Maux de tête et sable chaud.

Le vent souffle dans le désert un corps inerte gît au milieu de nulle part.
Le vent entraîne avec lui les grains de sable qui fouettent le corps la main se met alors à remuer au ralentit le corps endolori s’anime lentement.

En position assise l’homme sent une douleur vive à la tête il passe la main dans sa chevelure noir et la retire. Du sang plein la main mais que fait il ici mais …

Il ne se souvient de rien un nom résonne dans sa tête Doug.
Sûrement le sien ou celui d’une personne proche.

Un rapide coup d œil autour de lui l’incite a se relever du sable à perte de vu et aucune âmes qui vivent. Aucune idée de la direction a prendre ni d’endroit précis où aller perdu encore sonné de ses blessures il se met en route dans le désert.

L’homme titube longuement trébuchant régulièrement dans le sable.
La gorge sèche il tâtonne à sa taille instinctivement et y découvre une gourde.
Il s’abreuve mais pas trop son instinct de survie probablement ; il ne sait combien de temps il sera dans cette posture, il vaut mieux se rationner.

Un éclair de lucidité ou une sortie de la torpeur du aux blessures le font réfléchir il a l’air de posséder encore son pécule et quelques rations ce n est donc pas des malandrins qui l’ont laisser dans cet état, ils l auraient dépouiller jusqu à la moelle. Mais que fait il ici ?

Abattu la tête prête à exploser sous le flot des questions un bruit lointain le fait sursauté, une détonation.
Il se relève tend l’oreille mais rien.
Le doute s’empare de l’homme, serait il prit de folie à présent ?
Une autre détonation suivi rapidement d’une autre lève le doute il n’est pas fou, voila déjà une chose de rassurante.

Il y a du monde dans cette direction c’est certain mais est ce une bonne idée de se diriger vers cet endroit ? la maigreur de ses provisions trancheront autant tenter sa chance vers cet endroit il y trouvera peut être quelqu’un qui le connaît.

Ragaillardit , il se remet en route vers ces détonations.
édité au tour 1946 par Doug

Une nouvelle détonation!
Puis des cris...
Et ça recommençait!
Ca devait être au moins la quatrième bouteille de mousseux que les Bastringues sabraient!
"- A Aazalya!
- Oui! Pour notre soeur qui nous a quitté!
- Nous amènerons ta dépouille à l'océan ma belle!
- ...Et celle de tes assassins en enfer!"

Il avançait, moins chancelant mais toujours d’un pas peu assuré.
Il fit une petite pause. Des cris se mêlaient à présent aux détonations il y avait du monde.
Pas trop rassuré l’homme hésité.
Il n’avait pas grand-chose à perdre il ne savait déjà plus rien sur lui-même.
Il avançait et plus il s’approchait plus des vapeurs d’alcool flotter dans l’air ce qui fit saliver le jeune homme.

Plus très loin de lui des formes des personnes apparemment il avança et entendit

"- A Aazalya!
- Oui! Pour notre soeur qui nous a quitté!
- Nous amènerons ta dépouille à l'océan ma belle!
- ...Et celle de tes assassins en enfer!"

Trop tard pour faire demi tour il fit quelque pas.
Tenta de se faire remarqué en parlant

« Bon… »
Il s’écrasa face contre le sable chaud ayant trop présumé des forces qu’il venait de récupérer.

PEnn-duick étais en pleine recherche de plantes dans une fôret près du bastringage quand derrière lui un buisson s'agita doucement. IL se figea pour écouter plus attentivement, tout en glissant sa main sur sa dague. Mais en réalité il compris ne rien avoir a craindre quand il reconnu l'odeur sacré d'un loup. Celui-ci d'un gris bleu extraordinaire et une tête moire tous comme notre amis.
"Tiens donc mon gaillard que fais-tu là?"
Le loup s'approcha de Penn-Duick ave une air de dévotion.
" Oh pas de ça avec moi on est pareil toi et moi, pas de gracieuse cérémonie, que veux tu?"
A ce moment le loup chica la manch du korrigan, se retourna et ce mis courir, Penn-duick se voyait trainerdans le sable, jusqu'a ce qu'il réussisse à se hisser sur l'animal.

Cet à l'aurés du bois que l'animal s'arretta. face à eux Un homme couché dans le sable inconscient.
Penn-duick accouru à c'est côté, l'homme n'étais pas blessé, il étais rester trop longtemps dans le desert. l'hypoglycémie et la déshydratation l'avait plonger dans le comat. Le Loup glapit avant de retourner dans les bois.
"Merci mon frère, je pense qu'on se reverras** Cria le korrigan avec un sourire et regard pensif"
Bon à nous deux jeune homme maintenant"
Penn-duick sortis une énorme champignon gluant de sa baoule et le fit respirer à doug.

" Bouarfffffffffff" s'écria doug en se réveillant en stupeur.
"Du calme mon gars, tiens mange ça sa t'aidera et je vais te donner de l'eau."
Doug commenca a manger le champignon quand il s'aperçu de son gout infamme.
"beurkkkkkkk, c'est quoi ton truc tu veux me tuer
- mais non triple buse, mais les truc les plus efficaces sont passouvent les plus gôutus. Tu pense que ta mère t'aurais soigner aussi vite que sa hein. ** Penn-duick finisais de verser le contenu d'une fiole dans un gobelet et le tendis à dous** Tiens, l'ami bois ça, fini le champignon et t'aura du rhum pour faire passer le tous."

« Du rhum ? »

Le visage de Doug s’illumina. Il but et se hâta de finir le champignon, plus vite manger plus vite débarrassé du goût pensa-t-il, grosse erreur le goût infâme du champignon imprégné ses papilles gustatives il comprenait alors pourquoi son sauveur lui proposé du rhum pour faire passer tout ça.

Il fit une moue faisant comprendre que le champignon avait du mal à passer.

« Merci monsieur. J’aimerais vous en dire plus sur moi mais je ne me souviens de rien. Je pense me nommer Doug mais la encore ce n est pas une certitude. »

Doug était désemparé il essayé de se rappeler de fouiller ce qui lui resté de mémoire mais rien ne venait.

« En tout cas je vous remercie enfin surtout quand j’aurais pu goûter votre rhum pour faire passer ce goût horrible »
Doug sourit a l’homme détendu et se sentant en sécurité à présent.

Penn-duick tendit une fillette de rhum à son nouvel ami tiens mon gars ça t'aidera pour faire la route jusqu'à la cabine du capitaine. Je pense que si tu aime le rhum comme nous, il te faut te joindre à nous, vas donc toucher un mot à renart de ma part, et ensuite tu m'invitera à la taverne pour fêter ça.

Doug avala la fillette de rhum d’un trait.
Le breuvage et une chaleur très agréable lui envahissaient le corps.

Il ne savait pas trop pourquoi l’individu à l’étrange physionomie lui parlait de les rejoindre mais n’ayant d’autre lieu ou allez il se laissa tenter par cette visite au « Capitaine ».

Il se releva et surpris il se sentait beaucoup mieux le soigneur n’était donc pas un charlatan.
Il se dirigea d’un pas sur vers la planque du capitaine.

Il s’arrêta sur ce qu’il pensait être le perron et cira

« Ola Capitaine Renart un de vos hommes m’envoie à vous »

Soudain une crainte l’envahit et si il était en train de faire une bêtise.
Il ravala sa salive serra les poing inconsciemment et attendit droit comme un i.

La porte s'ouvrit avec un grand fracas et Renart en sortit en courant équipé d'un sac-à-dos où tentait de rester perché tant bien que mal son perroquet favori.
Laissant un nuage de poussière derrière-lui il disparut à l'horizon en criant: "YEEEEEEEPEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE!!!"