les genoux fléchis et l’esprit attentif. Elle se déplacé autour de l'otarie qui en faisait autant avec elle. Toutes deux tournoyaient sans se quitter du regard, observant et analysant la personne qui leur faisait face. Ne sachant quel instant serait le plus propice à porter un coup, elle attendit une légère inattention de Favole pour porter le premier coup.

Cette dernier détourna une légère seconde ses yeux des siens pour se fixer en arrière plan. D’un mouvement vif elle se propulsa en avant à l’aide de ses jambes, la main droite en avant afin de stabiliser la manœuvre et parer un possible coup. Elle était sur de son coup, il atteindrait sa cible sans trop de problème. A quelques centimètres de son adversaire elle tourna son buste afin de placer ses griffes en avant et frapper de toute sa dextérité sur la peau de la jeune femme, quand d’un coup sans trop comprendre elle se retrouva les deux genou dans le sable, la main droite au sol et la gauche encore levé.

Elle mit quelques secondes à réaliser la présence d’une légère douleur au bas du dos. Derrière elle l'otarie un peu dessus de cette attaque trop impulsive. Elle avait perçu le processus de son attaque dès le premier geste de cette dernière. Avant que Siriane ne parte, elle s’était décalé de deux pas sur la gauche et avait contre attaqué d’un coup de bras dans le dos. Celui-ci n’était pas donné dans le but de blesser mais de déstabiliser l’adversaire. Mais au passage le poing de Siriane avait sonné Favole, et elle semblait peiner à retrouver son équilibre.

Siriane eut un sourire, et se redressa. Favole, bien que souple, ne faisais pas le poids. Elle lanca un coup de pied retourné avec un cri de rage, et sentit avec plaisir son talon déformer la machoire de la jeune femme, qui s'étala au sol.

Sans un regard pour cette derniere, sa mission accomplie et son coeur appaisé, Siriane sorti de l'arene sous les applaudissements de la foule et les grognements des parieurs trop betes pour miser sur elle.


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Tout va bien, tout va bien, tout va bien, pas de panique, tout va bien.

P’tain mais qu’est ce qui fallait que je fasse ??? Mais qu’est ce qui fallait que je fasse ?

Je vis Demether, le combat n’était pas fini, Favole avait esquivé la vache dans son attaque et la Siriane c’était mangée le sol lourdement sous les hourra des spectateurs en délire. Cette ovation ralentie la boite de conserve, mais avec la technique N°17 de « la belette anguille » je me faufilais plus rapidement que la montagne de métal. Quand je tombais sur des pieds que je reconnaissais : M’sieur Demether !

Le c’ptaine de la qu’il était, il m’avait envoyé un signe !
Je bondis devant lui.
« M’sieur Demether ! Faut qu’on aille sauver la Favole »

Ca réponse me surpris, il voulait pas. Il lui en voulais encore pour les câlins d’hier. C’tait pas l’moment. Il faisait sa fille avec « mais non c’est pas les bisous ni les calins » et son vieux avec des « MADAME a voulu faire l'adulte en venant ici de son plein gré et se mêler des affaires des autres, MADAME se croyait forte à n'importe quelle épreuve… »

Mais il avait rien comprit, a bord de l’arrachage de ch’veux, j’essayais de lui expliquer. L’otarie était venue se faire dérouiller pour clamer la vache. Mais il s’en foutait, une horrible idée me traversa la tête. Il voulait p’tre qu’elle crever ?

Il me posa une question :
« Tu étais le premier à vouloir la voir dans cet état il y a peine une semaine et maintenant tu veux la sauver ? »

La vache, c’tait pointue comme question, il ma fallu y reflechir, mais pas trop non plus, j’avais un sauvetage d’otarie a décider. Mais la réponse était simple. Le c’ptaine .. j’etais son mousse, on m’avait donner des ordres, même s’il fallait que j’creve, j’les ferais.

Je vis trois ranger en dessous la boite de conserve lutter contre les parieurs allant chercher leur gains, Favole était a terre et la vache exultait de joie. Celle là…

Sans plus réfléchir je sautais sur la boite de conserve, canif a la main avec un : « Yaaaaaaaaaaaaaa ! »
J’entendit vaguement M’sieur Demether dire : « Contre une chevalier, Jim...tu ne sais pas tirer à l'arc…
Renart peut aller se faire voir s'il ne peut pas faire les choses lui même! »


Mais moi, j’lui enfonçait son casque sur la tête a la conserve ! Bien cramponné sur son dos ! le combat allait être rude !
édité au tour 1966 par JimHawkins


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Par tous les diables !! Qui avait éteint la lumière ?? Hum… je restais stoïque tous mes sens de chevalier en éveille. Bruit ? Mal de nez ? Noir total.. ou presque… goût de métal dans la bouche et poids sur les épaule.

J’étais donc attaqué par un gnome beuglant ou par une harpie sauvage, que mon casque tenait en retrait. Je sentais les coups redoublés, je devais essayer de me souvenir du guide à « Dédé » sur ces créatures et ce genre de situation. Je cherchais a attraper mon menton pour mieux penser, mais je ne rencontrais que le fer de mon heaume. Et les hurlement me vrillait mon cerveau male légendaire.
Apres une tentative de retirer la main la bestiole , je me souvins que mon armure, dernière mode pourtant dans la chevalerie nordique, me bloquait la rotation des bras ( normalement un bon chevalier n’attaque pas de dos !)

Bon, je revoyais dans mon esprit la page 603 du volume 7 sur les paladins de la 3e édition du guide à « Dédé ». C’était mieux que rien, dans un cris viril et puissant déstabilisant la créature je m’élançais casque devant dans l’espoir de rencontrer un arbre, ou plus certainement ici, un mur voir un malheureux spectateur pas assez rapide. La chose fut déstabiliser, suffisamment pour que je l’attrape. Elle s’accrochait a mon casque, je retirais donc les deux d’un coup.

Mais qu’avais je là ? Un moustique ? encore une de ses crapules que ma femme ramassait. Ca aussi, il fallait que je m’en occupe.
Je balançais le gamin crasseux au loin quand il abîma mon gant le beauhaume avec son canif (sacrilège)! quel sale morveux, ça se voyait bien qu’il y avait du Favole la dessous. Incapable de faire des enfants, mais encore plus d’en élever.
Le rejeton atterri plus loin, et je me rendis vers les jouteurs.
édité au tour 1966 par Ron


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

La vache, c’était un dur cette casserole. Je me relevais un peu sonné et ressautait sur lui en hurlant ! Un pirate n’abandonne jamais ! Et leur mousse encore moins!

Cette fois ci je fis l'attaque de le Belette N°9 "La belette pas contente" et le mordis sauvagement a l'oreille!


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Mais qu’était ce donc que ce brave gamin, il était si chétif que je l’avais même pris pour une fille. Avec le coups qu’il avait pris, il m’étonna de se relever aussi vite. Il va peu dire qu’il avait pas vraiment fière allure. Chancelant, grognant et créant quand il accouru vers moi. Je me saisis de mon précieux guide a Dédé édition 8 point 5 et demie cette fois. Au moment ou la crevette me plantais les quenottes dans le la petite laine qui me servait d’écharpe, je réussi a trouver l’information : « gosse des rue »

Le petit me griffait me décoiffait, me rendait presque sourd avec ses cris de pucelle en decuissage, mais je fini mon chapitre. Rapide… roublard… faible endurance mais avec une bonus en volonté.

Je repris le monstre en culotte courte par le froc en évitant ses petits poings.

Par les dieux, mais il a la rage cet enfant !! s’il était plus musclé et plus beau on aurait pu en faire un écuyer, quoique avec ses traits de jouvencelle il y a du potentiel.

J’avais beau le secouer le gosse ne lâchait pas.

« Tout doux petit, je ne sauve que la veuve et l’orpheline, alors cesse de me polluer mon espace et par respect pour ton courage nous en resterons là… »


D’après le guide le reposer aurait et un suicide, mais en tant que paladin je ne pouvait lever la main sur lui, et encore moins l’épée. Et cette idiote de Favole qui continuait a roupiller sur l’arène alors que j’avais besoins d’elle.
Cette femelle ne servait vraiment a rien !

Bon j’essayais de trouver une femme, ou un preux pour me délester de ce fardeau. J’avais une épouse a récupèrer moi.


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Apres être rentrez quelques jour au paravant du rdn avec Sirianne j'avait prit un temps pour moi seul dans la foret pour reprendre des forces. J'avais bien sur fait mon rapport à Juune et Saane et parlementer avec eux autour d'un rhum a l'orange la veille au soir.

J'étais entrain de faire du rangement dans le dolmen car les vetement trainais partout, c'étais le bordel, je ne pensais pas qu'on pouvait vivre la dedans. C'étais ainsi décidé je ne laisserai jamais plus mon dolmen au gamin et demether.

Je continuais mes affaires quand un garde arriva essouflé et m'annoça du grabuge dans l'arène. Il étais envoyer de Demether qui ne souhaita par intervenir directement par fierté.

Je courus sur le lieux en question et découvri la belette essayant de mordreu homme du nord a l'aide d. Belette fu lfinalement controler par le chevalier. Le chevalier reposa le gamin et s'approchais d'un pas franc de favole qui étais allonger au sol.

" Chevalier, halte."

Le chevalier en question se tourna vers moi, je découvri alors son identité. Ron mari de dame favole. Jim qu'en a lui ce relevai et avec un regard noir s'apretais a reattaquer. Il avait l'arc a la main.

" Belette, tu range tes dents tout de suite c'est un ordre. Les boulettes ça suffit. "

Je courru auprès de Ron et Favole et me penchit pour examiner La dame qui étais devenu mon amie.

"Monsieur c'est un honneur de vous rencontrer
-Poussez vos sale patte de la gamin, j'en ai assez d'un a corriger.
Sauf votre je suis surement plus agé que vous et je pense que le probleme n'est pas une Belette inconsciente d'attaquer un chevalier en armure mais plutot de soigner votre aimé. Puis-je vous proposer ma maison pour la soigner?" édité au tour 1966 par pennduick édité au tour 1966 par pennduick


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Demether n'avait pas bougé de sa place assise dans l'arène, au fond.
Les mains croisées devant sa bouche depuis que Jim l'avait interrompu, il avait vu ce dernier aggresser ouvertement la "boite de conserve", comme dirait le mousse.
L'arène se désertait petit à petit par les parieurs qui rentraient chez eux, contents ou non.

Seul un vampire sombre restait dans les tribunes.

Ron avait envoyé valser Jim une fois, puis deux, avec sa gestuelle typique d'un chevalier "je fais ça noblement en essayant de ne pas me salir". Cette situation ressemblait à s'y méprendre à une corrida: Jim chargeait tour après tour comme un taureau, ses petites mains en avant. Ron le toreador l'esquivait ou le renvoyait à terre sur le sable, sans pour autant utiliser son épée. Tout y était. Meme l'arène. Sauf peut etre les "olé" des spectateurs. Mais cette moquerie ouverte envers Jim l'aurait achevé.

Dans tout ce capharnaum seule Favole ne bougeait pas et pour cause, elle était complètement sonnée.

Tout ce calomnieux spectacle fut interrompu par Penn Duick. Le Korrigan avait accouru directement auprès de la Dame du nord.
Demether, lui, ne leva qu'un sourcil: "Tiens, regardez qui voilà..."
Ron et lui discutait, et malgré la sonorité de l'arène, Demether n'entendait rien.
Après quelques instants il se leva pour commencer à partir, descendant les gradins de l'intérieur lentement.


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

"Demether degnerais tu nous aider bougre d'abruti." fit Penn-duick sur un ton enerver


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Un pirate n’abandonne pas un membre de son équipage ! Je labourais sa mains avec mes dents, secoué dans tous les sens.

"VooouuuUUuuUuUUuuuus ALLllllLLlllllleEEEeezzzzzZZZz MmmmMMEeEEeeeEeEee LLLLAAAACCHHHHEEEEERRRR !!!"

Il s’arrêta de secouer grâce a l’intervention de M’sieur Penn Duick,belle diversion, même si j’aurais donné cher pour avoir mon arc. Au moins dans le doute la boite de conserve avait regarder. Mais encore tout chambouler je n epu me retenir et il reçu les restes de ma beuverie involontaire d’hier dans le visage.

Bluuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuurrrrrrpp

Ceux qui étaient encore dans la sale n’hésitaient pas à rire sous cape de la nouvelle couleur du chevalier. Il me lâcha, j’en profitais pour aller chopper la Favole en sautant dans l’arène, tant pis si je bousculais m’sieur Penn Duick au passage.

La Favole !! c’est pas le moment de dormir, t’es trop lourde pour moi A force de la secouer, j’eu une réaction. Un gémissement, mais c’était déjà ça.

Ron était aveuglé et aboyait des insultes. Il risquait de se vautrer a bouger comme ça.

« Pas la peine de parler a c’type, instinct de Belette, il est pas cool ! »

J’essayais de charger l’otarie sur mon dos, mais c’est qu’elle faisait son poids la gueuse, quand son dragonnet arriva enfin a sortir de sa cachette.
Zell n’eut pas grand mal a la foutre sur son dos. Et a déguerpir, me laissant avec d’autres problèmes a régler a savoir, la boite de conserve, et M’sieur Penn Duick qui avait pas l’air super jouasse… je cherchais des yeux la Siriane aussi, sait on jamais si elle n’était pas dans le coin a guetter son heure.
édité au tour 1966 par JimHawkins


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Cette botte n’etait pas répertorier dans le guide à « Dédé ». C’etait des plus non réglementaire de faire une bonne non inscrite dans le guide a « dédé » surtout aussi puante. Aveuglé je mis un certain temps pour trouver mon mouchoir et me débarbouiller. Les quolibets des spectateur me fit perdre ma légendaire patience. Gosse ou pas, il allait comprendre qu’il avait dépassé les bornes des limites et qu’il y avait des fessés qui se perdaient.

Et mon devoir de chevalier c’etait aussi de corrigée les petits vauriens dans son espèce. Mais ou etait encore ma diablesse de femme. Celle la quand je mettrais la main dessus…

En attendant je me mis devant le petit être et le gamin, surveillant du regard leur étrange compagnon qui n’avait pas l’air d’être intéressé par la situation.
« Je ne le répéterais qu’une fois, ou est ma femme ? Vous parliez de l’emmenez chez vous, et dans cette tenue ? »

Puis je me rendais compte de l’absurde de la situation, monsieur Juune etait une homme charmant, ces bougres avaient juste sauver ma femme et n’avaient pas encore mesurer a quel point la petite avait besoins d’être remise en place.
Je me pris à rire.
Il faut dire que quand elle daignait rester tranquille, on pourra la croire presque sage. Meme Ser Lannister avait reussi a se faire abuser par ses yeux de chatte. Comment leur en vouloir.
Toujours etait il que je comptais bien recuperer ma femme. Les prieres contre la frustration mais pour un homme marié comme moi, c'etait inadmissibe.

« Veuillez me pardonnez, nous ne partons pas sur de bonne base, je suis Ser Ron Stark, et la jeune personne qui vient de salir mon nom dans l’arène se trouve être mon indomptable épouse Dame Favole Stark. A qui ai je l’honneur ?»
édité au tour 1966 par Ron


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

J vous connais sir, je reviens de votre royaume ou votre portrait orne quelques murs du palais. POur ce qui est de votre reputation elle est toute faite ici. Je suis homme a croire ce que je vois ainsi sachez que pour l'instant mon impression ne vous donne pas bon départ.

Je m'approchais de l'homme tourni autour de lui et me posta en face de lui. J'exprimais un regard de crainte et méfiance en regardant le sir en question. depuis quand peut ton être aussi snobinard dans ses manières et mimiques.

" Tenez voici de quoi vous debarrasser des restes. ** lui tendant un bout de tisssue**
-merci

Messire Ron puis-je vous demander de nous escuser une minute je voudrais parler a ce mousse en privé?

- natuuu
-merci"

je me retourni vers le mousse, lui attrapa la ceinture et le tira plus loin.

" vient là toi! qu'a tu fait m'écreant"**criais-je que tous entende**

reprenant la conversation avec JIm son oreille en main maintenant et parlement de façon a ne pas etre entendu .

" bon bien joué, peut-etre qu'il est grand seigneur mais il reste un peignecul a mon gout.
-merci M'sieur pour une fois que vous me feliciter.
-attend c'est pas fini. On arrettes les belles paroles, place au actes.
- Ou est partie le lezard avec la Favole?
- j'crois que j'me rappelle d'lui avoir demander d'aller chez le cap'tain.
-Bon alors voila ce qu'on va faire
....."

*Je revint au coter de Sir Ron qui avait fini de s'epoumiettez et

" bon apparement Votre dame est en lieu sure dans mon dolmen, je dois y retourner pour la soigner. si cela vous plait vous me suivez?"



RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

J’écoutais attentivement M’sieur Penn Duick, mais j’avais une autre idée dans ma p’tite tête à moi. Et peut importe que m’sieur Penn Duick m’en veuille et retire ses compliments.

J’avais super mal partout, mais me souvenir de ce que l’otarie m’avait raconter sur son mari me donna le courage de me mettre devant le machin métallique. P’tain, il était vachement grand.

« Hey toi la boite de conserve !! J’te demande un duel ! Mais j’te previens, si gagne, j’veux garder l'Otarie ! Si je bats, elle s’ra qu’a moi ! »


Il s’y attendait pas a celle là ! Enfin personne ne s’y attendait en fait. Bah tant pis, c’était un super plan a la belette.

édité au tour 1967 par JimHawkins


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Diantre, que j’avais mal jugé ce preux pirates, vouloir se battre pour un animal, voilà qui était chevaleresque !
Mais vouloir se battre contre moi ? Ce jeune mal appris aurait mérité une déculotté que je suis sur son petit compagnon ne manquerait pas de faire. Laissez Favole avec un enfant et voilà ce qu’il advient. Quand j’aurais réussi a lui faire les notre, je trouverais tout de suite une nounou.

« Bien, ton courage et ta noblesse d’esprit t’honore mon petit, je suis sure qu’un jour tu fera un grand chevalier. Mais par tous les Dieux réunis, pose ton canif, sinon je serais tétanisé devant tant de fougue ! »

Ce gosse me rappelait moi a son age, prêt a tout pour des quêtes sordides sur des animaux mystiques. Je préférais l’inciter a poser son arme, si j’utilisais ma chartreuse céleste, j’avais peur de le blesser. J’enlevais mes armes et pris une petite heure pour oter mon armure, ma cote de mailles, mon armure matelassé, la petite laine de maman, ma tunique de soie, mon protege torse en cuir, et mon inseparable petit haut en coton pour eviter les coup de froids. Une petite heure apres, torse nue, en simple pantalon, je me plaça devant le jeune gosse des rues.

« Si je gagne, tu me promets e devenir mon écuyer et d’apprendre le métier de chevalier ! Je suis sûre que tu seras plus noble que beaucoup de ces rustres qui se prétendant chevalier ! »
édité au tour 1967 par Ron


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

P’tain moi l’écuyer de c’guss !!! plutôt crever ! J’était l’mousse du c’ptaine ! pas le premier troufions d’la noblesse du coin. Pour la Favole Je me mis devant la conserve en decapsulage. Je pris le temps de m’reposer, d’faire une partie de carte, d’écouter les conseil de M’sieur Penn Duick, de finir de gerber…
Quand enfin l’type était prêt, je sortis mon YAAAaaaAAaaAaAah!!!!! de guerre et sautait dessus prêt a taper le guignol qui faisait des commentaires a la con en m’évitant.

« C’est bien petit, plus haut, plus rapide, a droite, lève ta garde, tu as une ouverture ici.. attention, ton angle mort… pense a ton otarie merveilleuse !

Il nous faisait quoi ? J’étais essoufflé, a force de m’bouffer le sol, j’était écorché de partout. Je crachais. Il se marrait et continuait ses conneries.

P’tain ! j’écoutais plsu personne, j’pouvais pas décevoir mon c’ptaine.

POUR LE C’PTAINEUUUUUUUUH ::::::!

J’bondis sur lui et lui foutu un bon coup d’boule de toutes mes forces dans c’qui avait devant moi : son entrejambe. Bah là, il rigolait plus trop.. son aie était aiguë !
Bien fait pour sa tronche. Le mousse d’un c’ptaine ne s’ra jamais un truc de conserve !


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Ouille !!!!!… la botte interdite des gosses des rues… je ne pensais pas qu’il.. par les dieux que ça faisait mal... qu’il oserait.

Dans le guide à « Dédé » édition 7.5 il est dit en préface des combats page 62 qu’il est devoir de chacun de savoir trouver le point faible de son adversaire et de l’analyser afin d’en tirer parti. Mais par convention, l’un des points faible étant le même pour tout adversaire, les hommes ne sont pas admis à taper là où la descendance et le bonheur des dames se conjuguent.
Seuls les femmes et jeunes enfants sans défenses ont le droit de viser la zone en question en cas de besoins de survie ou d’extrême nécessité.

J’essayais de me relever, et dans la douleur et les efforts pour garder bonne figure, je m’agrippais à la chemise du pouilleux.

Par les dieux cette sensation, ca ressemblait à une... !!!!???
Non ce n'est pas possible! Pourtant ca avait l'air vrai...

La douleur se fut plus diffuse dans mon entrejambe et je lâchais prise, surtout qu’avec un cris d’animal outragé, le gosse me remit un coup de point dans le visage.

Quand enfin je réussis à me redresser et à récupérer ma voix, j'allais devant le gamin et ébouriffais ses cheveux. Il m’avait impressionné le bougre. Il avait gagné son otarie, il faudrait que je sache où en pêcher une, mais je lui ramènerais son prix, il l’avait bien mérité. Je remis mon armure en essayant de pas grimacer et de ne pas penser à … surtout que je n’étais pas sur de rien.


« Bravo, tu t’es bien battu, Pour un enfant cela peut passer, mais ce n’est point trop chevaleresque, en grandissant il faudra plutôt trouver d’autre méthode plus… conventionnelle. A l’occasion je t’entraînerais petit. Bon messieurs, je vous pries de m’excuser, j’ai une otarie à aller chasser ! »

J’ébouriffais de nouveau les cheveux du petit ignorant son grognement de joie à l’idée d’avoir son otarie. Je partis en quête de l’animal.


édité au tour 1967 par Ron


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Ron s'appretais a quitter l'arene en marchant comme un pinguoin, quand je n'eu qu'une envie c'est le chasser des terres tant qu'il n'auraient pas trouver cette otarie.

"Messire Ron je suis désolé de vous voir perdant. ce petit m'étonne plus de jour en jour. Je pense que vous aller sur le champ partir à la recherche de votre gage. Car en bon chevalier les dettes doivent passer de vant toutes autres affaires.

Ne vous inquiétez pas**dis-je avec un sourire au oreille** votre femme se portera pour le mieux comme il en a été le cas jusqu'a maintenant.**"par contre toi pas sure mon gaillard"pensais-je**

Je m'en retourne et son chevet desuite.

ET pour vos bijoux de famille, voici de quoi faire redescendre la sève. appliquer ça durant une heure et apres voys pourrez enfourchz votre monture sans de probleme."

**je lui donne des feuilles de plante grasse. ce qu'il ne sais pas c'est que laisser trop longtemps on attire les demengéson et quelques tâches bleuartres peuvent apparaitre.**

"Bon JIm vient donc prendre un bain, tu pu le raz d fond de calle. Et deplus j'ai dame favole a soigner alors depeche toi.

Messire Ron ce fu un plaisir"

**Penn-duick ce retourna vers la sortis et se mis acourir en direction du sud


RE: Une Vache et une otarie dans l'ARENE.

Je restais stoïque devant les deux nains qui partaient en courant, le plus vieux tirant mon futur écuyer qui l’ignorait encore. Celui si me faisait de grand signe de joie avec son majeur.
Une coutume pirate que je lui rendis avec politesse avec enthousiasme.

Dans le guide à « Dédé », il parlait des fréquentes prises d’otages des pirates, donc ma crétine de femme resterait entre leurs mains et leurs crochets jusqu'à ce que je m’acquitte de ma dette. Trouvez une otarie, j’allais envoyer mes compagnons de la justice sur le terrain.

Je pris la plante, mais l’idée de défaire a nouveau mon armure suffisait a avoir d’autre projet pour le végétal. Apres tout, j’allais remercier ces pirates de ce sauvetage en donnant en leur nom ce présent au Régent. Voilà qui devrait encourager la paix.