Passion et felonie

Sir_Earendur
Le ser, remit depuis peu, avait quitté sa demeure à la faveur de la nuit, vetu d'habits sombre. Il n'avait rien de plus sur lui hormis un simple poignard. Se faufilant à travers la ville, le plus discretement possible, il se rapprocha des ecuries et resta pres de celle cin à l'affut.

Les heures passerent et un homme ariva, comptant des pieces d'or, recette d'une activitée des plus douteuse. Celui ci penetra dans les ecuries. C'etais le moment. Le Lord s'elança sur quelques mettres decouvert et penetra dans l'ecurie. Sa cible ne lui faisait pas face. Prenant le couteau entre ses doigt il s'approcha doucement, arivant derriere Iacchos...attention...il bondit sur lui, plaquant sa main gauche sur son visage tandis que la lame se possait sur son cou, commançant à former une plaie fine, ne saignant que tres peu...


"Cela est pour dame Siriane..."

La victime fit lacher prise à son agresseur, lui envoyant un puissant coup de genou dans les...enfin, tout le monde aura compris. Le poignard vola et le lord recula de quelque pas, tandis que son adversaire pouvait voir son visage. Reprenant son souffle, Eärendur se redressa et fonça sur son adversaire, enchainant de puissant coup qui mirrent son opposant à terre

"Et cela c'est pour moi..."

Iacchos perdait connaisance. Le sang coulait de son visage meurtri, tachant peu à peu ses vetements. Eärendur appela, de façon à etre entendu

"A L'AIDE! A LA GARDE! A L'AGRESSEUR!"
édité au tour 2011 par SirEarendur

DECET IMPERATOREM STANTEM MORI

RE: Passion et felonie

Ellenthiel
Ellen avait eu une journée pénible et elle avait promis a Iacchos de passer dans la soirée pour s'occuper de Suie, sa pouliche qu'il lui avait offerte quelques temps plutôt, il fallait avouer que c'était aussi une excuse pour pouvoir se détendre avec son ami après une grosse journée.
C'était donc tranquillement qu'elle se dirigeait vers les écuries lorsqu'elle entendit un hurlement, la jeune médecin se mit a courir, sa trousse de premier secours serrée contre elle (car les deux seules sorties qu'elle a fait avec lui se sont soldées par des blessures plus ou moins grave).
La seule chose qu'elle vit, c'était Iacchos au sol, elle se précipita vers lui et pris son visage entre ses mains
-"Iacchos? Iacchos tu m'entends? Qu'est-ce que tu as?"
Elle l'examina rapidement, ses blessures superficielles ne pouvaient pas être à l'origine de son état... non... c'était autre chose... une réaction rapide... du poison? La jeune femme sembla s'apercevoir qu'ils n'étaient pas seuls, elle se retourna rageusement vers l'autre homme.
-"Que lui avez vous fait?..."
Elle plissa les yeux...
-"Earendur?..."
Non, ce n'était pas possible... ne pas le reconnaître... lui... il a tellement changé... Iacchos frémit, la médecin réagit au quart de tour, elle chercha dans sa trousse, elle n'avait qu'un simple antidote mais ne sachant pas le poison utilisé elle hésita, non il ne peut pas être dans cet état pour une simple blessure. Elle prit l'antidote et lui fit boire le tout. Elle l'allongea avec précaution sur le sol, pris sa main dans la sienne et regarda Earendur en attendant des explications.


RE: Passion et felonie

La nuit était tombée, et la journée n’avait pas été si mauvaise que cela au final pour Iacchos, même si Siriane était toujours en prison et son avenir encore incertain.

Rentrant dans les écuries, où il espérait y retrouver sous peu la jeune et jolie Ellenthiel pour sa leçon d’équitation, le dresseur de chevaux était quelque peu perdu dans ces idées, rêvassant à la soirée qui l’attendait avec la jeune femme. Néanmoins, alors qu’il approchait du troisième box il senti une odeur étrange, une odeur qui n’était pas habituel dans l’écurie, et qui ne lui semblait guère agréable. Iacchos pensa qu’il s’agissait sans nul doute de celle d’une personne qui été passé peu avant.

C’est à ce moment là précis qu’il senti une personne bondir sur lui. Souhaitant éviter un geste de brusque de riposte, qui aurait risqué de blesser ou d’assommer son assaillant, de peur qu’il s’agisse de la demoiselle qu’il attendait si impatiemment (« d‘ailleurs qui cela pouvait-il être d’autre à une heure pareil dans les écuries » pensa Iacchos), le jeune homme se laissa faire.

Mais, c’est alors que notre jeune et valeureux héro (oui c’est le gentil pour une fois Iacchos alors c’est lui le héro de l’histoire ^^) senti une main d’homme se plaquait sur son visage et la lame d’une dague venir lui chatouiller la gorge, avec la douce phrase :


"Cela est pour dame Siriane..."

Comme c’est étrange pensa d’abord le jeune homme, Siriane m’envoie comme cadeau un homme, pourtant elle devrait savoir depuis le temps que je préfère les femmes…

D’un mouvement rapide et précis, le dresseur qui n’avait rien perdu de ses réflexes d’assassin se dégagea sans aucun mal du malotru qui avait pris place sur lui, lui rappelant les joies des faiblesses physiques de la gente masculine.

C’est alors que Iacchos reconnu son pathétique agresseur, il s’agissait de l’ancienne demi lopette d’elfe Earendur, qui avait pensé qu’en devenant un humain cela ferait de lui un homme… pathétique histoire en somme…

C’est à ce moment là que Iacchos se mit à rire intérieurement. Son plan avait fonctionné, cela avait demandé du temps mais la lopette avait enfin craqué, et en voulant se comporter comme un homme avait commis une erreur qui allait le conduire à sa perte.

En effet, cela faisait maintenant un long moment que Iacchos souhaitait se débarrasser définitivement de ce cher Earendur, et cela pour des raisons purement stratégiques. Néanmoins, parfaitement conscient que la demi lopette bénéficiait à ce moment là d’une très bonne réputation au sein du Royaume des Sables, Iacchos décida de ne pas l’attaquer de front, et de forcer son adversaire à omettre la première erreur en l’attaquant.

Pour ce faire, il a tout d’abord accepté un superbe combat en arène qu’Iacchos a fait exprès de perdre pour faire plaisir à Ellenthiel qui était l’être auquel son adversaire semblait tenir énormément. Une fois cette première étape fini, Iacchos entama de suite la seconde étape, en se rapprochant d’Ellenthiel, et cela dans un double but, d’une part de rendre la demi lopette fout de jalousie, et d’autre part rendre suffisamment jalouse Siriane afin qu’elle manipule celui-ci de son coté pour le pousser à venir m’attaquer afin de se venger de Iacchos.

Une fois tous les éléments en place il ne suffisait plus qu’attendre que la demi lopette se transforme enfin en homme pour causer sa perte et venir attaquer notre pauvre et innocent dresseur, qui n’avait rien fait de mal au final que de se montrer courtois avec la Dame Ellenthiel. Et ce jour était enfin arrivé ! Au moment où Iacchos commençait à désespérer, et pensait à mettre en œuvre l’étape numéro 3 de son plan machiavélique, Earendur c’était enfin réveillé !

Ce plan était vraiment parfait au final, à un imprévu près, se dit Iacchos, en repensant à Ellenthiel…

Iacchos se demanda alors rapidement ce qu’il convenait le mieux de faire. Si il se défendait sérieusement, son adversaire n’avait aucune chance de s’en sortir, mais qui voudrait croire que le Ser Earendur est venu dans son étable l’agresser afin de le tuer avec une dague ? Jamais personne ne croirait une telle histoire, et même si les gens le croyaient un doute subsisterait toujours dans leur esprit sur sa véritable innocence…

Une seule solution s’ouvrait alors à Iacchos : Jouer la carte du mort ! Mais en serrant son poing pour faire mine de se défendre le jeune homme se rendit compte qu’il avait du mal à le bouger. Une fraction de seconde suffit à l’ancien assassin pour comprendre que la dague avec laquelle il s’était fait chatouiller le cou devait être empoisonné.

Cela était très fâcheux pensa Iacchos, car sachant pertinemment que le poison ne pourrait tuer ce qui vivait en lui, son vrai visage risquait d’apparaître au grand jour… Que faire alors? Se laissez battre et courir le risque d’être démasqué, ou mettre une raclée à son adversaire et risqué de passer pour le vilain méchant ?

Priant pour que sa jeune médecin favorite ne soit pas trop en retard et puisse vite lui venir en le mettant à l’abri des regards indiscrets, Iacchos prit le risque de se laisser battre… après tout pour arriver à ses fin il faut savoir prendre des risques…

Voyant son adversaire se mettre à foncer vers lui, avec au tant de grâce et d’agilité qu’un labrador obèse, Iacchos contracta comme il pu les muscles qui n’étaient pas encore engourdit par la drogue afin d’encaisser les coups de la demi lopette, qui tapait avec autant de force qu’une jeune jouvencelle. Après quelques coups, Iacchos pris le parti de se laisser tomber en arrière, tombant au sol et faisant le mort, pensant que l’orgueil de son adversaire lui ferait sans nul doute croire qu’il s’était écroulé sous ces coups et qu’il s’en arrêterait là.

Entendant encore ce qui se passait autour de lui, Iacchos se dit intérieurement qu’il avait vu juste en entendant Earendur appeler à l’aide, voulant sans nul doute faire croire à un agresseur tiers, et pensant que son poison me tuerai.

Par chance pour le jeune Iacchos, la première personne à arriver à ces cotés fût la jeune et jolie Ellenthiel. Entendant qu’elle l’appelait, le jeune dresseur préféra ne pas répondre afin d’une part d’éviter que l’autre abruti d’Earendur comprenne la supercherie et risquerait qu’il s’en prenne à la jeune femme pour la faire taire, et d’autre part que la jeune médecin l’emmène rapidement à l’infirmerie pour le soigner mais surtout pour le mettre à l’abri des regards indiscrets…




RE: Passion et felonie

Les Experts: Royaume du Nord

(Bon, pour se mettre dans l'ambiance ... [url] http://www.youtube.com/watch?v=3wQMw-ajgag [/url] )

La guerre était enfin fini ... Gwendir et Cellendhyl s'était retrouve dans une taverne pour discuter et boire un peu (et Gwendir, pour trouver une jolie fille par la même occasion). Mais, pour changer, une bagarre avait éclate (a croire que Gwendir les attirait) et ils s'étaient retrouves, tout penaud, a l'extérieur ...
"-Gwendir ... Tu fais chier avec tes bagarres ...
-Mais c'est pas ma faute ! L'autre était en train de gueuler sur la fille ...
-Ben, la prochaine fois, tu ...
-A L'AIDE! A LA GARDE! A L'AGRESSEUR!"
Les deux compères se lancèrent un regard interrogateur avant de s'élancer vers les lieux des cris ... Où ils trouvèrent deux hommes, l'un debout, habille en noir, de manière assez étrange ... l'autre au sol, avec une jeune femme penche sur lui ...
"-Qu'est ce qui se passe ici ?"
La jeune femme se retourna et il put voir le visage qu'il connaissait bien, celui d'Ellenthiel.
"- Cellendhyl ! Iacchos a quelques entailles, rien de grave, mais il a sûrement été empoisonné, il ne serait pas dans cet état pour de simples coupures..."
Des gardes commencèrent a affluer mais, remarquant Cellendhyl, attendirent leurs ordres. Ce dernier s'approcha de l'autre homme qui n'avait pas bouge et scruta son visage ... Earendur ?!
"-Qu'est ce que vous faites la, Earendur ?"
Ce dernier allait répondre quand Gwendir appela Cell' ...
"-J'ai trouve une dague avec du sang dessus ... regarde ... le sang a coule doucement dessus et se retrouve tout le long de la lame ... c'est donc que l'agresseur a pris son temps, sinon, l'on ne verrait pas la trace des gouttes. D'ailleurs, regardez Hora... euh, Cellendhyl, on retrouve ici des traces de bagarre et la victime porte un long sillon de sang le long du cou ... le genre de blessure que l'on ne fait pas pendant une bagarre mais plutôt lorsque l'on prends quelqu'un par surprise ... J'en déduis donc que quelqu'un a pris par surprise, Ser Iacchos, ce dernier s'est démené et a fait voler le poignard. L'autre, voyant que la situation lui échappait, a utilise du poison.
-Bien joue ..."
Cellendhyl se releva.
"- Je veux que deux gardes accompagnent Dame Ellenthiel et l'aide a amener Iacchos a l'infirmerie ... Quatre gardes surveilleront sa chambre. Je veux aussi que quatre gardes accompagnent Earendur chez lui. Earendur, en tant que principal suspect, vous allez être assigne a résidence le temps que ser Iacchos se réveille et que nous obtenions sa version des faits. A ce moment la, nous prendrons la votre. Quelque chose a dire ?"


RE: Passion et felonie

Ellenthiel
Ellenthiel attendait la réponse du Lord quand elle senti la main de l'écuyer se refroidir, elle pâlit, elle savait ce qu'il se passait, elle n'avait pas besoin de baisser les yeux pour voir que la main du jeune homme avait changée de couleur
La médecin sursauta légèrement en entendant Cellendhyl parler (car pas besoin de se retourner pour reconnaître sa voix)
-"Cellendhyl ! Iacchos a quelques entailles, rien de grave, mais il a sûrement été empoisonné, il ne serait pas dans cet état pour de simples coupures..."
Il fallait faire vite, elle profita que tout le monde essaye de deviner ce qu'il s'était passé pour cacher comme elle pouvait le bras d'Iacchos puis se leva
-le temps que ser Iacchos se réveille et que nous obtenions sa version des faits. A ce moment la, nous prendrons la votre. Quelque chose a dire ?"
Ellen n'avait rien écouté de ce qu'il c'était passée, trop concentrée sur ce qu'elle faisait
- Ce n'est pas le temps de bavarder, j'ai besoin qu'on l'apporte de suite à l'infirmerie et le plus vite possible!"
Elle avait a peine fini sa phrase qu'un garde l'avait pris sur son épaule, elle lui fit signe et ils prirent la direction de l'infirmerie en courant. Une fois arrivés, elle le fit mettre dans la plus tranquille, elle congédia le garde lui disant d'attendre a la porte et de n'entrer sous aucun prétexte, et demanda a une infirmière de lui apporter le meilleur antidote en leur possession ainsi qu'un calmant. Même si elle savait que ça ne ferait probablement pas effet.


RE: Passion et felonie

Sir_Earendur
Le Ser s'etait adossé à un mur, se remetant doucement du coup qu'il avait reçu en plein dans sa virilitée...c'etait des plus douloureux. La première sur place fut Dame Ellenthiel...elle n'etait vraiment la personne que qu'il voulait voir debarquer...quoi qu'il en soit elle prefera se pencher sur le sort de Iacchos...cela ne l'etona guerre et il poussa un soupir de consternation face à l'attitude de la jeune femme. Deux autres personne debarquerent...dont le sympathique Cellendhyl

"Mais qui voilà...le joyeux heros de la guerre. J'esperais bien que arriveriez vite"

Il se sentait plutot confiant...mais la brute accompagnant le general semblait des plus perspicaces. Le lord perdit un peu de sa confience en lui, faisant tout de même en sorte de ne laisser rien transparaitre

"Ne vous inquietez pas, je ne quitterais pas mes quartiers. Quand à lui vous fairiez mieux de lui trouver une cellule"

édité au tour 2012 par SirEarendur

DECET IMPERATOREM STANTEM MORI

RE: Passion et felonie

Le corps de Iacchos se faisait de plus en plus raid. Perdant toute sensation de touché peu après l’arrivée d’Ellenthiel à ses cotés dans l’écuries, il finit par perdre connaissance pour de bon lorsque Ser Cellendhyl arriva à son tour dans l’étable.

La suite fut un combat interne, sentant cette chose qui sommeillait en lui se réveillait et lutter contre le poison, Iacchos n’était plus maître de son corps. Devant accepter de laisser place à ce monstre afin que son corps puisse se purifier du poison il devait prendre garde de ne pas lui laisse trop de pouvoir sans quoi il risquait de perdre définitivement le contrôle de son corps.

Ce combat lui sembla durer une éternité, mais après presque 12 heures d’un profond coma le jeune homme senti quelque chose de doux et chaud sur son front. Reprenant lentement ces esprits, il trouva la force d’entre ouvrir ces yeux, et le bonheur de voir la jolie Ellenthiel l’embrasser tendrement sur le front.

Esquissant un léger sourire en guise de remerciement, le dresseur était conscient qu’il était encore loin d’avoir repris toutes ces forces et replongea doucement dans un léger sommeil afin de reprendre les forces que l’appel au monstre lui avait couté.


RE: Passion et felonie

Suite des experts: Royaume du Nord

Cellendhyl entra dans le "laboratoire": une grande piece au mur blanc pourvu de plusieurs tables. Certains semblaient travailler a l'elaboration pour le royaume du nord d'armes secretes merveilleuse tels que des bom ... de nouvelles epees, d'autres a des gilets pare ... des armures ultra resistantes. Mais ce qui interessait Cellendhyl, c'etait les indices de l'enquete en cours. Gwendir s'approcha de lui, vetu d'une blouse blanche immacule.
"-Bienvenue au "Laboratoire" Cell' ! C'est ici que se rassemblent les plus grands esprits du royaume du nord afin de travailler tranquillement. Enfile cette blouse et suis moi."
Cellendhyl obeit sans rien dire et suivit Gwendir qui se dirigeait vers une table sur laquelle trois pasteques se tenaient fierement. Les deux premieres portait deux marques rouges chacunes, separees d'une distance rigoureusement egale. Sur la table se trouvait aussi une dague semblable a la piece a conviction.
"-Bien ... ces deux premieres pasteques sont une reproduction du visage de Iacchos. Les deux marques signalent les extremites de son entaille au cou. Nous allons faire une simulation. Tout d'abords, la bagarre. Je vais entailler la pasteque et relier les deux marques rouges de maniere rapide, adapte a une bagarre.
Gwendir s'executa, laissant une entaille profonde.
-Comme tu peux le constater, l'entaille est profonde, dissemblable de celle de Iacchos. Maintenant, regarde ...
Il se placa desormais derriere la seconde pasteque et fit courir la lame entre les deux extremites d'une maniere plus lente et douce. Du jus de pasteque coula le long de la lame, contrairement a la premiere fois où le couteau etait relativement propre.
-Cette entaille, par contre, est legere et correspond plus a celle que porte la victime. De plus, comme tu peux le constater, le jus a coule sur la lame. L'agresseur a donc fait courir doucement la lame de maniere similaire sur la victime.
-Bien ... des traces de poison ?
-Oui, mais c'est un poison inconnu. Il ne figure pas dans le fichier info... dans les parchemins dont nous disposons.
-Des empreintes sur le couteau ?
-Oui, mais comme on ne sait pas ce que c'est que des empreintes digitales ni comment les relever, ca ne sert a rien.
-Je vois ... a ton avis, c'est Earendur ?
-Pas impossible ... mais pas certain.
-Je vois. Il va donc falloir trouver a qui appartient la dague pour retrouver l'agresseur.
-Exact.
- ... et la troisieme pasteque ?
-Je vais te montrer. Mets ces lunettes de protection. Je vais approcher une flamme de cette poussiere magique que l'on appelle poudre et dont la pasteque est remplie. Eloigne toi"
Cellendhyl s'executa et attendit la reaction. Il ne tarda pas a etre couvert de pasteque. Les gens du "Laboratoire" s'arreterent, regarderent Gwendir et applaudirent avant de se remettre au travail. Ben ouais, c'est du serieux quand meme, le "Laboratoire" ... Gwendir reprit.
"-Donc, la troisieme pasteque, c'etait juste pour le plaisir... "

(HRP: le coup de la troisieme pasteque, c'est un hommage a ces merveilleux scientifiques que sont les gens de brainiac ... ci joint, un petit lien pour admirer leur fantastique travail. [url] http://youtube.com/watch?v=m55kgyApYrY [/url] )


RE: Passion et felonie

Ellenthiel
Ellenthiel observait Iacchos de sa chaise, il était agité et pas loin de la moitie de son corps avait virée au noir,...
Un frisson parcouru colonne vertébrale de la jeune femme quand elle se rappela ce qu'il c'était passé la dernière fois que ça lui était arrive... elle serra la fiole contenant le calment dans sa main... fallait-il l'utiliser? ... elle se leva et s'assit sur le lit... elle allait lui verser quelques gouttes du contenu dans la bouche mais... elle se ravisa,
"et si le calment ne faisait effet que sur Iacchos?"
Elle imaginait la scène si ça arrivait... mais elle lui faisait confiance, après tout, la dernière fois ça c'était bien termine... au pire, il y avait un garde devant la porte...
La jeune femme resta un moment à le regarder fixement, pour voir si une de ses réactions différait de celles de la dernière fois puis soupira
" Il faut vraiment que je me calme... ça ne sert a rien de le surveiller comme ça à part me rendre folle..."
La médecin se leva et déposa un baiser sur le front de son ami, ce qui sembla avoir pour effet de le faire réagir un peu, en tout cas, Iacchos semblait un peu plus serein, ou alors c'était elle qui délirait...
Elle rapprocha sa chaise du lit, s'y installa et pris un petit tas de documents a lire en attendant qu'il revienne a lui.


RE: Passion et felonie

en parallèle dans le temple ( car les experts c'est bien deux enquêtes parallèles sur un épisode)


A peine rentré de ce cauchemar ou j’avais du errer avec l’âme de ces forbans malodorants, j’avais encore le parchemin en tête.
Comment etait ce possible, mon mentor, mon presque père, avec ma femme…
J’essayais de faire abstraction, Dame Favole, contrairement au rumeur etait vivante, et comme à son habitude en vadrouille.
Je n’avais pas encore commencer mes prières que je sentis un picotement derrière ma tête.

« Aaiieuuuuu, saletés de moustiques, avec la neige, ils ne devraient pas survivre ! »

En me retournant je vis ser Magnus, avec un chandelier dans le temple … et l’autre main une dague a la couleurs peu rassurante.
Il venait de me frapper avec ce tout petit canif.

Odeur étrange, texture noirâtre, picotement sur la langue avec gout metalique… sans avoir a vérifier, je savais qu’on avait affaire a la page 567 du volume 5 de l’édition 6 du guide à dédé, chapitre sur les poison en tout genre.

Ce geste confirmait mes craintes, s’il n’avait pas lutiné ma femme, il avait certainement eu de mauvaises pensées…
Que tout le monde soit jaloux de me femme, c’etait normal, je n’avais pas mis trois ans de quête pour me trouver un thon. Mais qu’on me frapper pour aller abuser de ses sentiments de jeunes fille au foyer désespérée… ça non !

Je pris la première arme qui passait ( car depuis mon retour des morts, je n’etais seulement, pour le plus grand plaisir de ces dames, nu comme un vers, mais je n’avais pas d’arme sur moi) un chandelier…

« Tu veux jouer a ça, félon, faux père, cocufieur !!!! »

Un duel acharné entre gens de religion commença dans le temple, chandelier, coupe de fruit et leur contenue, cire, suaire, de parchemin…
Un action terrifiante dont le ralentie etait bien la vitesse réelle…


A ce train là dans 2 semaines nous aurons un perdant et un mari vengé !
Si le poison ne m’emportait pas avant.
édité au tour 2013 par Ron