Je venais de quitter le régent et jattendais à présent Siriane pour retourner a bastringage. Je pris du temps pour fouiner au marcher. Je trouvis des plantes doutre terres pouvant mintéresser et jen vendis quelques une aussi. Lorsque je parlais avec le marchant celui ci me parla de Dame Ellenthiel une bonne cliente qui serait apparemment intéressé par certaine de mes plantes. Je lui expliqua que je restais en ville jusquau retour de Sirianne. Si cette derniere me cherchait quelle demande lauberge des étrangers.
Cest ainsi que je me rendis dans cette auberge ou je minstallai a une table pour écrire un lettre au capitaine ou ses second de façon a les prévenir des évènement heureux et du mon retour avec Sirianne et la venu du Régent Methus.
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Avis à la compagnie créole de bastringage,
Messieurs Juune et Saanne, vous qui êtes commandants du navire en ce moment voici ,des nouvelles du nord.
Je viens de rencontrer le bougre qui sert de capitaine ici et il a été très amicale, un vrai noblichon quoi. Sirianne étais avec moi, elle lui a demandais a quitter le royaume du nord et il a accepter. Elle souhaite faire partie de léquipage. Elle sait bien sur quelle doit voir un de vous ou le cap de veau avant de monter a bord.
Les événements de Crimson on été pardonner et celui-ci nous est laisser si on veux le foutre par dessus le bord pas de problème il le mérite.
Apres je vous passe les détails de ce politico rabougri qui ma expliqué quil étais en mission mais ce devait déviter contact avec nous
.blablabla bref vous connaissez quoi on a passer une heure a parler pour dire en gros quil étais mort et tant mieux.
En outre il vient nous rendre visite enfin espère rencontrer le cap de veau Renart pour sexcuser et proposer une alliance je pense. Quen je voit la vie et le froid ici, si alliance il y a cest eu qui vienne parler après pas moi.
Sinon moi jtraine le bon vent rentrerai quand il tournera et que Le bout de Beau de Siriane daignera me faire signe pour rentrer avec elle. Passer le bon vent a tous.
Penn-
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Alors que je finissais cette dernière
« Bah alors gamin quek tu fais la ? ta pas peur quil tarrive malheur ? »
** Ma tête etant couverte de ma capuche, lhomme ne voyait pas mon visage. Je fi en sorte que ceci continue. Cest alors que je remarqui que ma bourse dépassait de ma baoule posé sur la table avec quelque bibelos.
« Tu croit pas quil te serais plus recommandable de me suivre pour être en sécurité ? hein ? Bon aller suis moi !! mais ohhhh !!! quest-ce que cest que sa, il est riche notre gamin, peux être un peu trop même. Que dirais tu de partager cette bourse avec moi ? »
Lhomme qui se tenait alors derrière moi me fit ressentir sa lame de couteau sur la gorge.
Deguénnant doucement ma lame du long de ma jambe je vint à la poser délicatement sur ses parties génitales en lui repondant ? »
« Je dirais que de te méfier car lhabit ne fait pas le moine, que mon âge est sûrement plus avancer que le tiens et ma lame plus dangereuse que ton cure-dents. ** Je lui fi alors ressentis la présence de ma dague, il y reponda en pressant la sienne plus fortement.**
« Maintenant assis toi si tu veux une bière ou alors si quelque vampire son présent ici il goûterons a ton sang de chacal puant et à leau de mer coulant dans mes veines. »
** Je redressais la tête pour le regarder avec un grand sourire.
« Bon dac o dac pour une bière ! LILY deux brunes ma chérie »
** cria til avec un sourire montrant des dents jaunes et pourris comme nul autres.
Cest une bien charmantes serveuse qui vint nous servir et plis elle sapprochait au loin plus son charme rentrait comme un couteau dans mon cur. Elle étais jeune et ses formes non trop exagérer me rappelait la beauté des fées ou des morgantes. Mon cur battait à la cadence dépronage. Je fit un retour brusque a la raison quand LILY tapa les bieres sur la table et sadressant sur un ton ferme au gaillard étant mon invité :
« Je ne suis pas ta chérie James, donc arrête de me mappeler ainsi ou cest pas sur la table que je les pose la prochaine fois les bières. Compris »
alors quelle sadressait à ce soit disant James je remarqui le tatouages dun triskèl symbole de mon pays sur sa anche découverte . Elle commeçait a repartir quand je commencis a marmoner lhymne de notre pays
« « oh breizh !! ma bro breizh galon ma bro ar ma dih mote....
Elle se stoppa se retournit vers moi et me souria, elle commença a me parler dans ma langue maternelle, je linvita a boire un verre mais elle devait travailler, elle minvita a attendre la fermeture et de laccompagné chez elle pour parler du pays. ( voir la suite dans le post demoiselle de Penn ar bed.)