Oyez Oyez

*** Une humaine rentre dans la taverne et bien prononce d'une voix forte et claire ***

Oyez Oyez brave gens,

Je suis Sylonis, menestrelle qui voyage aux grés du vent et de mon humeur. Je suis malheureusement en manque d'inspiration depuis plusieurs lunes maintenant.

Je vous lance donc un appel à vous peuples du désert. Il m'est venu aux oreilles que grande est la prose de certain(e)s personnes dans ce désert.

Je vous laisse 1 an pour monter une piece comprenant divers acteurs, afin d'augmenter mon répertoire de piece de théatre par vos propres histoires.
Sachant que les temps sont dur pour tous, sachez que je saurai récompensé les plus belles pièces et spectacles.

A vos plumes mes chers amis, et que votre imagination fasse naitre des histoires aussi diverses et pationnantes que vos prédécesseurs ont su le faire avec "le rond de cuir".


**L'humaine repars alors s'assoir a une table en commandant une bière fraiche et voir comment les passants et habitués de l'auberge réagissent à son appel.**

RE: Oyez Oyez

Depuis des années maintenant, Aerionil avait abandonné ses carnets de poésie,

Il avait erré toutes ces années sans jamais plus ecrire.

Aerionil s'approcha de la menestrelle

"Comme toi dame Sylonis, j'ai perdu ma muse...
Mais ton appel a fait revivre en moi des périodes oubliées et heureuses ou l'encre coulait à flot!
Monter une comédie sans aucun doute m'amuse,
Aussi, je viens de décider à l'instant de me mettre au boulot!"

Sur ces quelques vers maladroits, l'elfe s'éloigna la tête en l'air, un sourire se dessinait sur son visage. édité au tour 1361 par Aerionil édité au tour 1361 par Aerionil


RE: Oyez Oyez


Un homme revint quelques temps plus atrd à l'auberge, portant quelques affiches.
Il en tendit une à Sylonis, et en planta au clou, des dizaines partout:

"Il étais une fois, une idée bien tordue.
Dans un grand désert, gouvernés par des Dieux, vivaient des chauves-souris.
Animal vorace, et de peu de vertue, elles vivotaient, sucant le sang des betes.
Certaines embrassaient de grandes carrieres, mues par de vastes desseins,
D'autres, volages et paresseuses, se laissaient aller, parasites acidues.

Tuant leurs proies, et vivant pour la mort, elle apprirent rapidement à cotoyer la faux.
Faisant la connaissance du Seigneur d'Outre-Tombe, elle s'en firent une idole.
Devant le faucheur d'âmes, l'une d'elle tint à peu près ces fadaises:

«Ô Grand Chemosh, nous qui sommes sans maitre, demandons allégance,
En échange nous t'offrons, notre grande incompétence.»
Chemosh, attendri, leurs offrit sa pitié, et les chauves-sourie, s'en virent récompensées.

Elles prosperent quelques temps, fondant lignées, pondant marmots; mais perverties qu'elles sont, , de leurs longues stalagtites, elles finirent par chuter.
Haïssant L'Astre du jour, bourreau de leur supplice, elle tinrent concilibules, pour le mettre à bat.
Dans leurs sombres retraites, caves humides, et fosses putrides, elles mirent au point ensembles, leur stratégie sordide.
De son rayonnant autel, le Dieu dever sombrer, pour que Tenebres et haine, viennent ce monde infester.

Ainsi fut fait. Tout se passa autant que mal se peut, et les vampires des nuits, en furent tres satisfaites.
Elles fondirent une famille, qui chuta rapidement, lorsque l'une d'entres elles, chanta ce boniement:

«- Mes soeurs, depuis trop longtemps, nous vénérons Chemosh, le temps est venue d'avoir notre propre maitre.»

Elles s'inventerent alors, un dogme des plus cocaces, avec un dieu vampire, on ne peut plus fantasque.
De par leurs volontés, ces ailées peu locaces, créerent ainsi un dieu, à l'image de leur race.
Sur quelques parchemins, son destin est scellé, si elles les rassemblaient, viendrait funeste destin.

Mais de cette légende la fin n'est pas écrite, l'espoir est encore là, à vous de le faire vivre.
Imaginez donc, une fin plus juteuse, dont la morale finale, s'annoncerai plus heureuse:

«Il mourrut honteux et nu aucun infant»."


RE: Oyez Oyez

Sylonis était surprise, après un an d'attente dans l'espoir de nouvelles pieces, histoires et oeuvres pour sa harpe, seul un participant proposait une histoire qui se rapportait au désert.

Qu'il en soit ainsi si tel est votre lassitude peuple du désert, je respecterai votre silence.

** S'approchant de Finrod, elle lui serra la main, pratique masculine qu'elle voyait souvent pratiquer autour d'elle. **
Puis elle dit :
Venez avec moi cher Finrod, nous avons à parler vous avez été le seul a me proposer une oeuvre afin de remplir mon répertoire désespérement vide en ces temps difficile et je vous remercie chaudement.
Je suis donc près à vous achetez votre oeuvre, allons donc discuter en privée de ces histoires d'argent, elles ne concernent personnes d'autre que nous.


Finissant sa choppe à la taverne, elle monta dans sa chambre, attendant que Finrod la rejoigne.


RE: Oyez Oyez

Interloqué, l'elfe se leva pour se courber devant la Menestrelle, et accepta sa main qu'il prit avec douceur.

-"Ma Dame, vos compliments me laissent pantoi, je n'ai pris connaissance de votre appel que tardivement, j'ai fais du mieux que je pouvais pour rendre à ces lieux un aspect culturel que le temps et les guerres ont éffacés. Je ne pensait pas à vendre ma prose et mes vers à vrai dire, grand doit etre votre besoin."

Ceci dit, l'elfe suivi la menestrelle à l'étage pour écouter sa requête. édité au tour 1373 par Finrod édité au tour 1373 par Finrod


RE: Oyez Oyez

**Un vieux nain sentant l'alcool a plein nez s'interposa quelques secondes :

-Euh, attendez, on a un barde qui devrait bientot vous proposer une piece... en theorie... voila voila...

**Puis il reparti aussi vite qu'il etait arrivé...


RE: Oyez Oyez

A Nainporte un apprenti s'affairait, dans le plus grand secret a écrire uen histoire qui le priverait certainement de biere durant de long mois... Mais un jour..oui un jour le monde reconnaitrait son talent...peut-etre!


RE: Oyez Oyez

Sylonis avait déja donné quelques ordres brefs et les livraisons étaient déja en route vers le Royaume des sables

Bonjour maitre nain, j'ai déja payé avec une partie de mes revenus messire Finrod en matériel dont il semblait frillant, pour sa prose et son verbe, mais je suis toute ouie pour écouter les dire de vos bardes.
Puisse vos ancètres etre fier de vous et vous inspirez dans votre prose.

Le peuple du désert semble se reveiller bien que tardivement pour ma proposition, mais comme le dit le dicton d'un vieux sage, "mieux vaut tard que jamais", peut etre celui ci est il de circonstance.
J'écouterai avec joie tous les pretendants suivant et je ferai mon choix apres avec les maigres ressources qu'il me reste, il faudra malheureusement les partagés en fonction des personnes se presentant je pense Sir Nain.


** Sylonis retourna s'assoir à la taverne afin d'écouter les bardes nains, et ceux qui suivraient, son répertoire n'était pas encore rempli et il lui faudrait encore quelques histoires et pieces avant qu il ne fut plein. ** édité au tour 1374 par Sylonis


RE: Oyez Oyez

Ayant remercié Sylonis, Finrod donna quelques ordres à ses apprentis, avant de revenir dans l'auberge écouter la piece des nains.
Ces derniers semblaient prendre un malin plaisir à faire patienter le public, et l'ambiance s'échauffait.
Finrod prit place à la table de la Menestrelle en lui proposant un verre d'Hydromel elfique.


RE: Oyez Oyez

Peace vint jusqu'à la Taverne afin de féliciter Finrod pour sa prestation et surtout la récompense qu'il fit profiter au Royaume Des Sables.

Malgré son ignorance pour les arts et la prose, sur l'invitation de Finrod, Peace décida de rester boire une choppe de bière à la taverne en attendant que les nains viennent présenter leur pièce de Theâtre...


RE: Oyez Oyez

*** Sylonis avait eu vent de certaines rumeurs concernant la lenteur des nains et un léger sourire se dessina sur son visage .... ***

J'ai ouie dire que les bardes nains ne seront pas près tout de suite pour me presenter la piece de théatre.

Je ne saurai blamer des artistes qui prennent leur temps afin de composer leur pièce ou leur histoire, c'est la raison pour laquelle je laisse donc de nombreuse lunes aux adeptiens pour faire des pièces. Je vais moi meme voyager un peu pendant cette période et j'écouterai vos oeuvres a mon retour d'ici 30 lunes environs (Tour 1406).
D'ici la j'irai refaire ma fortune afin de pouvoir acheter des nouvelles pièces de théatre.

Puisse le désert remplir ma muse.


édité au tour 1376 par Sylonis

RE: Oyez Oyez

La douce lumière de la chandelle éclairait faiblement le dortoir, se reflétant dans la dizaine de paires d’yeux innocents qui le fixait avidement.
Le vampire fit craquer sadiquement ses jointures, et une petite aux cheveux d or et au regard aussi clair que l azur sursauta avant de s’agripper à un petit bout d’homme à peine plus grand qu’elle. L'ambiance tamisée regardait le bout de la pièce disparaitre, avalée par la pénombre.

Assis sur le tabouret, L’Ombre se pencha avec malice vers la masse enfantine, posa son masque, et fixa de ses yeux rougeâtres la marée de pupilles se resserrer encore plus, comme une bande de lapins face un loup affamé.
Il tendit les bras et attrapa la petite, la posa sur ses genoux et mis lentement la chandelle dans le cylindre de métal percé des images de milles créatures plus féeriques les unes que les autres.

Enfin, sans doute certaines avaient elles trop d’écailles, mais les enfants adoraient une chose.

Ils adoraient frissonner.

Il le savait maintenant, tout ces regards ne pouvaient plus se détacher de ses yeux couleurs de sang, de ses canines si tranchantes, tout simplement parce que les petits voulaient connaître la joie d un frisson sans risque, d un aventure palpitante et mouvementée, avant d’aller sagement regagner leurs lits.

« Une histoire… »

La fillette blonde lui lança un regard larmoyant qui eut ému jusqu aux derniers démons de l’enfer, et Kharchu était loin d’être de ceux là. Face aux enfants d’Avalone, qui pouvaient oser refuser ?

Il passa pensivement sa main sur son menton, scruta les ténèbres de la chambre, puis reposa son regard sur les enfants. Eux savaient qu’il craquerait, et déjà les premiers sourires apparaissaient dans le groupe de marmots.

« Hmmmm…Et laquelle vais-je donc vous raconter ?... Celle où le captain Crosh Het se débarrasse de l’ennuyeux gamin volant ? »

Nan !

« Hmmm…les aventures terrifiantes de Jean sans peur ? Du boucher bratisvaque ? Barbe Bleue ? »

Nan !

« Une histoire de pirates… ? »

Nan !

« Je sais ! Une histoire que m’a raconté le Vil conseiller Karma, pas plus tard que hier… »

Un tonnerre d’encouragements enthousiastes accueillit enfin la proposition. Il savait qu’elle leur plairait. Les histoires du Conseiller étaient, parait il, toujours un succès.

Le Vampire commença, devant l’auditoire médusé, son intriguant récit.


« Je vais vous conter…

La Geste de la Chose, où la Mort d’une Raclure Aotienne


Deux bretteurs, avec force, duellaient dans le désert,
Frappant, feintant, faisant tinter le fer
Hurlant a chaque coup une clameur d enfer,
Et de chocs puissants faisant trembler la terre


Aucun d’eux ne pliait, aussi dur que l’acier
A jamais une défaite entacherait leur fierté
Aussi poursuivaient ils plutôt qu’abandonner
Mieux valait mourir qu être le premier a céder.

Mais soudain bondit une dégénérée
Et nos deux compères, dérangés, se regardent
Face à la Chose, ne baissèrent point la garde
Et l’épée virevoltant, se mirent à avancer

Le combat fut horrible, la créature hurlait
Milles insanités, et souvent commettait
Quelqu' actes de folies, et sans aucune pudeur
Se jetait a l assaut de ses dernières heures

Fort heureusement, le déchet fut percé
Et rendit enfin son dernier soupir
Ses vainqueurs, curieux, s’étaient déjà penchés
Pour contempler la victime de leur Ire

Le regard hagard, horrifié, tout remplis de dégoût
L’un posa a l autre une question sans tabou
Tant était grande la vilenie de la Bête
Par tout les dieux, comment fut elle si laide ?

« Mais qu elle est donc cet Chose ? Si pleine de pestilence »
« Je crois bien mon cher que c est Dame Byoushin »
« Vous vouliez sûrement parler de Feu Byoushin :D »
Et un grand éclat de rire vint percer le silence.

Ainsi venait donc de s achever
Sous les deux regards médusés
La non vie d un honte bien réelle
Puisse sa deuxième mort demeurer éternelle



hrp: Jme presente pas au concours, pas besoin de me repondre donc :D

édité au tour 1377 par Kharchu


RE: Oyez Oyez


Une boule de feu tombait du ciel, une mage qui était une poète fesait son apparition après de long moment d'étude de magies.


Altares le druide avait entendu des rumeurs concernant des pièces de théâtre mais ses apprentis n'avaient pas remis l'information à temps à la jeune druide Altares n'avait pas su remettre sa pièce.


Altares le druide écrivait à la menestrelle Sylonis:

" Malheureusement, ma jeune menestrelle Sylonis, je n'ai pas réagi à temps concernant la pièce de théâtre.
Je vis en effet dans un autre plan astral qui me permet d'étudier profondément la magie. Je ne connais pas très bien en ce moment les difficultées de la maitrise du temps, et mes études de magies ne m'ont pas encore permis de voyager dans le temps.

Malgrès tout j'ai été une poètesse qui parcourait des terres froides et glacées. Je vais vous raconter l'histoire d'un jeune druide magicienne.


La pièce commence avec trois personnage:


Une petite fille, sa maman et son papa.

Le lieux serait un village de magicien et de druides, un peu comme les villages secrets qui sont habités par des personnages mystérieux.


premier acte: " La naissance de l'apprentissage"

La petite fille aprenait à parler, à lire et à écrire de sa maman, mais en plus elle apprenait aussi les secrets de la cultures des druides car sa maman était une druide.

Le papa de cette jeune druide était un magicien et son papa lui apprenait les arcanes de magies, et la petite fille progrssait dans son apprentissage.


deuxième acte: " La naissance d'une grande magicienne"

lieu: la maison de la mi-druide mi-magicienne

La petite fille était curieuse de nature, et c'est pour cela qu'elle était un bon élève qui apprenait vite la magie et les secrets des druides. Mais un jour sa curiosité l'avait fait tomber dans un chaudron magique.

Depuis ce jour, la jeune enfant avait dévelloppé des pouvoirs surnaturels et surhumains.
La mi-druide mi-magicienne était devenue une grande magicienne qui possédait d'énormes pouvoirs de protéctions et de lancements de sorts.


troisième acte: "Le sacrifice pour sauver une vie"

lieu: le village des druides et des magiciens

Un archimage mauvait voulant dominer l univers décida de massacrer tout les mages. Cet archimage en soif de pouvoir, décida de tuer toutes les personne qui vivaient dans le village des parents de la jeune enfant magicienne druide.

Après avoir massacré des centaines de mages, cet archimage mauvais décida de massacrer les parents de la jeune enfant.

C'est dans un acte de bonté que la mère de la jeune enfant mi-mage mi-druide décida de lancer l'un des seuls sorts de magie qu'elle connaissait.

Le seule problème c'est que ce sort fesait perdre tout les pouvoirs et toute l'énergie du lanceur mais en contre partie il protégeait de manière permanente la personne qui en bénéficiait. La mère venait de se sacrifier pour sauver sa fille.

C'est ainsi que la mère et le père de la jeune drudie magicienne furent facielement tués par l'archimage mauvais.

Mais l'archimage mauvais, décida de massacrer l'enfant et il lança le sort de destruction de vie, mais l'enfant était protégé par le sort de protection que sa mère avait lancé.

C'était un sort très puissant qui réagissait comme un miroir, et une fois que l'archimage mauvais décida de lancer le sort de destruction d'uen vie, celui-ci se retourna contre son lanceur. L'archimage mauvais fut vaincu mais la jeune druide magicienne garda une cicatrice sur son nez depuis ce jour. C'était une des séquelle du sort négatif, et c'était une des preuves qu'elel avait survécu.


quatrième acte: " La recherche de la connaissance"

lieux: une étendue de glace

La jeune magicienne et druide s'en alla dans une forêt entourée de glace afin d'apprendre les mystère de la vie de druide.

Ensuite elle décida de s'entrainer chaque soir avec les étoiles et elel commença l'apprentissage de l'astrologie et des étoiles dde l'univers.

Avant de s'endormir elle lisait les grimoirs magiques qui parlaient des sorts positifs et des sorts négatifs, après tout une grande magicienne doit tout connaitre, en bien et en mal.


cinquième acte: "........


On voyait que le parchemin magique sur lequel était écrit le cinquième acte disparaissait, c'était étonnant et hors du commun.....
le cinquième acte était illisible.