Negociation officieuse

Quitter le royaume avait demandé mille et une ruses. Methusaleah avait du se douter de quelque chose, car les gardes du régent n’étaient jamais loin, mais visiblement ceux des autres nobles non plus.
Mais pas facile de suivre une Waters avec un dragon. Le vrai danger venait de Magnus, mais avec les derniers événements, ça serait bien un miracle s’il revenait avant le petit matin. Déguisée en garçon, Favole réussi à partir sans trop d’encombre.

Elle arriva un peu en retard au point de rendez vous convenu. A la lueur du cigare dans la nuit, Favole sut que le capitaine était arrivé avant elle. Elle voulu le saluer comme il se devait, mais Renart interrompit sa révérence par une franche accolade avec un « Comme je suis soulagé que vous alliez bien !! » qui la surpris. Elle n’était pas vraiment habituée à ce genre de comportement.

Favole fut rassurée sur le ton de l’entretien. Tout était bon enfant, elle avait même eut le droit à une rose, elle-même avait pensé à subtiliser l’une des meilleures bouteilles de feu le Dr Livesey.
Soudain Renart se mit à avoir un comportement étrange en lui disant qu’il avait été suivit, qu’il était en danger, et la pris dans ses bras. Elle avait envoyé son dragonnet en repérage quand le capitaine la bascula littéralement par terre en se pressant contre elle.
Avant qu’il y ait une explosion au dessus de leur tête, Favole se dit que la position dans laquelle ils se trouvaient était très inconvenante.

L’explosion passée, le capitaine était toujours vautré sur Favole. Un terrible « Nooon Arreteu de me lécher » sorti des buissons.

Le dragonnet sorti avec un jeune garçon hurlant qu’il allait sauver son capitaine. Visiblement Zell, le dragonnet aimait bien cet enfant et le couvrait de bave.

Le brave petit garde du corps en herbe essayait de se redresser pour récupérer son arc pour la menacer. Favole réussit à rire même si Renart était toujours sur elle a la serrer un peu fort pour la « protéger ».


RE: Negociation officieuse

Elle m’avait eut en traître la garce. Faut dire que quand j’ai vu le c’ptaine partir en douce dans la nuit, j’avais flairé le piège des louveteaux du nord. Vaillamment j’ai pris mon arc, et je l’ai suivis en douce.
J’ai trop bien fait. Le capitaine avait bien un rendez vous avec une traînée du nord. La fille était plus mignonne, le genre qui aurait plus à ramener aux copains dans la taverne pour qu’il joue avec nous. Quoique non, elle était plus dans le genre qu’on a dans les contes.


Le reste est trop dégoûtant pour que je le raconte. Et que je te mets une fleure dans les cheveux, et que je te tripote a droite et que je sourie a gauche. J’en aurais vomis.

Et soudain la chienne du nord changea de ton, fini les minauderies, elle commençait a parler guerre et a faire venir de nulle part le lézard bleu bavant. Sentant que la femme abusait de la situation, je bandit mon arc.
C’est a ce moment que tout bascula, le c’ptaine hurla à l’agression alors forcement, moi qui avait juré de lui sauver ses miches au périls des miennes, bah j’ai tiré.


Il y eut une grosse explosion, et je me fis agresser par le gros truc bleu bavant. Le combat fut rude mes les cris du c’ptaine se faisant mal mener par la tigresse me donnèrent du courage. Je redoublais d’effort pour me débarrasser du lézard et trouver mon pauvre c’ptaine à terre maintenu par la donzelle. Je repris mon arc pour buter la traîtresse qui s’était joué de lui en profitant de ses formes.

Mais au lieu de me trembler elle éclata de rire et le c’taine, toujours le nez dans le corsage de la fille se dégagea pour me foutre une pichenette.

JÂ’avais encore bouletter.

Mais au moins je l’avais sauvé de cette louve dangereuse. Mais pourquoi qu’on la butait pas tout de suite, ou qu’on la ramenait pas aux copains du bastringage ?

Le c’taine arrêta pas de me foutre de tape derrière la tête à chaque fois que j’ouvrais la bouche. Cette folle, qui se présenta comme étant « Favole », elle me posait des questions, et fallait que je réponde poliment en plus (sinon "bam" une pichenette du c’ptaine). Je suis d’accord pour dire qu’elle avait de gros nénés vu de près, mais bon le c’ptaine des donzelle comme ça… ben… c’est vrai qu’il en avait pas dans son hamac. Mais c’est pas non plus une raison pour faire tout un cirque pour la première greluche un peu plus présentable qu’une catin.

Et puis, moi, je comprenais plus rien. Les gens du nord, fallait pas les tuer a vu ? Leur conversation devint super sérieuse et super ennuyeuse. J’appris quand même que j’étais le p’tit frère du c’ptaine. J’savais bien que popa était un grand pirate pour avoir fait deux futurs rois des océan comme le c’ptaine et moi.

Ils parlèrent de trahison, de complot, de guerre décidé par d’autre, de besoins de paix… enfin bref, que de l’ennuyeux. Enfin la « Favole » fit un truc intéressant, elle sortie une paquet de carte pour jouer avec le c’ptaine un bal ou une guerre. J’étais fière d’être présent pour se grand moment de piraterie.

Mon c’ptaine allait l’écraser. Il y avait qu’à voir comment elle battait les cartes pour voir qu’elle n’y connaissait rien.

Mais il eut pitié de la pauvre fille, il lui balança que ça le gênait, qu’il aurait accepté si ça avait été son frère. Et niahniahniah. Et que je me marre, et que je glousse.

Fallait vraiment que j’aime mon c’ptaine pour rester là a le protéger. Mais vu les événements de la soirée, je me promis d’être toujours auprès de lui.



RE: Negociation officieuse

Favole trouvait le garçon un peu maigrichon, le Capitaine Renart proposa bien de lui confier son jeune frère, mais l’étrange Jim Hawkings n’avait pas l’air près de se séparer de son seul parent.

Favole proposa de lui venir en aide en prenant en charge les enfants en bas ages, le capitaine promis d’y réfléchir. Et après lui avoir donné un cigare "el silencio" afin de rentrer tranquillement, ils prirent congés tous trois.
Le capitaine Renart parti en traînant fermement son jeune frère. La soirée avait été riche en possibilités. Favole avait du travail à faire, mais le jeu en valait la chandelle. En oeuvrant bien elle pourrait eviter le pire, à savoir une guerre totale.

Grâce au cigare, elle entra dans le camp sans problème. Il n’y avait pas de lumière dans la tente, Magnus devait encore être au conseil. Elle se faufila dans la tente, se débarrassa de ses vêtement poussiéreux sans allumer de bougie et entreprit de se glisser dans le lit comme si de rien était.

Demain elle convoquerait le conseil.

Une main lui saisit le poignet, elle voulu hurler mais aucun son ne sortie de sa gorge.

Une torche s'alluma.

Il y avait plus un peu trop de soldats dans la tente à son gout, et elle n'aimait pas qu'on louche sur son decolté sans corset.

Elle essaya de se dégager et frappa au menton l’homme qui lui tenait le bras. Il ne s’attendait pas ça de la frêle dame Dyaline.
Favole attrapa son arc et voulu courir dehors.

Même si elle était en fine chemise de nuit et que cela n’était pas très moral, elle avait connu pire dans sa jeunesse.

En véritable anguille elle réussit à sortir de chez Magnus pour arriver cou une épée. Les soldats avaient cerné le lieu. Et vu leur tête elle préféra poser son arc au sol sans mouvement brusque.

Ils ne la laissèrent même pas se rhabiller pour la conduire sans ménagement vers la prison. Favole ragea.
Mais elle ne pouvait plus qu’attendre en espérant que Magnus ou Ser Lannister viennent la sortir de là.


RE: Negociation officieuse

Methusaleah

J’avais maintenant appris une leçon universelle dans le royaume du nord, il n’y avait que deux personnes dans tout le désert capable de me donner la migraine. Et il avait fallut qu’elles soient toutes deux dans le même royaume, et tant qu’à faire celui où moi j’étais.

La première était venue dans l’après midi, en braillant qu’il fallait botter les fesses de ces méchants pirates qui n’avaient même pas voulu voir la couleur de ses napperons et entendre ses chansons. Ron avait sorti son épée en plein conseil en hurlant « il faut bouter l’ennemi hors de nos frontières » et ses moulinets avait bien faillit avoir raison de toute ma patience. Quand nous avons enfin réussi à lui faire entendre qu’il n’y avait pas de pirates dans le royaume, il était reparti luter contre le vice loin de moi. Et ce n’était pas un mal.

Quant à la deuxième, à chaque fois qu’il y avait un problème, j’avais son nom dans mes rapports. Mes espions avaient confirmé qu’elle était partie du royaume en fin d’après midi pour ne revenir qu’au soir venu. Pas la peine de ce demander ou elle avait traîné. Favole avait la fâcheuse manie de n’en faire qu’à sa tête, et les lettres de Renart trouver dans ses affaires l’incriminait encore plus.
Si l’affaire s’ébruitait, je ne pourrais rien faire pour lui éviter d’être jugée pour haute trahison. En attendant, il fallait que je réfléchisse. En admettant que je réussisse a trouver un moyen de cacher cette petite escapade, Magnus devrait prendre des mesures pour la tenir un peu plus efficacement. En attendant elle était en sécurité en prison. Si ça continuait comme ça, je pensais renommer la prison « résidence de Favole » à mon avis elle battait les record de détention.

Je convoquais mon homme lige seul à seul. J’allais payer ma dette, et laisser le sort de Favole entre ses. Je lui remis à lire les rapports de mes espions, les lettres reçue de Renart mentionnant Favole et la demandant expressément au fête, la rose et les vêtements plein de poussière. Je lui parlais aussi du sable dans les cheveux de la jeune fille.
Je lui donnais la clef de la cellule de Favole : « Mes espions savent être discrets, considère que pour le moment nous sommes les seuls a savoir, et que je te confie ma confiance pour régler cette affaire comme tu le sens. Quoique tu décides, je t’appuierais et je nierais savoir ce qui c’est passé ce soir. En attendant, tu me pardonneras si je viens avec toi et que j’écoute ce qu’elle a à nous dire.»

Sur ce, je lui fis signe de faire son devoir, et le suivis.

Un Lannister paye toujours ses dettes...

RE: Negociation officieuse

Favole était comme un fauve en cage. Elle avait sous estimé Methusaleah, mais il fallait qu’elle lui parle. On pouvait encore arrêter cette guerre definitivement. Le soucis c’était de le faire discrètement, sinon sa tombe aurait vraiment une utilité, en imaginant qu’on retrouve son cadavre.
Il y avait des voix proche de sa cellule.

« Nous venons chercher Dame Dyaline, ordre de Ser Lannister !
-Ser Lannister nous a donner des ordres, il a lui même gardé les clefs, et personne ne vient la chercher sans les clefs, alors…


Favole tendit l’oreille, mais a part un "bam", suivi de bruits de chute… et des pas, il n’y avait plus rien. Elle sursauta en voyant les deux hommes juste devant les barreaux. Ils n’avaient pas l’air d’être les sbires habituels de Methusaleah… mines patibulaires, pas bien lavés, puant la sueur et elle ne savait quoi d’autre. Les Lannisters avaient un minimum de fierté.

« Demoiselle Dyaline, ou Dame Favole devrais je dire… Il paraît que vous avez discutez avec un ami à vous ce soir, je pense qu’il serait dans votre intérêt de tout nous raconter… en chemin, cette experience. »

Le ton était donné, et son haleine allait avec le reste, d’instinct, Favole s’éloigna des barreaux et pour la première fois de la soirée, elle était contente d’être en prison. Ca ne devait être que des mercenaire de passage pour menacer Biflindi, sinon il aurait su que Magnus veillait sur le pauvre petit. ( Même s’il dépassait aussi Magnus d’une tête, Favole s’obstinait a l’appeler son petit).

« Soyez galant dites moi pour qui vous travaillez et je pourrais peut être répondre à vos question »

Les hommes avaient l’air de s’énerver et l’un lâcha que « le cadavre suffirait ». Favole perdit sa confiance naturelle quand elle en vit le plus odorant sortir des outils et s’acharner sur la serrure. En moins d’une minutes elle était traînée par ces pseudo gardes. Ils n’avaient par l’air d'hésiter. Leur conversation n‘étaient pas rassurantes, visiblement ils avaient projet que l’on trouve le corps de Favole outragé dans le désert, proche du Bastringage si possible.

Etrangement Favole n’adhérait pas a leur projet et essaya de fausser compagnie a ses ravisseurs. Mais elle ne faisait pas le poids.


RE: Negociation officieuse


Voilà deux jours maintenant que j étais libre de circuler dans le Royaume sous surveillance , j avais eu vent des conflits actuels avec en premier lieu certains pirates

Vêtu de ma cape, couvrant mon visage, j étais assis a la taverne à écouter les ragots de paysans et autres personnages issus du peuple .

Cette Dame Dyaline est bête et c’est une traîtresse, les rumeurs parlent d elle ce soir, cette idiote est partie rencontrer les pirates, j espère que le régent va lui montrer ...

L homme n’eu même pas le temp de mettre un terme a ses paroles qu un autre l interpella de vive voix

Tu parles, le régent ne fera rien, depuis que la Reine nous a quitté celui ci ne s occupe que de cette Dyaline, il est a ses pieds, c est bien grâce a eux deux que nous sommes dans ce merdier ...d’ailleurs c’est pas ses hommes a lui qui ont été l’arrêtée, et c’est pas grâce a lui qu’on est au courant de ce qui se passe

Les autres hommes à la table acquiescèrent tous pas un des signes de la tête, et ils reprirent alors leurs discussions et j écoutais d une oreille attentive tout ces ragots et j entendais plusieurs noms sortir tels que un certain Magnus, et toujours les paroles se ramenaient a dire que la Dyaline ressemblait étrangement a feu Favole et qu’elle était une sorcière coupable d avoir monopolisé l attention de tout les hommes.

Un étranger passa alors a ma table, me faisant signe de le suivre dans une arrière salle, ce que je fis apres avoir fini mon verre

L elfe se tenait a une table et me pria de prendre place, lorsque je fus en face de lui, il demanda aux deux gardes l accompagnant de disposer

Je me présente, je suis Ethilmor frere de la défunte Reine ...

La Reine Myrwen oui je sais, mais si je puis me permettre votre Royaume est en déclin total, cela fait deux jours que je suis arrivé et je n entend que reproches et critiques sur le régent et une certaine Dyaline qui serait en train de discuter avec les pirates


Apres ces mots, je ne pus contenir un léger sourire qui provoqua un sentiment de honte chez mon interlocuteur

Sincèrement si les rumeurs sont véridiques cette femme doit être soit d une grande inconscience ou alors très forte, a moins qu’elle ne soit réellement une sorcière, les éclaireurs ont rapportés une dizaine de meurtres de ces barbares et cette folle part seule sur le terrain ennemi. édité au tour 1947 par CrimsonTide édité au tour 1947 par CrimsonTide édité au tour 1947 par CrimsonTide édité au tour 1947 par CrimsonTide


RE: Negociation officieuse

Ma fête ratée, une guerre, que diable, la journée n’avait pas été des meilleures. Heureusement je devais retrouver mes compagnons a la tavernes pour essayer de sensibiliser les mal dégrossit au ravage du cidre. J’avais l’impression, de remplir un puit sans fonds.
Je croissais trois hommes suspect portant sur leur dos une jeune personne a moitié dévêtu et se débattant dans tous les sens. Je m’arrêtais pour les interpeller :

i]« Haltes là mécréants!! N’êtes vous point en train de mettre en péril la vertu d’une douce damoiselle en détresse ? Car je suis Ron Stark, et au non du royaume, je vous ordonne de vous justifier immédiatement ou je me ferais devoir de vous castrer.. pardon, je voulais dire chattiez, enfin vous voyez quoi ! »[/i]

J’entendis un ROoooooooonnnmuuuururrrrrrrrrphhhh (je tiens a préciser que la jeune fille avait du mérite a réussir à dire quelque chose avec ce bâillon sur la bouche) suivit d’un « aie, elle ma mordue la chienne ! » et d’un bruit de taloche.

L’un des hommes s’avança, il empestait et je fis un pas en arrière. Comment était ce possible de sentir aussi mauvais. Quand il parla son haleine me donna une information capitale, c’était possible de puer encore plus.

« Ser, enfin plutôt prince Ron, voyons, n’allez pas vous faire de fausse crainte, nous ramenons juste cette roué loin de la taverne pour qu’elle arête de boire et de tenter tous les faibles hommes. Votre conduite nous a éclairé et nous faisons tout pour être a votre hauteur votre majesté. »

Très flatté et a moitié asphyxié je regardait mieux la gueuse, échevelé, en petite tenue au milieu de la nuit… Diantre, la débauche était partout. C’est étrange son visage et cette façon de lever les yeux au ciel me disait quelque chose. Malgré leur mise désagréable ces hommes avait épousé la bonne cause.

« faites, faites mes brave, que la luxures s’arrête… »

Je les félicitais de leur comportement en les regardant partir .. la catin me regardait d’une étrange façon… j’étais sure de l’avoir déjà vu, non pas que je fréquente ce genre de femme. Mais son visage ne m’était pas totalement inconnu.

Avec un haussement d’épaule je parti pour l’objet de ma quête, la taverne. Je franchi le seuil, ce lieu était bondé. Avec l’idée de Ser Methusaleah de faire revenir tout le monde a la capitale, ça ne m’étonnait qu’a moitié. Je dévisageais le visage de tous ces débauché pour tomber avec surprise sur celui de mon oncle. Par les Dieux, était ce possible… Lui aussi ?? J’adoptais une attitude décontracté et alla vers sa table comme si de rien était. Je devais savoir s’il avait renier nos valeurs a tout prix.

« Mon Oncle ! quelle.. surprise.. de vous voir ici, puis je me joindre à vous? »


RE: Negociation officieuse

Comment était ce possible d’être aussi bête que lui. Au moins il avait servit a quelque chose, a force de gesticuler Favole avait réussi a se libérer une main. Entre le bâillon et la morsure qu’elle veniat de faire dans la main crasseuse. Elle avait envie de vomir.
Elle arracha son collier et quand les mercenaires partirent sous les félicitations de Ron, elle le laissa tomber. Les andouille, Magnus et Methusaleah, en imaginant qu’ils arrivent a sortir avec elle du royaume, sauraient que Renart ne seraient pas venu ici la chercher. Du moins elle l’espérait.
Si Seulement elle arrivait a atteindre une arme.

« Tu vas arrêter de gigoter comme ça !! »


Favole se concentra sur Arwen et Zell… mais elle n’était plus trop sur de savoir comment faire, elle essaya de leur parler comme la dernière fois a distance. Mais sans trop d’espoir. Pourquoi ce genre de situation n’arrivait qu’a elle ?


RE: Negociation officieuse

Magnus
Magnus sortit de la tente de Methuseleah.
Certes les preuve que Methuseleah avais montré était accablante, la trahison et l’espionnage était punit de la peine capitale.
Mais il ne pouvait y croire pas elle et il commençait a connaître Dame Favole, il y avait une raison, il devait avoir une raison.
Magnus n’hésita pas il se dirigea vers la prison.
Sur le chemin de la prison les gens se retournaient et certain le montraient du doigt sur son passage.
Quand il arriva a la prison, il fut stupéfié de voir la cellule vide, la porte était grande ouverte et lui seul avait la clé.

«Mais que s’est il passé ?? .»

Magnus sortit en trombe de la prison, il scruta l’obscurité espérant de voir ou trouver quelque chose pouvant expliquer ce qui s’est passé, mais surtout ou était passé Dame Favole.

«Il y a des chances que Dame Favole fut emmener de force vers le Sud.»

Magnus tourna la tête et vit Darkside sortir des ombres

«Magnus : Emmené de force ?? comment ça ?
Darkside : il a quelque minute, j’ai rencontré la personne bizarre nommé Ron, dans ses incohérences il m’a parlé d’une femme qui était emmené de force vers le bois sud et d’après la description c’était Dame Favole, je voulu avoir le cœur net en venant voir si elle était toujours en prison.»


Magnus scruta le sud.

«Bien merci.»

En suivant les traces il courut pendant un certain temps qui lui parut une éternité.
Au bout dÂ’un certain temps il perdit leurs traces.
La peur et la panique le submergeait, c’est la première qu’il sentit ce type de peur, cette peur n’était pas pour lui même, c’était la peur de perdre la seule personne a qu’il tenait dans la vie.
Ca peur fus interrompu par les voix de 2 hommes non loin dans les fourrés.

«Avant d’en finir profitons-en …. .
Oui huhu passe moi le couteau..»


Magnus se précipita vers les voix pour aboutir dans une clairière.
Ils étaient la Dame Favole couché par terre terrifié et 2 hommes qui lui tournaient le dos qui s’approchaient d’elle.
Magnus ne réfléchissa pas il sortit son épée et la planta dans le dos du plus proche homme….
édité au tour 1947 par Magnus

je ne suis que l ombre de moi même

RE: Negociation officieuse

Siriane n'avait eu qu'a se louer d'etre une Kalie.
Jouer avec le Voile était pour elle une seconde nature, et bien que jamais jusqu'a présent elle n'ait eu à le franchir aussi totalement, elle s'essayer à quelques frivolité du fait de son état de fantome.

Ainsi elle s'amusa à hanter les reves d'un certain Juune, contre qui elle n'avait pourtant pas grand chose (ce serait meme le contraire) mais qui était, d'une part, la victime idéale, d'autre part elle le trouvait choupinet avec ses petites rides au coin des yeux.... mais ne nous égarons pas.

Et surtout SURTOUT il détenait son bien le plus précieux, son pendentif....
Elle comptait bien le récupérer quand elle reviendrait.

Apres s'etre amuser à peupler quelques reves de songes embarassants, s'amusant à l'avance de voir leur tete d'ahuris au reveil, accusant à tort leur bouteille de rhum, le corps immatériel de Siriane se balada au gré des pensées, des émotions qu'elle captait.

Parce que le voile, c'est comme un amplificateur. Un super sonotone en réalité. Toutes les émotions sont alors comme des courants lumineux qu'un esprit (surout une Kalie) est capable de chevaucher pour se rendre au gré de ses envies.

C'est ainsi qu'elle tomba sur Dame Epouvantail. Elle était en bien étrange posture, et l'esprit curieux de la Kalie ne perdit pas une miette de ce qui se déroulait.

Il était cependant dur de retenir quelque chose durant cet état immatériel. Car les neurones ne sont que des fantomes de neurones, et la mémoire en patit (forcément.)


RE: Negociation officieuse

Methusaleah
Magnus était sorti en trombe de ma tente, c’était pas encore maintenant que j’allais pouvoir me reposer. Je le suivit mais il avait une bonne longueur d’avance, heureusement que je savais ou il allait sinon il m’aurait semé…
Je pouvais comprendre quel trouble agitait son esprit, mais sa présence était nécessaire…

Je le retrouvais devant la prison cherchant quelque chose au sol… mais une drôle de sensation me fit m’arrêté dans mon élan, un malaise que je pouvais expliqué s’empara de moi, puis je la vue, une ombre, elle passait presque inaperçu, mais j’avais déjà vu un phénomène un peu ressemblant quand Dame Mélissandre jouait avec ses Ombres.

Mais la c’était différent, et c’est là que je remarquais que Magnus la voyait aussi et qu’il lui parlait… j’eu pas le temps de m’approcher ni de l’appeler que l’ombre disparaissait et que Magnus courrait vers le sud…
Mais bordel il tient plus en place !

Avec un peu de difficulté, cela faisait quant même quelques jours que je m’était pas reposé, je réussis à le garder en vue, et au bout de quelques minutes il rattrapa un petit groupe d’hommes… Je n’eu pas le temps de me rendre compte de qui s’était que déjà Magnus abattait le premier homme, le deuxième tentât bien de tirer son épée mais l’elfe noir était trop rapide…

Un Lannister paye toujours ses dettes...

RE: Negociation officieuse

«Avant d’en finir profitons-en …. .
Oui huhu passe moi le couteau..»


Favole se maudit, quand le soldat la balança à terre, elle n’avait pas réussi à récupérer d’arme, et là, elle ne voyait pas trop comment elle allait s’en sortir.

C’est fou comme on pense à des choses étranges dans ces moments là. Certain aurait vu leur vie défiler devant leur yeux, d’autres auraient maudit la terre entière. Mais Favole au sol regardait au dessus des gardes, elle était sur d’avoir vu quelque chose les observer… Depuis le temps qu’elle disait que cette foret était hantée. Cette présence elle l'avait deja ressentie avec Renart tout à l'heure...

L’un des hommes hurla, elle en profita pour se rappeler de l’urgence du moment présent et réussi dans une ruade à donner un coups de pieds dans les parties les plus sensibles de celui qui était sur elle.
Et au lieu de se tordre de douleur il se contenta de s’affaler de tout son long sur Favole qui ne savait pas si elle aller mourir étouffée par le poids de l’homme, par son odeur ou pas le sang de sa tête manquante qui jaillissait dans sa figure.

Quelle soirée pourrie !


édité au tour 1947 par Favole


RE: Negociation officieuse

Magnus
Le premier que Magnus transperca tomba sur Dame Favole, pendant que l'autre prit au dépourvu essaya de dégainer son épée.
Cependant Magnus ne le tua pas, la mort lui aurait été trop douce il l'assoma avec la crosse de son épée.
Quand le second homme tomba par terre inerte, Magnus se précipita vers le premier homme et le poussa sur le côté.
Magnus prit Dame Favole dans ses bras, il essuya les gouttes de sang sur le visage de Dame Favole.
Magnus lui lanca un grand sourire.

"Il se passe plein de choses avec vous Dame Favole,
je vous ai promis que je veillerai sur vous, je serais toujours la pour vous."


Leurs regard se plongèrent dans l'autre.

"J'ai eu peur qu'il vous arrive quelque chose,.il faudrait que nous nous parlions......"

Malgré que se ne fut pas le moment, leurs lèvres se raprochèrent au moment ou elles s'éfleurèrent.
Un bruit dans des buissons proche leurs firent retrouver les esprit.
Methuseleah sortit des ombres...

je ne suis que l ombre de moi même

RE: Negociation officieuse

Methusaleah
Le problème n’était pas résolu, loin de là, et en voyant ser Magnus avec elle, je compris qu’il n’arriverait jamais à en faire une épouse docile. Je regardais Favole, si seulement elle avait au moins l’air désolée ou soumise. Mais non, comme d’habitude il fallais qu’elle en fasse qu’a sa tête sans se préoccupé de répercutions. J’aurais aimé être clément, mais je ne savais par quel miracle le peuple avait su, mais visiblement il allait falloir prendre des décisions.

Favole se dégagea des bras de Magnus.
« Je suis soulagée de vous voir tous les deux, il faut absolument que je vous parle, j’ai vu le Capitaine Renart, il y a moyen de sortir du conflit ! Il faut juste qu’on regarde d’où viennent réellement les problèmes… et .. aie »

Je l’empoignais par le bras et la traîna derrière moi à ma tente. Magnus n’avait pas l’air d’accord, mais cette fois, je n’étais pas d’humeur à être patient.

« Methusaleah, écoutez moi…
- Non ! et maintenant appelez moi Régent Lannister ! »


J’indiquais au premier garde que je croisais d’aller chercher les survivants et de les mettre en prison, enchaînés de préférence.

Magnus nous suivait, et me faisait bien comprendre qu’il n’appréciait pas que je bouscule un peu Favole mais il devrait m’être plutôt reconnaissant que je ne la traîne pas par les cheveux.
Arrivée à mon bureau, que cela choque ou pas mon homme lige, je demandais a Favole de me donner une bonne raison de ne pas la mettre dans cette tenue aux piloris.

Elle nous en donna plusieur en nous racontant "ses negociations". La suite fut des plus intéressantes, mais manquait cruellement de preuve. Favole avait plus d’expérience que personne des chutes d’empires, des trahisons… mais elle accumulait les tares : Pas de preuves, des intuitions … nous y voila. Favole restait juste ce qu’elle était: une femme.

Pourquoi Renart ne répondait pas à mes missives et préférait négocier avec elle si ce n’est parce qu’elle était crédule, et … mais pourquoi je perdais mon temps a me poser autant de questions.? Je ne voyais pas dans ce récit en quoi je pouvais avoir confiance en Renart et en Melle Waters.


édité au tour 1947 par Methusaleah

Un Lannister paye toujours ses dettes...

RE: Negociation officieuse

Favole s’énervait. Comment pouvait on être aussi buté. Pourtant il y avait des preuves. Elle avait été enlevée, et elle avait toujours le même argument
« Alors pourquoi j’ai été enlevée ce soir ? C’était vos hommes ? Sur vos ordres, vous m’en voulez que tout le monde sache, mais comme ça ne vient pas de moi, ça doit être vos précieux espions !!! »

Elle était debout, il ne souriait plus depuis tout à l’heure mais ça n’impressionnait pas Favole.

« Je suppose que vos amis du Bastringage ont décidé de nous faire un nouveau coup d’éclat, à moins qu’il est compris à quel point vous étiez une source d’ennuis…
C’est pour cela qu’il voulait me tuer près du Bastringage. Je vous dis que le problème vient de l’intérieur !!!
Très bien, alors attendons que nos prisonniers reviennent à eux et interrogeons les. »


D’un geste Magnus sortie du bureau pour demander à ce qu’on amène au moins un des prisonniers.
Favole éclata d’un rire cynique. Avec le sang sécher sur elle cela lui donnait un air terrifiant :

« Puisque je me tue à vous dire que les hommes, qui m’ont enlevée, voulaient me tuer à coté du Bastringage ! Ils voulaient justement que vous accusiez Renart ! Vous croyez qu’ils vont vous dire quoi ? Qu’ils viennent de Winterfell ? »

Favole en avait vraiment marre, elle était fatiguée, elle avait froid, elle était sale et se rappela à la base que tout ce qu’elle avait demandé c’est d’avoir une journée tranquille.


RE: Negociation officieuse

Methusaleah
Je ne sais même pas pourquoi je n’étais pas étonné quand un soldat vint nous dire que les prisonniers avaient tous été retrouvés mort dans leur cellule, la gorge tranchée. Favole pris un air pincé pour bien nous faire sentir que s’était à son sens une preuve de plus.

Je ne sais pas si c’est les nerfs ou le fait que Favole, à moitié nue dans mon bureau, continuait de me tenir tête bien plus que la plupart de mes hommes, mais je réussis à exploser de rire.

De toute façon, sa théorie, aussi extravagante soit elle se tenait. Et l’affaire étant publique, il n’y avait pas de demi mesure à prendre.

Ma décision était faite. Demain j’enverrais une note disant que nous avions miraculeusement retrouvé Dame Favole Stark, je préciserais peut être même que je soupçonnais la bienveillance du Bastringage de l’avoir sauvée et ramenée. Pour faire taire les rumeurs je nommerais Ron ambassadeur, son épouse devra donc l’appuyer. Favole redeviendra la princesse Stark. Mais il fallait présenter cela à Magnus.

A son regard, je compris qu’il avait en partie deviné. Je lui demandais de me suivre à l’extérieur du bureau, faisant bien comprendre à Favole que si à notre retour elle avait bougé d’un cheveux elle regretterait de ne pas être restée avec ses ravisseurs.
Je gardais un œil sur elle de l’extérieur. Pour une fois elle avait l’air d’être décidée à obéir.

« Ce soir, nous avons perdu ta cousine Dyaline, et nous allons avoir besoins de Favole Stark… tu en es conscient ?


édité au tour 1947 par Methusaleah

Un Lannister paye toujours ses dettes...

RE: Negociation officieuse

Magnus
Magnus écouta attentivement ce que disait Methuseleah.
Il commença a ressentir une fureur comme jamais il ne l’avais ressenti

«C’est la que vous vouliez en venir, vous désirez la manipuler pour servir les intérêts de la ligue, on vous moquant éperdument des sentiments de chacun .»

Magnus lui tourna le dos est s’apprêta a partir

«Je ne vous laisserai pas faire, je ne vous laisserai pas forcer Dame Favole retourner vers ce…. Même pour le bien de la ligue. Même si pour cela je devrais vous faire défaut
Si vous le permettez…..»


Magnus retourna dans la tente, il surprit Dame Favole a se contempler dans le miroir.

« Dame Favole???.»

Dame Favole se retourna

«Je commence a vous connaître, je suis sur que tout ce que vous avez fait est pour le bien de la ligue et Methuseleah en profite, je ne laisserai pas faire compter sur moi… .»

je ne suis que l ombre de moi même

RE: Negociation officieuse

Favole sursauta. Elle essayait de se débarbouiller comme elle pouvait. Mais ce n’etait pas evident, un bon bain ne serait pas de refus. Magnus avait l’air très contrarié en revenant. Favole leva les yeux au ciel pourquoi fallait il que les hommes complique tout.

« Magnus, personne ne profite de moi, je vous jure que je suis partie de moi même là-bas.. et ne faites pas cette tête, j’essaye juste d’enlever le sang, en séchant... ça tire … c’était déjà pas très agréable… »

Favole regarda mieux les visages, Methusaleah sur l’entrée de la tente avec sa tête des très très mauvais jours, Magnus lui tournait le dos…le genre de chose qu’on est pas censée faire à un régent sans commettre une impolitesse. Bon ça sentait la dispute. Favole leva les yeux au ciel. Ils avaient écouté au moins ce qu’elle leur avait dit sur « il faut qu’on se serre les coudes pour créer une unité au seins du royaume » ?

Elle s’assit comme a l’orphelinat quand elle devait régler un différent entre les gamins au sujet de chamailleries diverse.

« Bon je ne pars pas tant que vous ne m’expliquez pas le motifs de votre désaccord… et si vous voulez vous comporter comme des gosses, et bien c’est moi qui ferais l’adulte.
Je vous écoute.
Et après c’est moi qui décide si je suis où non manipulée et par qui. Ca vous va ? »


Au moins réussit elle a refaire rire le régent et à surprendre Magnus.


RE: Negociation officieuse

Les heures filaient et le spectre immatériel de la jeune femme commencait à épuiser toutes les idées tordues qu'elle avait pu trouver. Elle se rendit alors compte à quel point c'était mortel (!) de ne pouvoir se faire entendre, et meme si certains avaient eu l'impression d'etre traversé par un courant d'air. Il n'était plus aussi drole d'examiner les poumons noircis de Renart, le foi rongé de Juune, ou les hormones galopantes d'un certain Magnus.

Quand on a personne avec qui rigoler, forcément c'est moins drole. Et elle n'avait rien à voler non plus, ses doigts traversant les bijoux et autres gloups qu'elle ne pouvait attraper.

De plus elle avait appris bien assez de chose, et son corps épuisé l'appellait à présent.
Etre dans le Voile n'était pas chose aisée, et il lui faudrait reprendre des forces.

Traversant l'espace à la vitesse de la pensée, elle coula son esprit dans son corps recussité, et s'endormit d'un sommeil sans reves.



RE: Negociation officieuse

Renart
Renart avait de nouveau du courrier, une lettre de Dame Favole :
" Cher Capitaine,


Ce n’est pas sans mal que je peux enfin vous écrire. Le soir de notre rencontre a été assez mouvementé pour moi, et j’ai bien failli devenir le cadavre qui aurait déclenché cette guerre.
Enfin, le principal c’est que tout le monde soit sauf et que ma voix ait bien été entendue par le conseil. J’espère pouvoir très bientôt vous communiquer cette liste. Je reste optimiste sur le vote d’un cessez le feux et d’un respect de territoire mutuel.

Je ne pense pas avoir le temps de répondre à votre « petite frère » rapidement. Je vous avouerais avoir été très surprise par sa missive. Sans trahir le secret médicale, rassurez le. Votre Jim ne va pas mourir, et ce n’est pas contagieux, par contre prévenez le que « cette maladie » risque de se répéter de temps en temps.

Dés que je pourrais me libérer, j’essayerais de venir moi même le rassurer.


Prenez soins de tous les deux.


Dame Favole.



PS : Pourrais je vous solliciter pour me rendre un grand service ? Dame Siriane, mon amie qui est morte chez vous, avait un pendentif de famille auquel elle tenait beaucoup. Pourriez vous me le faire parvenir. La pauvre à du mal a se remettre de cet accident et ne cesse de le réclamer. Dans le pire des cas, pourriez vous me donner le nom de celui qui le possède afin que je puisse voir si je peux le négocier ?
Je vous remercie dÂ’avance pour elle."


Et une du régent, Methusaleah :
" Cher Renart,

Ce vieillard d’Alpheratz, n’était pas si innocent que cela, en effet j’ai les preuves que cet homme a agressé la Princesse Nalia, qui n’a eu comme autre choix de le tuer pour se défendre.
En ce qui concerne la fête, ce n’était en aucun cas un bal au sein du château, mais une simple fête organisée aux portes de la capitale sous de grandes tentes pour vous accueillir.

Pour cet assassinant je tient simplement à vous signaler que damoiselle Vectra n’a été que de passage au Royaume du Nord, et qu’elle nous a quitté il y a bien longtemps de cela. Je ne comprend pourquoi vous condamnez tout le royaume pour l’agissement d’une personne isolée… condamnez vous aussi les enfants pour les crimes de leur parents ?

De plus vous accusez damoiselle Vectra de meurtre, mais avant de la condamner lui avez vous fait un procès ou l’avez vous exécuter sans même entendre sa version ?
Vous dites que vous avez la noblesse du cœur, mais je ne vois point de noblesse dans le fait de massacrer des innocents qui n’étaient au courant de l’affaire ni d’Adam ni d’Eve. Pour moi ces agissement ne sont pas ceux de hors la loi, ni de pirates, mais de vulgaires barbares.

Sachez aussi, que dés que j’ai su qu’il y avait eu un meurtre chez vous et qu’il était possible que cela soit une personne de notre royaume je vous ai contacté pour essayer de trouver une solution diplomatique, mais vous m’avez complètement ignoré.

Je recherche toujours une solution diplomatique a ce conflit et j’espère que un cessez le feu pourra être signer rapidement.

Cordialement,

Methusaleah Lannister, régent du Royaume du Nord."


Sa lecture terminée, le Capitaine mit son index et son majeur dans la bouche et se mit à siffler.
Droatobut, son perroquet rapporteur ne tarda pas à se montrer
« Droatobut, c’est l’heure de la dictée !
Droatobut, c’est l’heure de la dictée !
Ah non tu vas pas recommencer avec ça !
Ah non, tu vas pas… »

Entre deux haut le cœur, les alcooliques alentours purent voir le Capitain courir après son perroquet en agitant les bras de manière menaçante : une scène quotidienne au Bastringage.
Quand il l’eut finalement attrapé, Renart dit à son Perroquet :
« Bon alors retiens bien le message et répète le à Dame Favole, rien qu’à elle compris ?
- Je ne parlerai que sous la torture CapitÂ… (Baffe !) Bon ! Bon ! Je ne parlerai pas du tout !
- Bien ! Alors écoute :
Dame Favole,

Rien ne peut me causer plus de joie que de vous savoir saine et sauve.
Le cessez-le-feu et d’ores et déjà acquis du fait de vos grâces et de la confiance que vous avez su établir entre nous.
J’ai bien reçu une lettre de votre régent où il démontre une fois de plus que son arrogance n’a d’égale que sa bêtise, mais je passerai outre : l’homme n’est de toute évidence qu’un pantin avec lequel il vous faudra faire avec pour rendre sa dignité à votre Royaume et le débarrasser des rats qui l’infestent de l’intérieur.
Vos ennemis sont mes ennemis Dame Favole, vos amis les nôtres, et c’est pour cette raison que je me réjoui de savoir Dame Siriane de retour d’entre les morts où je regrette chaque jour (et allez savoir pourquoi, surtout chaque nuit) d’avoir permis qu’on l’y emmène.
Je ferai en sorte que son collier, s’il n’a pas déjà été revendu, lui soit rendu au plus tôt.
Madame, je veux vous renouveler une nouvelle fois mon invitation à rejoindre le Bastringage au cas où la tâche qui vous incombe vous paraîtrait trop lourde.
Mais je vous sais courageuse et déterminée, aussi je vous offre en premier lieu mon soutien dans votre quête de paix retrouvée au Royaume du Nord, puisse mon bras vous aider à porter la couronne, car je ne vois guère d’autre personne que vous Madame, capable et digne de régner et d’assurer la prospérité de votre peuple.

Faites-moi parvenir la liste de vos ennemis au plus tôt que j’informe les Bastringues de leur identité.

Serviteur,
Capitaine Renart.

PS : Je ne sais pas ce que Jim a encore pu inventer pour vous importuner, mais n’y prêtez pas attention, le garçon est un peu dérangé depuis la perte de notre pauvre maman… «

Droatobut demeura interloqué
« - Quoi ?! Le mousse est ton frère Cap’tain ?
- Mais non, mais non, ne fais pas attentionÂ…
- Alors pourquoi tuÂ… ?
- Laisse tomber amigo, tu ne connais vraiment rien aux femmes. »

Suivez le cigare!

RE: Negociation officieuse

Renart
Décidemment c'était le jour du facteur!
Encore une lettre!
Mais cette dernière venait d'au-delà de la mer...

Renart mit son cigare préféré en bouche, celui au gout d'aventure et d'amour: la lettre était de Cybèle, l'une des plus belles femmes dont il ait jamais réussi à se faire aimer!
Elle avait des problèmes et l'appelait à l'aide.
Or, quand on l'appelait, Renart avait pris pour habitude de surgir du ciel puis de disparaître, toujours aux aguets.
Le Capitaine fit son sac-à-dos, et prévint les Bastringues qui ne comprirent pas tout, occupés qu'ils étaient à fêter le retour de l'âme d'Aazalya dans son corps.
"Adios compadres! Je reviens bientôt!!"
Le Capitaine n'allait pas abandonner le trésor d'Adept pour des beaux yeux, mais il pouvait s'autoriser une petite escapade à présent qu'il savait Dame Favole en sécurité!

En claquant la porte il lui sembla croiser quelqu'un... il verrait bien à son retour! ;)

Suivez le cigare!