La route du nord

Favole avait pris la suite, le régent sur le dos de Chimère qui marchait tranquillement, à coté d’elle et Renald dans ses bras.
Favole etait à la fois furieuse et épuisée. Et être près de Chimère, qui n’attendait qu’un faux pas pour la déchiqueter, n’etait pas pour lui redonner le sourire.
La conversation à peine commencée le tons montait déjà. Elle lui en voulait de lui donner des ordres, d’être parti sans avoir conclu d’accord diplomatique plus qu’une simple amitié, et aussi de continuer a faire sa mauvaise tête.

Il ne voulait pas reconnaître Renald et Pandora, il accusait Favole de se faire abuser par les premiers imposteurs. Elle menaça d’une dague le bébé, mais il fait comme si cela ne lui importait pas.
Elle était encore plus en colère quand elle s’aperçu qu’il savait qu’elle ne pourrait jamais blesser le bébé.

La dispute pris une tournure plus froide quand ils abordèrent le sujet de Jim Hawkins. L’enfant avait signaler au régent son souhait de venir avec lui au royaumes, Favole savait bien qu’il ne quitterait jamais son capitaine, du moins pas aujourd’hui.

Zell qui le suivait lui avait confirmé ses craintes, Jim etait sur leurs traces l’arc en main.

Après une négociation assez musclés une fois de plus, le Lannister accepta de prendre son fils et de partir au royaume, laissant le soins a Favole de raisonner celui qu’il appelait « le gnome ».

Favole du imposer sa volonté au dragon pour qu’il parte, cela l’avait laisser sans force. Elle n’avait plus qu’a attendre l’arrivée de Jim et avoir une conversation avec lui.


RE: La route du nord

Fait chier !

L’autre conserve rouillée se casse, et j’ai pas eu le temps de le planter. Il a fait que de s’engueuler avec la Favole, il se tire en la laissant derrière, et a cause de lui l’équipage est sur de voir des morts.


Il allait pas se tirer comme ça !
Il fallait que je fasse quelque chose. Je bandais mon arc, pointais vers le ciel. Je tiraisÂ….


Fssssssshhhhhhhhhhhhhhhhh


La flèche s’éleva vers le dragon en vol. C’est la que je fis c’qui faut jamais faire, je détournais mes noeils de mon tir en entendant une voix

« Jim ! C’est toi ? Jim, il faut qu’on parle, le régent n’est pas ton ennemis si tu tente quelque chose contre lui tu va déclencher une guer… »

C’était la Favole, et elle ne put pas finir ça phrase. Le grand sage avait dit : « la flèche va la où on regarde », ben la mienne elle était redescendu là où j’avais regardé.

Dommage que ça soit sur la Favole. Elle se l’tait prise en plein torse et saignait beaucoup…

Oups, une boulette de plus.

Bon personne a droite, personne a à gauche… je pouvais pas la laisser là, autant la ramener discrètement là où elle aurait pas du partir… ni vu ni connu… direction le Bastringage !!!

Bon lÂ’endroit le plus discret pour la planquer lÂ’temps que le cÂ’ptaine degrise : nÂ’tre taule.




RE: La route du nord

Favole avait mal partout, et le réveil fut difficile, le bruit des gouttes d’eau sur les pierres épaisse et le manque de lumière, lui firent imaginer pendant quelques minutes elle se crut dans la prison au royaume du nord.
Ron était intervenu ?


Mais très vite l’odeur épouvantable lui donna envie de vomir. Non elle n’était pas au royaume, et ce n’était pas Ron qui l’avait attaqué.. mais Jim ? Mais qu’est ce qui lui avait pris ?

Bon sang, ça valait la peine de se démener pour la paix si personne n’était capable de faire des efforts. Et cette odeur !
Elle se redressa comme elle put, la blessure lui faisait encore mal, elle était épuisée, et particulièrement nauséeuse avec cet air irrespirable.

Elle manqua de pousser un cris quand ses mains rencontrèrent la raison de cette pestilence et que ses yeux s’habituèrent a l’obscurité. Il y avait au moins deux cadavres en décomposition… Elle recula vivement et trébucha sur le corps d’un enfant.

Cette fois si c’était la panique, elle se démena pour se dégager de ce cauchemar. Mais un râle lui donna un doute. L’enfant était encore vivant ?

Retrouvant un simili de calme elle ausculta le petit corps. Il ne sÂ’agissait pas dÂ’un enfant, mais dÂ’un hobbit. Il souffrait de malnutritionÂ… Favole le soigna comme elle pu et partagea le peu de nourriture quÂ’elle avait encore sur elle.

Maintenant, elle n’avait plus qu’a attendre en espérant ne pas avoir sauvé le Hobbit pour le voir mourir de faim avec elle.


édité au tour 1983 par Favole


RE: La route du nord

Renart
De là ou Favole se trouvait elle put tout à coup entendre un bruit de pas du couloir qui menait au cachot.
Il était accompagné d'une petite musique... en fait un refrain, que quelqu'un chantonnait et qui résonnait sur les murs de pierre.
Quelqu'un avec un accent espagnol.
"Dans mooooooon pays d'Espagne.... OLE! Y a des montagnes comme ça! Y ades montagnes comme...!!!"

En apercevant Favole derrière les barreaux Renart faillit en perdre son cigare et la bouteille qu'il tenait à la main à l'intention de Lord Shadow, l'agresseur de Jim et Siriane avec qui il venait s'entretenir.
Reagissant au plus vite, Renart se précipita vers la cellule et perdant patience devant la resistance de la serrure, écarta les barreaux d'acier à mains nues pour prendre Favole dans ses bras.
"Par le Mont Dréel!!! Mais qui?! Qui vous avez fait ça??" dit-il en voyant la blessure.
Ses yeux luisaient d'une fureur rare.

Suivez le cigare!

RE: La route du nord

Favole considéra un instant le capitaine un instant. Il avait l’air particulièrement en colère. A priori, il ne devait pas être au courant car il avait l’air autant étonné de la voir ici qu’elle d’y être.

Mais qu’avait fait Jim !? Entre lui est Bif, il y avait de quoi devenir fou. Il faudrait qu’elle en touche un mot au responsable mais pour l’instant il y avait un autre soucis à régler.

Favole se redressa comme elle pu en se disant qu’il devait y avoir une malédiction divine lui imposant de finir toutes ses journées en prison en tenue indécente.

Une respiration profonde, un grand sourire :

« Capitaine Renart, vous n’imaginez pas ma joie de vous voir, je m’étais imaginée coincée ici pour la nuit au moins. D’ailleurs je m’excuse de ma présence encore ici, résultat d’une longue histoire qui ne joue pas en m’a faveur.
Il faut dire que la soirée a été mouvementée et que je pense avoir surestimé mon endurance à la boisson.
Mais avant de vous raconter tout ça, et a moins que ce malheureux hobbit ne soit coupable de crimes terribles, peut être pourrions nous le transporter ailleurs pour le soigner… »






édité au tour 1983 par Favole


RE: La route du nord

Renart
Dans ce genre de moment critique, Renart était homme à déclarer solennellement "Je te vengerai." à un ami mourant plutôt que de songer à lui prodiguer des soins.
Parfois l'ami n'était pas mort, mais cela importait peu: il était vengé.
En l'occurence Renart se foutait bien du hobbit qu'il ne se rappelait pas avoir déjà rencontré. Qu'est-ce qu'il faisait dans sa prison? Sans doute un ivrogne en cellule de dégrisement...

Renart souleva Favole dans ses bras et l'emporta avec lui en direction du dolmen où il pourrait trouver Penn Duick.
S'il croisait Tylla en chemin ce serait aussi bien, peut-être mieux...

Ce faisant, Renart demanda à Favole:
"Dona, mais qui? Qui vous a fait ça?!"
...ayant vu que la blessure à la poitrine de la Senora, était celle d'une flèche, le Capitaine avait sa petite idée. Mais peut-être n'osait-il y croire encore pas?

édité au tour 1983 par Renart

Suivez le cigare!

RE: La route du nord

Favole avait grimacé en étant déplacée. Mais après deux ans de mariage avec Ron, serrer les dents était devenue une seconde nature.
Elle vu le regard du capitaine sur la flèche, Jim avait signé son acte. Elle se mordit la lèvre, au moins avec la douleur elle gagnerait du temps, en espérant qu’elle ne tombe pas dans les pommes. Elle attendit de s’habituer a être déplacée avant de prendre la parole.

« J’avais demandé a votre mousse de me raccompagner dans le dessert, comme j’avais un peu trop bu et que le régent avait une affaire urgente a régler, quand des barbares nous ont attaqué, je ne me souviens plus vraiment de la suite. Mais je suppose que je n’ai pas été très efficace au combat et qu'il a encore raté sa cible. Votre mousse a voulu me mettre en sécurité ici, d’ailleurs .. est il revenu ? »

Favole dû fermer les yeux pour retenir une larme de douleur, dans le meilleur des cas, la flèche serait passée sans abîmer d’organes vitaux, dans le pire, il lui faudrait au moins vivre avec un poumons en moins.

Dans une crampe de douleur et agrippa le capitaine, il y avait une urgence qui lui traversa lÂ’esprit. Jim allait se faire tuer.
« Il faut… prévenir le régent au plus vite… »






édité au tour 1983 par Favole


RE: La route du nord

Renart
"Droatobut! Aqui! Va prévenir Penn Duick et Tylla immédiatement, j'ai besoin d'eux!"

Puis se tournant vers Favole qu'il avait déposé sur un lit improvisé par les pirates alentours, il lui glissa:
"Reposez-vous Senora, on va s'occuper de vous (il évita de mentionner le nom du korrigan afin de ne pas inquiéter la elle), quant à Jim... je ne sais pas où il est mais je vais le trouver."

Une dernière caresse sur le front de Favole et Renart s'en fut d'un pas décidé.
Il siffla son cheval et allumant son cigare, songea que depuis les quelques mois qu'ils avaient passé dans la région ils n'avaient jamais vu un seul barbare se servir d'un arc, comme si l'instrument leur était inconnu.
Ce n'était pas le cas d'un certain mousse, qui avait accumulé les gaffes, et venait d'en faire une de trop.

édité au tour 1983 par Renart

Suivez le cigare!

RE: La route du nord

Renart
Renart venait de quitter le Bastringuage quand il fut rejoint par Droatabut.
"Mission accomplie Cap'tain! Ou sont mes pistaches?"

"'les ai pas sur moi amigo! Mais je t'en donne un paquet de plus si tu vas avertir le régent du nord que Favole est chez nous... et en bonne santé. Et qu'on la lui ramène sous peu, vale?"

Deux paquets!!! Droatabut était surexcité!!!
"Encore une chose amigo... un de tes petits camarades saurait pas où se trouve Jim Hawkins, le mousse?"

Renart avait fait arrêter son cheval et attendit que Droatabut, multilinguiste, s'informe auprès d'un petit groupe de fennecs qui l'avaient vu passer.
"Voilà Cap'tain, mais le rensiegnement n'est pas gratuit, tu sais?"

Le pirate grogna et repartit, au grand galop cette fois...

Suivez le cigare!

RE: La route du nord

Personne ne m’écoutait quand je disais que ma femme ne revenait point, même le régent ne répondait plus à mes lettres. Où diable allions nous ?

Et les prêtes du temple me faisant une crise de fillettes pré-pubères devant un chevalier dénudé car les ancêtres nous avaient envoyé des signes fort clairs sur une attaque de l’Arbre Cœur, au lieu de m’aider à retrouver mon épouse récalcitrante.

Bon en désespoir de cause, passant outre la parade des naturistes d’Adept, suivis des filles de joie libérées, et des taverniers associés, je décidais de prendre la route à la rencontre de cette stupide femelle. Je pris sur mon dos ma hache, au cas ou elle refuse de revenir, sait on jamais avec cette écervelée.

Je marchais guidé par les anciens dieux, quand je vis s’éloigner le dragon de Ser Methusaleah.

Je tentais un discret Youuuhouuuuuuuu !!!

Mais visiblement, mon ami Lannister était une fois de plus fort pressé ! N’était-ce pas un bébé que je voyais dans ses bras ?
J’entendis un cris de femme, outre le fait que cette voix ressemblait à la sienne, j’avais devoir de protéger la veuve, l’orpheline, et la gente féminine en attendant d’avoir réussi à canaliser mes hormones avec mon épouse qui commençait à me courir sur le haricot d’avoir toujours le mauvais goût de mourir ou se faire blesser quand je la retrouvais.

Cadavre ou pas, elle n’y échapperait pas.

En arrivant je ne vis que la grenouille de l’arène, celui à qui j’avais offert l’otarie, près de lui les affaire de ma femme. Les dieux étaient d’une cruauté, ce n’était pas encore ce soir que je pourrais accomplir mon devoir de mari.

Le gamin commença me parler avec incohérence : « elle est a moi, vous ne lui ferez plus de mal, vous approchez pas… » et d’autres insanités me rappelant qui s’était occupé de son éducation. Les pirates devaient nous haïre après ça.

L’enfant se mis à me tirer des flèches dessus. Le code à dédé stipule de ne pas frapper un enfant, mais quelque part il m’attaquait. J’en été là quand un homme arriva, et assomma la grenouille.

« Bien le bonjour messire, à qui ai je l’honneur


RE: La route du nord

Comment j’avais trop mal au crane. P’tain la galère ! qu’est ce que je foutais en taule en plus ! Comment ça j’étais plus un pirate, il délirait le garde. Sans bouffe, mais il voulait m’tuer ou quoi ? Alors qu’j’avais sauver la Favole.

Mais il me faisait quoi ?

Bordel.


grouuuuuuuuuummmmmmmmmmmmmmmmmffffffff


Mon bide avait plus de conversation qu’les gardes. Comme si un c’ptaine digne de c’nom pouvait renier un mec de son équipage.
Le mettre au fer, le tuer, oui, mais le virer, jamais un c’ptaine ferait ça. J’y pensais pendant toute la soirée, mais la faim etait terrible, j’avais plus d’force, j’en étais a rêver de peller les patates.
Mon c’ptaine ne m’aurait jamais laisser crever de faim avec les autres criminels, y avait même celui d’la Siriane.
Au moins la Favole etait pas là, c’est qu’j’ avais réussi mon coup. J’fermais les yeux a moitié mort de faim quand j’entendis un p’tit bruit de pas.
est ce stache qui m'apportait des restes de sardines? D'ailleurs elle etait ou celle là? Jamais là quand on avait besoins d'elle!
édité au tour 1983 par JimHawkins


RE: La route du nord

Il fallait qu'elle en eu le coeur net.

Tout ce remue ménage l'avait laissé perplexe. Et s'il y avait bien une chose qu'elle n'aimait pas, c'était se sentir mise à l'écart.

Elle s'était donc approchée discretement pour vérifier que son "kidnapeur" était toujours dans sa cage.
Son parfum la trahis (Cacarel n°5).


Eh! La Naturiste, Ptain, c'est toi?

Merde, mais qu'est ce qu'il fichait ici le morveux!

Elle failli faire demi tour.


Attend! Le ton était presque hargneux de demander de l'aide.
T'aurais pas à becter des fois?

Siriane senti un mince sourire victorieux sur ses lèvres. La tentation était grande.... de le laisser crever de faim... Son esprit fonctionnait à toute vitesse.

Qu'est ce que tu fiches ici, moustique? Tu t'es perdu? Le ton était mordant d'ironie.


RE: La route du nord

Renart
"C'est la raison qu'il a perdu." trancha une voix grave dans le dos de Siriane.

Renart se tenait appuyé contre un mur cigare au bec.
"Laisse-nous seuls, Siriane. S'il te plait." insista le Capitaine en ouvrant la cellule, avec la clef cette fois.

Il tira une pomme de sa poche qu'il tendit au mousse et sans la regarder, ajouta, à l'intention de la Tzigane:
"Jim et moi nous avons à parler."

Et effectivement, le Capitaine aurait beaucoup à dire... mais il faudrait trouver les mots pour l'exprimer.
Sorti de nulle part sur son cheval, il avait surpris un chevalier à l'armure nordique en compagnie de Jim et il ne lui avait fallu que peu de temps pour deviner les prochaines minutes et les mois qui s'écouleraient dans une succession de vengeances sans fin avec les pirates et les gens du nord... s'il n'intervenait pas rapidement.
Vrai qu'il avait spontanément voulu mettre une branlée mémorable à Jim, mais l'urgence ne lui pemettrait pas de donner au mousse les explications qu'il aurait souhaité.

Renart sauta de cheval et, arrivant à la hauteur de Jim, l'assoma.
A la question de Ron, il répondit "personne" et s'en fut au grand galop.

Il serait faux de dire que Renart n'avait pas d'affection pour Jim ou pour Favole, et qu'aucun de ses sentiments n'ait pu l'influencer dans un sens ou dans l'autre...
Mais il était avant tout un pirate avec un trésor à trouver, et une bande bastringues à diriger dans cet effet... même si aujourd'hui il s'apprêtait à affronter le courroux ou les larmes d'un petit garçon.

édité au tour 1983 par Renart

Suivez le cigare!

RE: La route du nord

Quand l’Renart arriva, la Siriane m’avait d’ja Filer d’la bouffe contre quelques informations. Malgré l’obscurité, voir sa tête en apprenant qui avait piqué sa thune vallait un repas.
J’aurais bien aimé en rire, mais vu que j’savais que allait encore plus foutre la merde entre elle et l’otarie. Sans parler du baveux, mais bon, pour l’instant n’tre discussion valait plusieurs trésor d’adept.

J’ cogitais a plein de truc. Et dans ma tête j’étais d’ja loin d’cette prison. Après tout, si la Siriane assumait de n’être qu’une femelle, et qu’elle , elle était pas sous les verrous, qu’elle avait d’la bouffe… bah pourquoi pas d’autre ?

En plus j’me dis qu’j’lui en devais une, car a quelques minutes près, j’crevais de faim.

Le Renart se ramena longtemps après, et m’tendit une pomme, mais j’avais carrément plus faim, bon j’lui pris sa pomme pour m’le foutre dans la poche ( et pas ailleurs hein, bande de pervers !)

J’avais plus qu’a attendre qu’il me fasse son speech, vu qu’le procès avait d’ja été fait ; la j’etais plus dans l’équipage, bah ca seravit a rien que j’lui explique que j’l’avais sauver la Favole.
Et pis pour la lessive, le ménage, la bouffe, le repassage, et les corvées, pouvait aller s’brosser !


RE: La route du nord

Comment cet impudent osait il ??? Me snober ? Partir avec l’agresseur et kidnappeur potentiel de ma femme. Ce « personne » etait la goutte qui faisait déborder mes bourses !
Après des négociation plutôt mordante avec le destrier, je regrettais d’avoir laissé petite vertu à l’écurie.

Mais avec glace et ce cheval d’emprunt je pris route au trace de notre super héros. Cet homme etait un véhicule à lui seul, j’en connaissais peu capable de traverser autant de lieu, frapper, enlever et refaire autant de route.
Sans compter qu’il n’avait pas eu l’air d’hésiter pour venir.
Avais je affaire à un simple homme, ou a un de ses fanatiques se prenant pour un dieu et utilisant sans vergogne ses pouvoirs oubliant toutes les règles d’objectivités ?

Quoiqu’il arrive, j’étais décidé à récupérer ma femme, son absence avait assez durée !

Sur la route je fis une rencontre des plus bucoliques, mais après une marche des plus réalisables avec un cheval, j’arrivais enfin au camps des pirates ou je fis mander le chef de cette population ou à défaut ser Juune Bande.


RE: La route du nord

Renart
"Vois-tu... dans la vie, Jim... il y a un âge où... tu sais le abeilles? Eh bien, c'est pareil! Ou alors, tiens! prend cette bouteille de lait par exemple..." dit-il en sortant une petite bouteille de sa poche "c'est la même chose Jim! La MEME chose! Et tu ne dois pas te sentir coupable ou mal pour ça, on passe tous par là un jour où l'autre! Tu es peut-être un peu précoce... je retire ce que j'ai dit pour les quatorze ans... même si douze ça fait jeune... et alors..." Renart se gratta la tête "je reviens à l'exemple des abeilles... parfois elles trouvent une très belle fleur, déjà occupée par d'autres abeilles, mais il ne faut pas faire de mal à la fleur pour autant! Ce sont les autres abeilles qu'il faut passer par dessus bord.........."

Le Capitaine n'était lui meme plus très sur de là où il voulait en venir:
"Ce que je veux te dire Jim, c'est que je pense que tu aimes beaucoup Dame Favole, et que tu ne voulais pas lui faire du mal mais... Je sais que c'est toi qui lui a tiré dessus. Tu aurais pu la tuer, tu dois t'en rendre compte, et ce n'est pas ce que tu voulais n'est-ce pas?"

Renart posa une main paternelle sur l'épaule du mousse:
"Favole est mariée. Son monde c'est le Royaume du Nord et il faut le respecter. L'homme avec qui je t'ai trouvé aurait pu ne faire qu'une bouchée de toi si..."

Le Capitaine sarrêta net.
"Mais qu'est-ce que c'est que ça?"

Un symbole dépassait de la poche de Jim. Renart s'en saisit immédiatement: il représentait une femme dansant au clair de lune et accompagnée d'un lion.
C'était le même symbole qu'arborait Lord Shadow, l'agresseur de Siriane.
Jim était-il mêlé à tout ça?

"Vale, moussaillon, il va falloir t'expliquer!" dit le Capitaine en affichant le bout de tisu devant le visage de Jim.

Suivez le cigare!

RE: La route du nord

Alors là, je vis ce qu’il était, tout sauf un c’ptaine ! Comment qu’il pouvait croire toutes ces conneries : Et pis elle était où la Favole !

J’me dégageais quand il voulu m’toucher, non mais, on m’touche pas comme ça moi, j’suis pas une belette facile !

Mais qu'est-ce que c'est que ça? Vale, moussaillon, il va falloir t'expliquer!




Dans mon jargon on dit “ mékilécon“. Il croyait quoi, quand le mec avait essayer de me déshabiller j’m’etais laissé faire?

Vous êtes sure qu’vous avez envie d’m’ecouter?

Sans en dire plus j’allais sur le cadavre du mec qui m’avait attaqué avec la Siriane, avec un peu de dégoût, parce qu’il chinlguait pas mal, je sorti sa cape et mis le morceau de tissus en face du trou qu’il y avait sur ça veste. De là où ça avait été arraché.

J’l’avais arraché pour retrouver l’coupable après, mais aller expliquer ça à un type qui avait déjà jugé.

JÂ’supose que vous aller mÂ’laisser crever comme lui ici ? et que vous avez renvoyez la Favole se faire crever dans lÂ’nord, enfin jÂ’men fou, cÂ’est plus mes oignons, jÂ’veux juste savoir, elle est ou la Favole et comment quÂ’elle va?



édité au tour 1984 par JimHawkins


RE: La route du nord

Renart
La poigne de Renart se referma autour du col de Jim qu'il souleva à moitié de terre:
"Elle est morte, tonto!"

Il balança Jim en arrière, qui retomba sur ses fesses et s'en fut, en laissant la cellule ouverte.

Suivez le cigare!

RE: La route du nord

Non, c’est pas vrai, elle ne pouvait.pas… non, pas elle… ca voulait dire que ces idiots l’avait rendu a son mari. P’tain mais pourquoi j’avais pas reagis quand il avait vu des morts, c’etait qu’un signe de malheur ça !
A peine atterris, je rebondis sur mes pattes :

JÂ’vais tuer la conserve !

J’parti en courant vers la sortie, les larmes a l’œil. J’le savais bien que l’otarie pouvait pas s’defendre seule, pt’ain pourquoi que l’R ‘nart l’avait rendu a l’autre fou.

Fallait que j’trouve une arme, ça allait chier !


Un horrible doute me vint: pourvu que ca soit pas a cause de moi...
édité au tour 1984 par JimHawkins


RE: La route du nord

« Mais restez en place ! vous ne devez pas bouger »

Favole avait mal a hurler, sans Zell elle aurait déjà perdu conscience une centaine de fois. Il faut dire qu’elle n’avait pas été des plus aimables, mais avec la douleur, il etait difficile de garder les formes.
Le capitaine l’avait laissé avec des personnes en demi mesure, Favole avait du les menacer pour qu’ils lui retirent la flèche.
C’est vraiment quand ils avaient vu qu’elle allait le faire toute seule qu’ils avaient enfin consenti a l’aider, en grognant que ce n’était pas raisonnable, et qu’elle allait aggraver sa blessure.

C’est vrai que sans Zell elle serait déjà morte, mais il en faut plus pour tuer une Waters

Mais dés qu’elle voulu quitter son lit, ils ne savaient plus quoi faire pour la retenir. Même si elle se traînait elle arriverait jusqu’au capitaine.

« Vous devriez restez couchée ! »

Favole reconnue le conseil avisé, mais comme à son habitude n’en fit qu’a sa tête. A peine dehors, elle dut s’asseoir, elle venait de recouvrir la plaie. Quand les personnes essayèrent de la rentrer elle les dégagea avec irritation.

« Je vous préviens, tant que je n’aurais pas vu ni Jim, ni le capitaine, je refuse de retourner me reposer ! Et si vous ne m’aidez pas, même si je dois ramper j’y arriverais toute seule !!!

Vu les grands yeux ronds des soigneurs, elle avait marqué des points. Et après quelques secondes d’hésitation, ils durent comprendre pourquoi il y avait une rumeur comme quoi même le régent n’arrivait pas a la faire plier, et ils partirent à la recherche, soit de main fortes, soit du capitaine.
édité au tour 1984 par Favole


RE: La route du nord

Bon j’étais en route quand j’sentis un truc que j’avais jamais senti auparavant. Zell ? Non un dragon mais pas Zell.

La vache c’etait trop zarbe, j’sentais son envie de détruire, j’voyais presque par ses yeux sa proie… non… m’dame Oronais.

PÂ’tain ! pÂ’tain ! pÂ’tain ! pÂ’tain.

JÂ’avais quÂ’a barrer !

Mais pourquoi qu’j’etais si con. J’fis demi tour en courant en m’doutant bien qu’cette fois j’allais crever en geôles. Mais j’avais pas l’choix, elle avait toujours été cool m’dame Oronais. J’pouvais pas la laisser se faire becqueter comme ça !

J’arrivais en courant sur elle et plongeais, m’faisant super mal au passage. Y avait qu’un seul moyen de la sauver, l’otarie m’avait raconté. J’devais la mettre dans la prison au plus vite.

P’tain de merde. Pour aller plus vite j’voulu l’assommer, mais ma maladresse me rattrapa et ses réflexes eux me ratèrent pas. Elle cognait fort pour une gueuse !

MÂ’dame Oronais, faut vous casser ou aller en taule, si vous lÂ’faites pas vous aller vous faire bouffer !!!

J’allais crever, si c’etait pas a cause du dragon ça serait a cause de l’équipage qui me voyait « agresser » m’dame Oronais.

[b] p’tain ! M’dame Oronais, limite foutez vous en taule vous même ! Mais bougez v’tre cul ![b]


RE: La route du nord

Renart
Le Capitaine quittait les geôles quand trois pirates de quart vinrent à sa rencontre:
"Cap'tain, la mourrante, elle vous d'mande de toute urgence!"
"Cap'tain, y'a un gars du nord qui dit qui veut vous voir au plus tôt et y rigole pas."
"Monseigneur Capitaine Goupil, auriez-vous l'obligeance de bien vouloir considérer le fait que le Sieur Hawkins, Jim, vient d'agresser physiquement Mademoiselle Oronoais à proximité."

Renart tiqua à l'annonce du troisième homme:
"T'es pas de la maison depuis longtemps toi, t'es arrivé quand?"
"Aujourd'hui." répondit l'homme, ce sur quoi Renart lui tendit une bouteille de rhum puis s'en alla rejoindre Favole, le cas le plus urgent.
Oronais saurait se défendre contre un gamin, songeait-il, même si celui-ci allait perdre rapidement l'immunité que lui procurait son âge.

Rejoignant Favole il se pencha vers elle: "Que passa Dona? Vous vouliez me voir?"

Suivez le cigare!

RE: La route du nord

Favole était contente, elle avait au moins réussi a resté éveillée. Elle avait du libérer Zell de son soutien, et finalement elle avait tellement mal qu’elle aurait aimé le rappeler. Mais la panique qu’il ressentait était loin d’être bénéfique. Il y avait un dragon divin ici.

« Capitaine, vous… »

Le dragon était tout prés…ça lui faisait presque aussi mal que sa blessure. Il était puissant, elle n’y arriverait pas seule. Elle n’était même pas sure de savoir comment en pleine forme elle avait réussi avec Chimère.

« Emmenez moi au dragon .. il faut que je sois plus prés... »

Il fallait qu’elle le soumette sinon ça allait être un massacre, mais avant il fallait qu’elle sache.

«Où… où est Jim ? »


RE: La route du nord

Sir_Earendur
Le demi-elfe se presenta aux portes de bastr...le demi-elfe? Mais non, c'est un humain! Un humain? Mais c'type là c'est pas un demi-elfe? Nan, nan, c'est un humain. C'bizare c'est truc. Enfin bref, il se presente devans les porte de bastringage, s'pretente, tout ça, il dit qu'il est du royaune du nord, que c'est un lord, y tuti cuanti. 'fin bref, voila quoi...comment ça viré?

****************

L'humain se presenta aux portes de bastringages, enchassé dans son armure, une cape bleu azur jeté sur ses epaules. Mefiant il s'approcha, une main à proximitée du pommeau de son épée. L'alcoolique servant de garde pu voir deux etres identiques et legerement deformés s'approcher de lui

"Je suir le Lord Eärendur, du royaume du nord. Je viens cherche Jim Hawkins."

DECET IMPERATOREM STANTEM MORI

RE: La route du nord

Renart
"Jim... aux dernières nouvelles il..." Renart fut interrompu dans ses explications par l'arrivée d'un nouveau garde: "M'sieur Cap'tain, y a un lord du Royaume du Nord qui vient chercher le mousse."

Malgré l'insistance de Favole, Renart la laissa en compagnie de ses soigneurs pour aller à la rencontre de Sir Earendur, les mains dans les poches, bougon, il tappait dans du pied dans tous les cailloux qui avaient le malheur de croiser sa route: il avait l'impression de s'occuper d'une garderie aujourd'hui!
Et ce trésor qui était là, tout près, et n'attendait que lui pour être déterré!

"Ca va pas Cap'tain?" demanda Droatobut venu se percher sur son épaule.
"Bof amigo. Mais puisque tu es là, va vite trouver Jim et dis-lui bien: qu'il remette le brassard de l'équipage et aille se planquer dans le fortin. Je vais tenter de lui éviter le courroux des gens du nord une deuxième fois. S'il est trop bête pour comprendre ça, suggère lui de filer vite et de partir se cacher où il voudra, parce qu'à l'extérieur mais à proximité du fortin, les chevaliers finiront par le trouver."

Renart s'arrêta une seconde et ajouta.
"Et si par hasard sa bêtise est encore plus profonde que les abysses por dios! Et qu'il n'écoute aucun de ces conseils, alors préviens les Bastringues, il va peut-être falloir cannoner...
...pour le protéger."

Droatobut s'en fut et Renart, arrivant à auteur de Sir Earendur lui adressa un amical:
"Hola amigo! Que tal?"


Suivez le cigare!

RE: La route du nord

Sir_Earendur
C'est d'un air mefiant que le Lord regarda le capitaine s'approcher. Il etais toujours resté sur ses gardes vis à vis des pirates, et ça ne risquait pas changer pour le moment

"Bonjour capitaine...les choses ne vont pas pour le mieux...mais je ne suis pas ici pour me lamenter sur mon sort. Je viens chercher le detenu Jim Hawkins pour le transferer dans nos geoles. Il pourra ainsi etre jugé dans le respect de nos loi comme agresseur de Dame Favole. A ce propos...est t'elle encore ici? Qu'en est t'il de son etat?

DECET IMPERATOREM STANTEM MORI

RE: La route du nord

Favole ragea, non, il se passait quelque chose, quelque chose de grave, et ce n’était pas le capitaine Renart qui allait l’en empêcher, ni cette foutu blessure.
Elle obligea Zell a la soutenir. Elle reussi a se lever et en menaçant ses soigneur d’ouvrir plus la blessure a se glisser dehors, la vu d’un dragon même bébé, suffit a les faire détaler.


elle entendit la voix du meilleur ami de Ron ce qui lui confirma ses craintes, il fallait qu'elle trouve Jim rapidement.

Favole réussi a s’appuyer sur le pauvre dragonnet pas rassuré, et a avancer vers l’autre dragon, il avait l’air plus effrayé qu’agressif, mais mieux valait être prudent.

C’est là qu’elle vit Jim, il etait encore en train de tout faire de travers. Zelle comprit aussi le message et la laissa pour aller soulever le mousse.

« Jim, va dans le désert, je te retrouve la bas, mais file discrètement ! Va avec Zell, ouste ! »

Le mousse avait l’air tout étonné de la voir et dans sa surprise ne réagit pas assez promptement pour ne pas se faire emmener par le fonds du pantalon par Zell.
édité au tour 1985 par Favole


RE: La route du nord

Renart
"Dame Favole? Tout va bien, ne vous inquiétez pas! Mais ne soyez pas si pressé! Détendez-vous et venez donc boire un verre avec moi... au fait, cigare?"

Dit le Capitaine en tendant un gros cigare brun tout droit sorti de son collant noir au Sir Earendur.

Suivez le cigare!

RE: La route du nord

Sir_Earendur
"Vous m'en voyez ravis...cela fait extremement longtemps que je ne l'ai pas vu...je la croyais morte à vrai dire. Et le moment ou elle est "réaparu" j'etais en mission à l'exterieur. J'ai à lui parler d'ailleur..."

Il regarda les murailles se dressant devant lui tandis que le capitaine lui tendait un cigare qu'il acceuilla avec joie

"Merci...avec cela je boirais bien de ce breuvage que vous faites si bien....du "rhum", non?"

DECET IMPERATOREM STANTEM MORI

RE: La route du nord

Renart
Caramba!

Renart qui de toute évidence cherchait à gagner du temps venait de découvrir, en une fraction de seconde, un sacré gaillard exactement comme il les aimait sous l'armure du Sir.

"Amigo! QUE BONITO!" dit-il en allumant le cigare d'Earendur "venez par ici, j'ai le mini-bar là-bas sous le cocotier."
Il sortit une bouteille multicolore et confia au Sir, comme un secret: "Goutez donc mon "Blue Cascade"... le secret? Un tiers de rhum blanc, un tiers de rhum vieux, un tiers de sucre de canne et pour relever le gout..." Renart s'arrêta net, comme si'l venait de s'apercevoir qu'il était en train de s'emporter: "Alors ce cigare, bueno?"

Suivez le cigare!

RE: La route du nord

Sir_Earendur
Le sir aspira la fumée du cigare qu'il avait coincé entre ses levres avant de gouter le brevage offert par le capitaine. Il ferma les yeux, comme essayant de faire passer l'intense sensation delivrée par l'alcool. C'est les idées un peu moins claire qu'il reposa son regard sur son interlocuteur pour reprendre la conversation

"Je souhaiterais voir le prisonier maintenant si c'est possible....hic.... Si cela est possible je passerais la soirée et la nuit ici, et je le remenerais demain matin...enfin, plutot demain apres-midi..."

édité au tour 1985 par SirEarendur

DECET IMPERATOREM STANTEM MORI

RE: La route du nord

Renart
"Amigo!" s'exclama Renart en remplissant de nouveau le verre de Sir Earendur d'un nouvel alcool, "Amiiigo! Mais mon hamac est ton hamac! Sauf si bien sûr tu veux un hamac propre?"

Suivez le cigare!

RE: La route du nord

au meme moment:

Zell m’envoya valser une peu plus loin. P’tain mais Favole elle etait vivante, sacrement blessé, mais là c’tait d’ma faute.
Pourquoi que le RÂ’nart mÂ’avait menti. Je sortis le morceau de tissus que jÂ’avais arracher du mec de la prison.
J’avais les larmes aux yeux. J’étais vachement mal, largué en plein désert, j’pouvais à peine bouger mon bras, j’avais salement dégusté.
Et pourtant là où j’avais l’plus mal c’était pas là. En fait je chialais comme j’avais jamais chialer, et c’etait juste en pensant a R’nart.

J’avais vachement mal et crever dans le désert, j’m’en foutais carrément.

Ca faisait combien de temps que je pleurais ?

J’sais pas, mais j’sentis un museau redevenu poilu se coller contre ma tête suivis par « Honk Honk » de consolation et par m’dame Oronais.

On a discuté un peu, elle au moins avait compris, en fait j’m’aperçu d’un truc, y’a que les filles comme la Favole, la Siriane ou m’dame Oronais qui voyaient plus loin qu’leur nez ( quoique pour la Siriane ça se discute)

Elle m’a soigné non sans me faire flipper ( pendant 5 min elle hésitait entre l’amputation ou le pansement).

J’étais super inquiet j’avais trop peur qu’elle se fasse massacré par le dragon a cause de moi. J’la regardais partir avec angoisse. En me disa,t que si le dragon se pointais, j’serais pas a la hauteur. Elle me promis de faire attention et d’attendre que la Favole intervienne.

Je me retrouvais de nouveau seul a attendre je ne savais même pas quoi.
édité au tour 1985 par JimHawkins


RE: La route du nord

Renart
Renart accompagnait Sir Earendur de bon coeur quand il vit le dragon s'approcher du Bastringage...
"Por dios! Il est beaucoup plus gros que je le pensais!!"

N'écoutant alors que son courage, le Capitaine avala d'une traite ce qui restait de son verre, pour le remplir à nouveau.

C'est alors qu'une légion opaque sortit de la palmeraie... des dizaines de fantômes en armes, équipées d'arcs et de flèches:
"Il est là! C'est bon, on va le chopper!"

L'un des spectres esayait veinement de contenir la marche de cette véritable armée: "Non! Ne le tuez pas, ce dragon est notre ami! Nous à Pern..."
Mais les autres ne l'écoutaient pas, trop contents de rejoindre finalement la proie qu'ils avaient apparemment traqué pendant plusieurs journées.
Le combat qui s'ensuivit fut... cocasse!
Frappés, les fantômes faisaient semblant de mourir, parfois avec exagération, pour ensuite se relever.
Le Dragon était dans une rage folle de ne pas pouvoir saisir son adversaire qui par ailleurs ne lui faisait aucun mal.
Tentant de croquer un petit groupe de ses aissaillants, il se fracassa le crâne sur la muraille et, agacé par cet ennemi inssaisissable, s'envola pour ne plus revenir!

Les fantômes criaient leur joie mais leur chef les rappela à l'ordre:
"Bon, le dragon du Bastringage, c'est fait... reste le chat perdu par les nomades sur la route du Royaume du Nord, est-ce que ça entre dans le cadre administratif de la protection du Mont Dréel?"

Les troupes n'étant pas très enthousiastes, les fantômes disparurent au pas, dans la direction opposée.

"Encore un petit verre Sir Earendur? Et ce hamac alors? Vous m'en dites quoi?"


Suivez le cigare!

RE: La route du nord

Sir_Earendur
C'est l'oeil lubrique que le Ser regarda le combat entre les spectre et le dragon. C'est avec chaleur que Eärendur acceuillit un nouveau verre de rhum qu'il avala rapidement, embrumant encore plus ses sens et sons esprit

"Je prendr...prendrais un nouvac hamel...nouvel hamac. Mais voudrais d'abord voir l'prisonier...si il est en banne soté, tout ça."

DECET IMPERATOREM STANTEM MORI

RE: La route du nord

Ce capitaine était vraiment un rustre, me laisser ainsi attendre, ne pas avoir répondu à mes lettres. Quand j’eu fini de faire les cent pas dans le sables, et que j’estimais avoir respecter la bienséance de base, j’entrepris de retrouver mon bien moi même.

J’avais cru voir Sir Erandur passer avec le dénommé « personne », mon ami devait être là pour les mêmes raisons que moi. Lui au moins s’investissait pour m’aider a retrouver mon épouse récalcitrante. Quel bon ami, je ne regrettais pas le destin qui m’avait fait croiser ses pas.

En pénétrant dans la ville, je fus choquer de voir autant de déchéance, reste de beuverie, tonneau de rhum.. mais pas les anciens dieux, où était je tombé ?

Je vis même dans cette pagaille un dragon, quel drôle d’idée de mettre une telle créature ici, c’était d’un mauvais goût très Targaryen. Vu l’ambiance, je compris qu’il y avait du grabuge, donc en toute logique, ma femme devait être par là .

Effectivement elle y était, dans un premier temps, je vis qu’elle était couverte de sang, c’était bien ma chance, elle devait avoir ses lunes, la nuit de retrouvailles risquait soit de salire mon armure soit d’être encore repoussée.

La folle, elle était juste devant le dragon, lui était en train de baisser la tête vers elle !! mais comment était ce possible d’être aussi idiote ! Le pire c’est qu’elle lui tendait la main en restant planté là !

Courageusement je fondis sur elle, la basculant sur le coté. Apres avoir protéger de mon corps en armure celui de ma femme en tombant sur elle, je me redressais et fis face a la bête, ma hache en main !

Je priais les ancêtres et les âmes des notre revinrent d’entre les morts, pour s’attaquer a la bête. En tant que grand prêtre j’invoquais tout nos plus grands ancêtres, ceux qui avaient combattu les dragons Targaryen. Ils triomphèrent sans peine.
Ma femme hurlait un « Nooooonnn arrreetez çaaa » de terreur.

Le calme revenu elle était a terre toute mignonne en pleurant de soulagement. Dommage qu’elle ne soit si dégoûtante de sang et que j’ai oublié ma pince a deviser mon armure pour la réconforter plus virilement. Je la soulevais dans mes bras, la cognant malencontreusement au passage sur mon armure, il fallait souffrir pour être femme de chevalier.

Après une petite grimace que j’avais du mal a interpréter elle fit quelque chose d’insupportable, elle se mit a parler, vite, et trop.

« Ron, … il… le mousse Jim… il a rien fait… il voulait me sauver.. c’est de ma faute… dans le désert… il faut aller le chercher…
Dame Favole, je n’ai jamais douté que cela puisse être de votre faute, bien au contraire, je suis toujours persuadé que tout est toujours de votre responsabilité. Mais par pitié, je ne vous ai pas épousé pour votre conversation, alors si vous pouviez m’épargner ça. Et arrêter de tacher mon armure avec votre sang ! Ca devient intolérable. »



Toujours aussi soucieuse de m’irriter, non seulement elle continua encore plus a me dégouliner de sang dessus, mais en plus elle avait fermer ses yeux et ne semblait même pas avoir eu la bienséance de me répondre !
J’allais avoir du travail avec son éducation !
Au moins avait elle eu le bon goût de ne pas de nouveau m’étourdir de ses bavardages de femme. Elle saignait quand même beaucoup, si je partais avec elle pour le royaume, j’allais rouiller dans le sang coaguler avant d’arriver.

Je partis vers l'endroit où sous les cocotiers j’avais vu messire personne et Sir Earendur prendre un verre d'infusions tres certainement. Je déposais ma femme sur le mini bar, trop heureux d’arrêter de me mettre du sang plein l’armure ( en séchant ça allait gratter a coup sur)
Je saluais vaguement les deux hommes, vu lÂ’urgence :

« Messire, Sir Earendur, je crains que ma femme n’ait décidé de se faire encore remarquer en faisant sa morte, y aurait il un rebouteur par ici ? »

édité au tour 1987 par Ron


RE: La route du nord

Sir_Earendur
Eärendur regarda le chevalier entrer, faisant une grimace des plus etrange, levant son verre de rhum tandis que Ron deposé sa malheureuse compagne sur la table. Avec un subit sourire niais le Lord se mit à sautiller sur un pied, envahit par la joie de l'ebrietée

"Bron...Ron...et dammmmmmmmmmmmmmme Fav'le...daaaaaaame Favole! Quel bon tenv...vent vous emmene? Hips!"

Faisant quelques pas peu assurée le Ser eclata de rire

"Madame Favooooooooooole!!! Vous avez parl...parlé à Ellenthiel pour notr' mariaaaaaaaage!!!!"

Il tombe au sol, et reste assis au sol, l'air depité. Il est literalement et metaphoriquement sur le cul!

"Elle veut puuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu de moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! Vous av...avez tout craché! Gaché! Bououououuuuuuuuuuuuuuuuuuh. Ellenthiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiel!!!

Et pendant quelques minutes se sont les sanglots qui se melerent au rhum et à l'hemoglobine

DECET IMPERATOREM STANTEM MORI

RE: La route du nord

Je regardais mon pauvre ami, si détruit et si.. humain ??? mais ou était ses belles oreilles d’elfe ? Vu son état je ne préférais pas poser la question

« Diantre mon amis, reprenez vous cessez donc de vous torturer pour une.. femme, regardez donc la mienne, même pas capable de me faire un fils ou ses devoir conjugaux… »

Tant de détresse me touchait, sans compter que ma femme a par tout salir ici et pâlir a vu d’œil n’avait même pas un regard.

« Vous deviez vous reposer et prendre une petite tisane, il doit bien y en avoir ici… moi je m’occupe de trouver ce Jim Hawkins et on en reparle sur le chemin, avec le régents on vous trouvera une épouse, ou on décidera celle que vous aimez… »

Touché dans mon âmes, je me retournais vers ce monsieur personne :

« [/i] messire, sauriez vous où se trouve ce Jim Hawkins, j’ai a lui parler en toute urgence ! »[/i]


RE: La route du nord

Favole n'entendait pas, elle avait repoussé Zell dans un dernier réflexe de raison, elle avait comprit, qu’elle ne reverrait jamais Magnus, ni son petit Bif… Autant qu’elle parte seule.

Très vite elle oublia le royaume du nord, elle oublia toutes ses souffrances, les guerres, sa famille etait là. Son frère Oberyn lui tendis la main, elle la prit, il fallait qu’ils aillent chercher des korrigans.

Elle couru derrière lui vers la lumière, puis tout fut fini.


RE: La route du nord

Renart
Renart était acroupi auprès de Sir Earendur à qui il administrait de grandes tapes dans le dos et des "faux pas pleurer".
Il lui avait même tendu un mouchoir, en fait un bout de tissu trouvé sous les palmiers qu'il suspectait fortement être un slip usé de son korrigan préféré: mais qu'à cela tienne, il ne pouvait pas laisser un ami pleurer sans lui sécher les larmes! ...et même si le slip était déjà mouillé.

[edit: le passage concernant Favole sera édité sous peu après régularisation rp ;) ]Ce faisant il s'étonna de voir Favole s'en aller, remise de ses blessures en un clin d'oeil, quel phénomène et consola de plus belle le chevalier en larmes quand il fut prise d'une nouvelle crise de sanglot.]

Lorsque le nouvel arrivant s'adressa à lui, le Capitaine se contenta de lui répondre:
"Bien sur messire, nou l'avons mis dans le trou, sur la plage un peu plus loin. Vous devriez vous y rendre. De toute urgence." édité au tour 1987 par Renart

Suivez le cigare!

RE: La route du nord

Sir_Earendur
Le Lord observait le corp inerte de Favole, dont peu à peu la vie s'echapait. Relativement inconscient de ce qui se deroulait sous ses yeux il etait incapable d'agir, continuant de se lamenter et deversant un flot de larmes


Bouuuuuuuuuuuuuuuuuh!!! Ellenthiel!!!

Il ne comprit pas les dernieres secondes de vies de l'epouse de Ron. Il ne comprit pas que la vie achevait de quitter son corp. Il ne compris pas....qu'elle etais morte...

DECET IMPERATOREM STANTEM MORI

RE: La route du nord

La lumière etait proche, je me sentais bien, mon frère, ma famille, tous ses dragons, la sensation de voler, la chute n’en fut que plus violente.
Elle avait la sensation d’être arracher aux siens. Et après tant de lumière se retrouver dans le noir complet lui aurait donner envie de pleurer, si une âme pouvait le faire…

« Je peux savoir où tu comptais aller ? »




Favole n’avait pas besoins de la voir pour savoir, elle etait avec Lylith. Très vite l’endroit etait de nouveau la case du capitaine, Earendur etait a pleurer, Ron et Renart essayait de le consoler.

Favole regarda la tableÂ…

« Comment aurais tu dis toi ? perforation du poumons gauche, écrasement de la cage thoracique et hémorragie. Ces trois nigauds n’ont même pas lever le petit doigt pour toi. Venant de Ron, ça ne m’étonne pas, quand a son ami, il est dans un tel état qu’il ne doit pas faire la différence entre une chèvre et un âne… mais venant de ton capitainnnnneuuu je suis sure que tu es un peu déçue.
Tu aurais du mieux choisir tes amis ! »



Favole nota la menace dans sa voix. Avec angoisse elle se demanda ce que lÂ’on pouvait faire de pire a une morte.
Mais vu le sourire de Lylith, il devait certainement y avoir pire que d’être mort.


Pendant quelque seconde Favole le vit, Magnus, il etait dans le désert mourant… oh non, pas lui.

« Ne panique pas petite sœur, tu es un fantôme maintenant, tu pourras être auprès de lui avant qu’il ne meurt, du moins si tu pars tout de suite. Je vais même t’aider a le rejoindre. Mais je ne te garantie pas que cela lui soit d’un grand secours. »


Favole vu son corps commencer a disparaître sur la table. Lylith souriait toujours, si elle partait maintenant elle allait faire disparaître son cadavre, cela voudrait dire pas de sépulture, donc pas de repos éternel. Pas d’aller simple avec ses ancêtres, une éternité d’errance…
Pitié…

Elle ou MagnusÂ…

Pourquoi devait elle faire ce choix.

« tu ne croyais quand même pas que tu allais t’en sortir si facilement, j’oubliais, il y a un petit incendie dans le nord, rien de bien méchant, mais je doute que l’on retrouve des objets personnels t’ayant appartenus. »

Favole regarda une dernière fois son corps s’effacer de la table.

« Conduits moi a Magnus… »

Elle le fit avec un grand sourire. Favole se retrouve dans le désert, non loin de son elfe noir, juste avant que Lylith ne reparte elle lui glissa :

« Tu sais l’héritage des Targaryens, ce n’est pas les œufs des dragons, c’est juste de la folie pure… »

Les yeux mauves de Lylith se firent plus méchants mais elle disparue en laissant l’âme de Favole là où elle aurait dût être, vivante, depuis des jours.


édité au tour 1987 par Favole


RE: La route du nord

Je considérais l’homme qui se tenait avec son slip douteux dans les mains. Il etait vraiment étrange d’utiliser de tel chiffon pour leur nez, les dieux soit loué que j’avais prévu mes réserves de nourriture te de boisson. Vu l’état de propreté, il valait mieux ne rien toucher.

Je me mis entre lui et mon ami, pas la peine dÂ’avoir du nez pour se rendre compte quÂ’on avait du lui couper sa tisane avec pire que du cidre.
Je sortis un délicat mouchoir de satin cousu par mes soins pour le tendre au chevalier.

« Ecoutez, je vous prêterais mon manuelle non officiel du guide a dédé édition non officiel de comment courtiser à votre retour. Et vous convolerez en juste noce avant de dire ouf… »


puis me tournait vers messire personne : « Je crois qu’il a but son compte pour ce soir…, Si ça ne vous dérange pas d’aller me faire chercher ce Jim Hawkins, je préfère rester avec lui, dans son état on ne sait jamais… »


Puis en me retournant pour gourmander la gourgandine qui ne faisait rien pour soutenir un chevalier en détresse ( les jouvencelles, toutes les mêmes, des qu’elles sont en danger, elles braillent pour qu’on accourt, mais si c’est nous pauvre chevaliers qui avons besoins d’aide, plus personne ! bande de mégères !).

Elle avait encore disparu. Ce nÂ’etait plus une femme mais un courant dÂ’air !

« Par les anciens Dieux, où est encore passé ma femme ! Il va falloir que je l’enchaîne si ça continu ! »


RE: La route du nord

Renart
"No problema." fit Renart en se relevant, toujours un peu halluciné d'avoir vu le corps de Favole disparaitre... la belle était sorcière?! Ou quoi?

Bon. La seule question qu'il y avait vraiment à se poser en ce moment c'était de savoir comment sauver les roustons du plus jeune de ses compagnons.

Renart disparu dans l'enceinte du fort... un long moment. Rien ne pressait.

Suivez le cigare!

RE: La route du nord

Sir_Earendur
Pendant ce temps, le Ser devait bien s'occuper...profitant d'un moment d'inatention du chevalier il s'eloigna et commença erer autours de la forteresse, faisant de grand geste amicaux aux pirates croisés surle chemin, dont certains etaient aussi sous que lui. Mais au bout d'un moment il vit deux femme, totalement semblable, bougeant de la même manieres aux mêmes moment. Il s'en approcha en titubant et en ecartant les bras

Mesdammes Siriane!

DECET IMPERATOREM STANTEM MORI

RE: La route du nord

Diantre, mon abrutie de femme était en sang, elle en avait mis partout, voila qui était fâcheux. Je n´avais pas le temps pour un jeu de piste surtout qu´elle avait fait visiblement attention a ne plus saigner en partant.

Et si elle ?...


Non, ça ne serait qu´une hypothèse de mon imagination fatiguée. Si elle était morte, elle m´aurait quand même prévenu. Je suis son époux.

Oui mais venant de Favole, je devais m´attendre a toute les excentricités. Tout en consultant les esprits présents. Ils hésitèrent, mais leur réponse était sans appel, la sotte avait réussi à me gâcher la soirée, et en plus, tant qu´à faire, je n´avais même pas son corps pour procéder a un enterrement décent qui me permettrait de lui dire tout le bien que je pensais de ses initiatives.

Quel manque de respect, et ses devoirs conjugaux aussi ! Sans parler du mal que j´allais avoir à trouver une épouse aussi gironde !
Il faudrait que je récupére le corps de celle qui était devenue mon ancienne épouse et me renseigne sur les délais de veuvage après l´enterrement.

Je pris le temps de consoler mon ami toujours en larme avant d´écrire une lettre au Régent (notre hôte n´avait guère l´air pressé) :

« Allons mon ami, reprenez vous ! Nous arriverons à faire fléchir le coeur de votre dame, il ne s´agit certainement là que d´une coquetterie féminine de plus pour se faire désirer, et puis il n´y a pas mort d´homme. A part Dame Favole nous sommes tous sauf et en bonne santé, donc faites moi une petite risette, terminons votre mission ici et nous reprendrons la route ensemble. »


RE: La route du nord

Renart
Rentré au Bastringage Renart avait trouvé la prison vide, sans surprises. Alors déambulant dans le fortin il fit mine de chercher son jeune ex-prisonnier, ex-compagnon d'équipage, ex-mousse fidèle et ex, actuel et futur gros problème. Il regardait derrière les tonneaux ou poussait des caisses du pieds en appelant: "Jim! Houhou!? Jim...?" sans trop de motivation.

Sir Earendur était ivre, ça lui laissait du temps... Croisant un hamac comfortable, et puisque c'était l'heure de la siesta, il fit un somme.

Quelques heures plus tard il était réveillé en panique par un loup affolé qui faisait de la réclame pour le marché.
Renart ne parlait pas le loup.
Sauf quand il était bourré.
Le Rhum qu'il avait partagé avec Sir Earendur l'avait mit en jambe et il continua sur sa lancée, enchainant les verres au cours d'une foule partie de sccrabble avec son nouveau pote canidé.

(cf: ces évènements sont à rapprocher du post "appel au secours" de Penn Duick)


Suivez le cigare!

RE: La route du nord

Bon plan en place, j’avais choppé la robe que la Favole m’avait offerte, pris le temps de prendre un bain, de m’frotter de partout, et surtout de me démêler mes cheveux.
JÂ’crois quÂ’cÂ’est la que jÂ’ai perdu tout mon temps.



Bon j’me ressemblait plus beaucoup, noué le corset fut une exploit et les jupon m’genait trop. Le casque de Gaby dans un sac, je pris le route du Bastringage. Avec les chaussure c’etait pas terrible, j’avais du sable dedans, le corset m’étouffait, les dessus me grattaient et j’me prenais les pieds dans la robe si je faisais de trop grand pas.

C’etait trop la torture, mais au moins personne ne me reconnu, j’du foutre une ou deux baffes a un couillos qui essaya de m’toucher les miches avec un sifflement idiot. J’lui aurais bien cassé la trogne mais j’avais trop peur de salir ma robe, et avec le corset…


CÂ’est la que je le vis, en train de faire mumuse avec SPERED, Je pris une grande respiration. Finalement le Gaby, il avait pÂ’tere raison sur toute la ligne.

Spered me reconnu et aboya pour mÂ’faire la fete. Merdouille.

‘essayais de sourire et d’avoir l’air détendu genre la Siriane.

« Quoi? qu est ce qu il y a derrière moi? »


Il avait l’air surpris, sur le coup je crus qu’il m’avait reconnu, mais enchaîna par le classique de

« Hola Senorita! Que tal?»



Ouf, mon plan marchait trop bien ! JÂ’lui racontais que jÂ’venais lui offrir un cadeau et lui demandais dÂ’aller dans un endroit plus intime en lui montrant sa case.
J’avais un mal de chien a parler comme la Favole. Mais jusque là, il avait pas l’air de m’avoir reconnu.




HRP: rp fait sur msn avec renart merci de ne pas intervenir pour le moment



édité au tour 1989 par JimHawkins


RE: La route du nord

Siriane était tranquille en train de compter les grains de sable tout en se faisant les ongles de pied quand elle vit approcher un homme titubant et puant l'alcool à 10km.
Elle pesta quand elle se remis debout. Ses ongles n'avait pas finit de secher qu'elle avait deja du sable collé sur le vernis.


Ser Aerendur, quelle....surprise!

Elle fit sourire n°5 tout en se demandant quel était tout ce remue menage. Elle avait quitté les royaumes du Nord pour ne pas donner du "Ser" à toutes les phrase, et il fallait croire qu'il y en avait plus ici que dans leur propre ligue.

Elle s'approcha de l'homme, et lui fit les poches tout en lui disant.


Qu'est ce qui vous amene dans le coin?


RE: La route du nord

Je fus surpris par une apparition charmante alors que je regardais sous le mini bar si je ne voyais pas le corps de ma femme.

« Dame Siriane, vous ici ? »

Quelle heureux plaisir, nous somme ici pour ramener le jeune Jim Hawkins dans le nord pour agression si j’ai bien compris, et accessoirement retrouver la cadavre de mon épouse afin de lui donner une sépulture décente…


Je mÂ’approchais de Siriane et lui chuchotais :

« Notre ami ser Ereandur a quelque soucis pour courtiser la femme de son cœur, si vous avez des coneils a lui donné, son histoire est triste a pleurer, si je ne devais pas chercher les restes de Favole, je pense que je me saoulerais avec lui ».
édité au tour 1989 par Ron


RE: La route du nord

Les yeux de Siriane pétillerent d'amusement.
Décidément, il y avait bien plus de nordistes dans le coin que dans leur pays glacial. Faut dire qu'il était bien plus sympa de se dorer la pillulle à Bastringue!

Justement, elle était tres fiere de son bronzage, bien mis en valeur par le mini bikini qu'elle arborait.

Son petit itsi bitsi mini weeny tout petit petit bikini
Qu'elle mettait pour la première fois
Un petit itsi bitsi mini weeny tout petit petit bikini
Un bikini rouge et jaune à p'tits pois

Siriane se demanda quand Ron allait faire sa crise d'aploplexie. Il devait etre bien choqué par la perte de sa femme pour ne pas remarquer qu'elle se baladait (comme d'habitude me direz vous) à moitié à poil.


Favole est morte? Ser Ron, cela n'est pas une grande perte...
Prenez donc un verre, j'ai justement beaucoup de choses à vous dire.


Sans attendre la réaction de ses visa à vis, elle attrapa une bouteille de rhum vanille, et en servit trois généreuses rincades.





RE: La route du nord

Surpris par sa tenue … légèrement… absente… je compris que ce Renart avait une fois de plus étendu sa néfaste influence sur cette si fragile damoiselle.

« Ca a beau ne pas être une grande perte pour la société, ça l’est un peu quand même pour moi, trouver une pucelle aussi belle risque d’être problématique, et voyez vous je suis dans un ages où la reproduction commence a devenir un objectif assez préoccupant, mais ne parlons point de ces futilités. »


je pris le verre de breuvage que me tendais la charmante damoiselle, tendant le 3e verre a mon amis toujours pleurant a terre.
Je bus une gorgée et faillit recraché a cause de goût.

"Dites moi, elle est corsée votre tisane vanille !!??? Vous ne la coupée pas au cidre j’espère ?!!"

Laissant mon verre de coté, et récupérant celui de ser Eraendur, je fis comme si de rien était avant de reprendre :

« Sinon vous vouliez m’entretenir ?"
édité au tour 1989 par Ron


RE: La route du nord

Siriane quant à elle lampa généreusement son verre de rhum (oui, lamper, selon le guide a dédé, c'est en mettre la moitié à coté. Hyper dur de lamper correctement de nos jours).

Moi j'la trouve correcte cette tisane....

Elle sorti alors d'on ne sait trop ou un parchemin. Dur d'imaginer qu'un tel parchemin ait pu trouver assez de place dans les quelques centimetres du bikini de Siriane....
Celui ci était d'ailleurs parfumé au Monoi.

Elle commenca sa lecture.


"Ma très chère mère,

Si vous recevez cette lettre, c’est que vous avez survécu et que je ne suis plus.

Dame Siriane?

Vous pardonnerez a votre fils son écriture hasardeuse, mais j’ai bien peur que mon bras ne puisse pas plus tenir une plume qu’une épée et que cette lettre soit la dernière que je pourrais vous écrire.

Euh...Dame Siriane!

Le combat s’annonce trop inégal et je souffre d’un mal étrange. Demain nous ferons une charge héroïque en espérant que cala vous donne le temps de vous échapper de Winterfell.

...Excusez moi mais...

QUOI?


La tzigane darda son regard sur Ser Aerendur qui tenait son doigt levé à la maniere des pochtrons, tentant de rassembler assez de syllabe pour former une phrase.

Vous tenez votre parchemin à l'envers ...

Les joues de Siriane rosirent d'embarras tandis qu'elle remettait le parchemin dans le bon sens.

C'est que je ne sait pas lire depuis longtemps, j'l'ai apprise par coeur....

Elle défia les deux chevaliers de rigoler, et sous son regard assassin ceux ci piquerent du nez dans leur verre. Il ne faisait pas bon voir une tzigane vexée.

Bref Ser Ron, c'est une missive que vous avez adressé à feu votre maman. Avant que vous ne perdiez la mémoire. La suite est encore plus instructive.

hrp : aerendur, dsl de t'avoir un peu joué, si ca te convient pas, missive moi et j'edite.


RE: La route du nord

« Si c’est si instructif, ne vous arrêtez pas en si bon chemin, ma chère et terminez donc votre récitation.
J’ai toujours plaisir a entendre mes mots, dans la bouche aussi délicieuse d’une femme telle que vous, en imaginant qu’il puisse y en avoir de plus exquise. »


Se disant je lançais un regard a Sir Earendur un regard pour lui faire comprendre qu’il etait peu galant de faire remarquer a une femme qu’elle n’etait qu’une femme. Ces créatures méritaient notre compassion et nos encouragements quand comme de vaillants petits perroquets elle essayent de nos imiter pour nous être agréables.
Je lui adressais un sourire bienveillant :

« Continuez ma damoiselle, je vous en prie, nous vous écoutons attentivement… »

Une question me perturbait toutefois, si on met a part celle de ou est le corps de Favole, mais comment avait ’elle réussi a ranger son parchemin dans ses « vêtements » quasi inexistant ?


RE: La route du nord

Siriane hésita un court instant. Finalement, elle plia le parchemin et l'escamota.

Ser Ron, comprenez bien qu'il est indigne pour une femme de mon rang (ce fut dur de ne pas éclater de rire en imaginant Methusaleah comme étant son père...) de vivre avec à peine de quoi m'habiller au milieu de vulgaires pirates...

Je ne désire pas retourner aux Royaumes du Nord...mais je dois avouer qu'une aide...subtentielle serait la bienvenue.


La tzigane fit un sourire enjoleur.

Des que ma bourse aura moins faim, j'vous donnerai ce bout de papier. Un millier de gloups serait bien apprécié.

Elle fit un signe du menton montrant la loque Ser Aerendur.

Et puis j'suis certaines que vous voulez pas qu'une pareille affaire s'ébruite.


RE: La route du nord

« il n’y a rien dont je puisse rougir d’une belle lettre certainement fort bien tournée écrite a ma chère et tendre maman si ce n’est le regret qu’elle n’a jamais du la lire et l’interrogation de savoir comment vous l’êtes vous procurez.

Maintenant j’ai pour principe de ne point négocier de la sorte. Donc soit vous pouvez vous contenter d’une simple donation, ou j’ai peur que ce papier ne soit à ranger dans vos poches.. enfin...hum.. là ou vous pourrez le ranger… »


édité au tour 1989 par Ron


RE: La route du nord

loin du mini bar, pres de la case du capitaine, et au même moment:




« "Après v..." »

J’avais p’tetre raté un truc en allant devant lui pour rentrer dans sa case.
Apres avoir constater l’état déplorable de sa chambre ( il faudrait qu’il se trouve un nouveau mousse d’urgence !! et son cendrier même pas vidé !!! Et ce faux plis sur le Hamac !! Mais bon sang ! c’etait quoi se bordel !)

Le R’nart du voir mon regard car il enchaîna avec un :

« Euh... oui. Hmm, pardonnez moi pour l'état des lieux mais ce vaurien de Jim s'est fait la mal et... bref, vous vouliez? »

bon j’aimais comment il me critiquait, p’tain c’etait qui, qui m’avait dégagé ? Bon un peu vexé, j’ignorait ses question sur qui c’est qui qui lui faisait ce cadeau et fouinait dans mon sac pour retrouver le casque.
Il etait un peuÂ… bah pas glamour, mais je le sorti comme le saint graal. Ca allait sauver le cÂ’ptaine.
Il le pris avec une grimace de sourire forcé : « C'est... c'est magnifique..., il etait déjà en train de fouiner pour trouver a combien il allait le revendre. P’tain s’il se le foutait pas sur la tronche j’aurais fais tout ça pour ça !!!!!??

Non, non, non, non… ça le faisait carrément pas ! J’explosais carrément je le connaissais trop bien pour pas deviner ce qui lui passais par le crane… et en plus il posait le casque sur la table derrière lui. Si je ne faisais rien ça allait être un échec total.

Mais dites moi, tout ce chemin...
-J’vous vois venir ! c'est pas pour la revente !!!! Et arrêtez de faire style que j'y connais rien! j'vois bien que ça vous plait pas!!!!
-Mais si... si ça me plait! En plus je suis sur que ça me va bien.. »


Il avait l’air tout surpris et tout gêné, du coup, y se sentis tout obligé de se le mettre sur la tête !

Bingo !

J’allais sauter de joie quand je le vis se figer. Sur le coups j’cru que le casque il etait tout foireux et que le Gaby s’etait tout planté. Mais ensuite il se passa un truc vraiment trop zarby, le truc où l’on sait pas si on doit gerber, flipper ou trouver une 3e option.

Un peu inquiet je m’étais penché pour lui demander un : « Ca va ? » mais sous mes yeux j’eu une vision d’horreur.
Le R’nart se ratatinait a vu d’œil, il vieillissait sa peau pendouillait. J’étais super inquiet, et si ca le tuait ce truc !! Je pleurais déjà de la boulette que j’avais fait.

c'p... heu... capitaine ça va?

Sous mes yeux il devint… un fille !! Une vieille fille super moche ridée puante… je pris le casque… et pendant que la créature ayant pris la place de r’nart se jetais sur un miroir je pris la fuite en entendant : « Malediiiiiiiiiiiiiiiiiction! Yé suiiiiis redevenu la vieille de culhaut!!!! » édité au tour 1989 par JimHawkins


RE: La route du nord

JimHawkins
J’étais dehors quand j’entendis :

« aaaaaaaaattend!!!!! Viens iiiiciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!

La chose me courrait après. L’idée que ça soit mon c’ptaine victime d’une malédiction me traversa l’esprit alors je m’arrêtais a bonne distance et levant le mentant je lui fis remarquer que j’avais pas l’intention de me rapprocher. J’étais pas complètement débile non plus !

Mais si cÂ’etaitÂ… lui ?

« Qu'est ce que c'est que ce casque?!
-re..renart?
-Ouiiiiiiii! On se connaît?!
-Vous… vous êtes… une fille ???? C'est vraiment deg'!
-Bien sur que non idiiiiiote! C'est l'apparence que j'avais emprunté sur l'iiile de culhaut à l'aide d'un cigare métamorphe au moment de recruter mon équipage…


Je restais a le regarder ca tenait la route, mais alors ça voulait dire que… c’te gerbe, que c’etait ça le c’ptaine. Après tout ce casque enlever les effets des altérations magique aussi…

non c'est votre vrai apparence !
-Ne me cherche pas amiiiiiiiiiiiiiiiigo!!! Rend moi ce casque immédiatement!!!


Vu sa trogne ça pouvait pas être pire, je lui relançais le casque. Il le mit et ce fut un long spectacle son et lumière, moustachue, homme de la marine, sous des :

« Caramba! a quoi je ressemble maintenant! »


Pendant ce temps, je m’étais assis, j’avais nettoyer mes ongles, enlever une écharde, tout en suivant avec attention le spectacle dans l’espoir de voir le vrai visage de R’nart.

Au bout d’un moment les transformations cessèrent, il etait devenu tout petit tout poilu, j’avais un petit renard dans le casque, pas un bébé, un vrai renard, tout poilu :



Je sais pas pourquoi j’ai eu cette envie, mais j’sentais que c’etait peut être la seule fois que je pourrais le faire. J’allais ramassé le casque et le renard délicatement. Il glapissait, je l’avais dans les bras, la tentation de le laisser un peu comme ça etait grande mais non, j’allais le faire redevnir autrement, je le remis dans le casque, même s’il me mordillait. Je le caressais pour le calmer, il semblais tout intrigué par mon odeur quand la transformation suivante commença.

Je me retrouvais devant le r’nart … complètement nue. Bordel… il faisait un peu trop chaud pour moi. J’sentais même plus mes joues tellement qu’elles me brûlaient. Mais pourquoi fallait il que je regarde … « Ca » aussi… ?

« je peux me couvrir? »

Je pris le casque et la fuite, je pouvais pas rester là plus longtemps, je me sentais pas bien, et puis, et merde j’avais pas besoins de raison. J’avais fais ce que j’avais a faire.

Et l’autre qui me courait après la bistouquette à l’air, avec les jupons, le corset les chaussures… j’essayais de virer ce que je pouvais pour courir le plus vite possible.
Je connaissais le camps comme ma poche, arriver au temple me cacher là-bas ne serait pas un problème…
édité au tour 1993 par JimHawkins


RE: La route du nord

Sir_Earendur
Dans un brusque elan d'affection incontrolée le Lord se jette sur Siriane et la serre dans ses bras, laissant de chaude larmes couler sur ses epaules nues

"Elle veut pu de moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!"

Restant dans cette position, l'alcool aidant grandement, il continue de deverser un torent de malheureuses goutes sallée qui viennent mourir au creux de la peau de la jeune femme

"Je suis sur que c'est à cause de...hips...ce Iacchos..."

Il semble se calmer quelque instant, essuyant ses yeux desormais rougeatre...ah bah non, c'est repartit!

"Qu'est ce que je dois faiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiire?"

DECET IMPERATOREM STANTEM MORI

RE: La route du nord

Siriane était dépitée. Elle qui avait cru se remplir les "poches" avec ce parchemin providentiel...
Elle reflechissait às a reponse quand l'encombrant Ser Earendur vint chialer sur son épaule.
Elle allait le rabrouer vertement quand il prononca SON nom.


Qui? Iacchos?!

Le regard de Siriane s'assombrit tandis qu'un sourire maternel (n°12) vint flotter sur ses lèvres. Le parchemin devint subitement moins important.

Ser Earendur, racontez moi tout.... Cela a t il un rapport avec cette nigaude qui lui tournait autour apres votre combat?

Et avant que le Ser eut retrouvé assez d'esprit pour lui raconter l'histoire, elle tendit la lettre à Ron.

Qu'importe maintenant faire trainer cette histoire, elle est morte, et c'est bien fait. Na !


RE: La route du nord

« Je vous avouerais que j’aurais préféré qu’elle attende au moins demain pour décédé… »

Pauvre Sir Earendur… de le voir dans cet état me rendait tout chose. Je posais sans y faire plus attention la lettre sur le mini bar et alla tapoter amicalement le dos de mon ami.

« Votre imagination vous abuse si vous pensez que notre maître palefrenier vous ferait de l’ombre Ser Earendur, laissez moi vous dissiper d’un doute, maître Iacchos est un artisan passionné par son travail, je doute qu’il sache compter fleurette comme une dame le désire.
Et puis selon le guide à dédé (page 124 du supplément spécial pj sur comment trouver l’amour pour un paladin édition 7.8 et demi) du comportement d’une jouvencelle, essayer de rendre jaloux l’homme qu’elle désire pour époux fait partie de ses ruses primaires et sadiques dont usent les courtisane.
Alors sécher moi ces vilaine larme avant de tremper Damoiselle Siriane !
»


DÂ’un geste jÂ’encourageais mademoiselle Siriane a mÂ’appuyer dans mon explication.


RE: La route du nord

Sir_Earendur
L'humain lachait la jeune femme et tombé sur le sable, en position assise...l'humain? Oui, oui. Le ser n'etais plus demi-elfe, comme Siriane l'avait connu. C'etais un humain. Un vrai? Qui sait?

"Il est partit à sa suite...hips...apres le combat...hips...des hommes à moi...hips....les ont vu marcher dans les rues ensembles...hips..."

Il s'arrete un moment pour reprendre son soufle, semblant perdu quelques instant dans ses pensées, la bouche ouverte de façon béate

"Ses...hips...intentions...etaient claires..."

Ils se releve alors brusquement, sans brevenir, et attrape la premiere prise possible sur l'armure de Ron, l'agitant avec force

"JE VAIS LE CREVER!!! hips..."

DECET IMPERATOREM STANTEM MORI

RE: La route du nord

Un peu secoué maladroitement pas Ser Earendur, j’essayais toujours de le clamer même si je sentais que l’assommer d’urgence risquait d’être nécessaire dans son état.
Je lui envoyais une pichenette pour lui rendre ses esprits et calmer ses ardeurs !

« Blong ! »


Je me souvins que jÂ’oubliais toujours que je portais une armure. JÂ’avais mal pour lui.


« Reprenez vous Ser ! Vous êtes devant une dame, votre langage est inconvenant d’autant plus que maître Iacchos n’est point du genre a déflorer une jeune dame de ola qualité d’Ellenthiel !
Alors cessez vos divagations, vous avez besoins de repos pour y voir plus clair ! »



RE: La route du nord

Siriane fit une grimace de compassion devant la bosse qui fleurissait le front de Ser Earendur. Ouch....ca devait faire mal...
Elle s'interrogea brievement sur le sens du mot déflorer, avant de relever le pauvre homme.
Elle le soulagea au passage de quelques gloups supplémentaire.


Iacchos ne se generait pas pour mettre Ellenthiel dans son lit...je le connait assez pour savoir ca...

Elle piqua un fard, de confusion ou de colere, avant de continuer avec un sourire enigmantique (n°16).

Mais c'est son métier n'est ce pas? Ne vous inquietez pas, je suis certaine qu'il saura bien dévergonder cette nigaude.

Provoquer l'homme saoul était un moyen comme un autre d'exercer sa vengeance. Si Iacchos avait mit une autre nana dans son lit, il aurait affaire à eux deux.

Elle soupira en regardant le si charmant bikini qu'elle avait trouvé dans un hamac, se disant que ca serait pas une tenue tres efficace contre le froid. Non décidément, elle ne retournerait pas au nord.
Il fallait que Ser Earendur regle ca pour elle.

Elle ramassa une dent de requin.

Oui, la plage de bastringue avait pour particularité, la ou d'autres étaient couvertes de coquillages, d'etre parsemée de dents de requin. Avec une cordelette elle en fit un pendentif tres...mode.

Punaise, si elle avait plus de temps, elle pourrait en faire un bizness lucratif. Elle eut une vision fugitive d'un homme sur une drole de planche en train de glisser sur une vague, avec ce genre de pendentif autour du coup. Il était chauve, et arborait son éternelle paire de lunettes.

Fichu voile, c'etait pas le moment d'avoir des visions!

D'un geste habile, elle enduisit la dent de requin de poison, et la passa autour du cou du lord.


Quand vous le verrez, griffez le simplement, il plongera dans un profond sommeil. Vous pourrez alors sauver votre nigaude...euh...Ellenthiel.
Quand il se reveillera, dites lui bien que c'est un cadeau de ma part.




RE: La route du nord

Sir_Earendur
Le choc du metal contre son crana avait été violent et il été tomber à la renverse. Du coup, une bosse commençait à pousser sur son front. Les rhinoceros aussi sont t'ils cocu? Aidé par la jeune femme il se releva, se massant doucement le crane

"Ouah...j'ai un de ces mal de cran...où suis-je? Ah oui...bastringage...Jim Hawakins...Favole..."

Il frotta energiquement ses yeux avant de poser son regard azuré sur la tenue plus qu'allechante de la jeune femme, ses sourcils se haussant brusquement, dans un air melant contemplation et etonement

"Dame Siriane?"

Les propos de cette derniere le ramena brusquement à la realitée...Iacchos...tuer ce jeune impudent...les paroles de la jeune femme ne firent que accentuer la colère du Lord et il pris le pendentif qu'elle lui tendait, le regardant de façon malsaine. Il se reconcentra alors sur la jeune femme

"Dame Siriane, vous connaisez ce Iacchos, n'est ce pas?"

DECET IMPERATOREM STANTEM MORI

RE: La route du nord

Siriane rit à la question du lord, tentant de cacher derriere une joie forcée l'éclair douloureux dans son regard.

Oh oui, je le connais, c'est un peu à cause de lui que j'en suis la aujourd'hui.
Si vous voulez un conseil, méfiez vous de lui, il est plus dangereux qu'on ne le suppose au premier abord.


Siriane pinca les lèvres. Elle regretta presque d'avoir lancé Lord Earendur contre son Iacchos, mais elle chassa vite ces remord. Apres tout, il s'etait mis dans ce guépier tout seul, et ne se genait pas pour fouelr ses sentiments comme une vieille chaussette.

Le chevalier se vengerait, et elle aussi...

Elle chercha inconsciemment des yeux son chauve préféré.

Son regard croisa celui de Ron. Elle en frémit. Berk non... ce serait...berk quoi.


RE: La route du nord

je pris un air détaché, ses jacasseries de femmes et leur mesquineries naturelles étaient peu digne d’un chevalier, et Ser Earendur était top ivre pour avoir les idées claires. Je devais sauver son titre de chevalier a tous prix.
Si Damoiselle Siriane n'avait pas été sous la protection de Ser Lannister, je l'aurais tout de suite coupé dans ses délires et donné la fessée qu'elle méritait.

Je pris la dent de requin avec précaution et la rangeait dans un mouchoir.


« Les enfants ça suffit, damoiselle Siriane arrêtez de taquiner notre bon Earendur, il a déjà eut son compte d'émotion pour la soirée. Et le braquer contre le chaste maître Iacchos n'est point digne de vous.
Quand a vous Ser Earendur, mais arrêtez d'en vouloir a mon écuyer... vous verrez après une bonne nuit de repos et votre mission d'achevée, vous retrouverez votre tempérament chevaleresque.
Bon et nous nous trouvions un petit coin pour nous installé, vu que je pense que nous sommes condamné a passer la nuit ici ?»



RE: La route du nord

Sir_Earendur
Apres un bref instant de reflexion le Lord passa le pendentif autours de son cou, veillant à ce qu'il ne puisse pas toucher sa peau. Il tourna la tête vers le chevalier et s'imagina quelques instant coincé dans un hamac, pressé contre l'armure de celui ci...par tous les dieux! Non!

Pas pur reflexe (si!si!) il orienta son regard en direction de la jeune femme, haussant de nouveau le sourcil. Un TIC? Un TOC? Enfin, un truc comme ça?


"Je pense que oui, nous allons passer la nuit ici...dame Siriane...y aurait t'il un endroit ou je pourrais passer la nuit? Je suis certains que Ser Ron est suffisement debrouillard pour trouver, en ce qui le concerne."

DECET IMPERATOREM STANTEM MORI

RE: La route du nord


Oh bien sur, nous avons toujours des hamacs pour les invités surprise.

Mettant ses deux doigts dans la bouche, elle siffla de maniere fort peu noble. Mais à l'arbre les apparences ! (oui c'est pas remplacer "au diable" ca fait étrange je vous l'accorde).
Aussitot, une dizaine de gaillard sortirent de leur hamac pour venir baver sur elle. Sans faire attention à ses admirateurs, elle se retourna vers les chevaliers et leur présenta les couches vides.


J'admet que c'est un peu rustique comparé au palais de feu votre mère, Ron, ou que vos appartements, Lord Earendur, mais dormir à la belle étoile c'est plaisant.

Elle détailla les armures des deux hommes.

Par contre j'suis pas certaine que ca puisse supporter le poids de tant de ferraille...

Et tandis qu'elle les accompagnait vers les hamacs, elle glissa à Ron

J'espere que le parchemin vous ouvrira les yeux sur la véritable nature de feu votre épouse, Ser Stark...

Mais dites moi, le capitaine sait il que vous etes la?


RE: La route du nord

« Le capitaine? Voulez vous parlez de Ser Régent? C'est lui qui a envoyer Ser Earendur en mission, quand a moi, je ne fais que mon devoir de mari, mais vous savez bien que j'entretiens un correspondance toujours aussi étroite avec Ser Lannister. Mais pourquoi cette question? »

Je regardais les hamac, j'avais ma fois dormis dans fort plus archaïque que cela, mais j'avais pas très envie de m'abandonné aux songes. Dans l'état de Ser Earendur, que quelqu'un se dévoue pour monter la garde ne sera pas un luxe, et je ne voyais pas la frêle damoiselle Siriane faire rempart de son corps.

« Je vous remercies pour votre sollicitude ma damoiselle, mais je pense qu'il serait bon que je reste à veiller sur ser Earendur, le temps qu'il reprenne ses esprits . »


RE: La route du nord

Siriane leva les yeux au ciel. Par le Mont Dreel, parlait elle chinois?

Non, je parle du Capitaine Renart.... Ser Lannister, mon....papa est un régent, pas un capitaine....

Bougez pas, j'vais voir ce qu'il est en...


Et, toujours en bikini, alors que la lumiere du jour laissait place, comme à regret, à l'éclat discret des deux lunes, Siriane se dirigea vers la case du capitaine.


RE: La route du nord

Je rattrapais la damoiselle : [i] « Ah ce gaillard là !? J’ai eu le déplaisir de le rencontrer effectivement, il est parti me chercher le corps de ma femme et ramener Jim Hawkins a ser Earendur. Il m’a l’air un peu lent, si en plus vous allez le perturbez par votre si agréable présence, j’ai peur que l’on ne trouve ni l’un ni l’autre… »[i]


RE: La route du nord

Sir_Earendur
C'est avec un certain regret que le Lord regarda la jeune femme s'eloigner, finalement rejointe rapidement par le chevalier, semblant avoir encore à lui parler. Il se dirigea alors vers l'un des hamac vide et y entra. Il sortit de son sac de voyage un parchemin et de quoi ecrire une missive...une fois qu'il eu finit il se debrouilla pour qu'elle soit envoyée et il s'enfonça dans le hamac, ne s'endormant pas de suite

DECET IMPERATOREM STANTEM MORI

RE: La route du nord

Siriane s'arreta, interdite. Un frisson parcouru sa peau nue. Le soir était tombé, et avec lui la fraicheur de la nuit.

Bien, je crois qu'il effectivement plus sage de les attendre alors. Si vous voulez bien m'excuser, je vais me couvrir un peu.

Et elle planta Ron, se dirigea vers sa case, trouva une robe guere plus couvrante et plus provoquante que son bikini, avant de revenir.

Vous devriez aller dormir vous aussi, vous ne craignez pas grand chose ce soir. Mais si vous vous sentez d'attaque, je devais aller rejoindre Doug, chargé de ....hum...notre artisanat local. Peut etre meme y aura t il Juune avec lui.


RE: La route du nord

L’idée etait tentante.

« Junne ? Vous voulez dire messire Juune Bande ? L’inventeur ? Ca serait un tel plaisir de le revoir. Passez lui mes amitiés, j’espère vous rejoindre un peu plus tard, mais vous comprendrez qu’en tant que chef de culte je me dois de montrer l’exemple , et surtout je penses que les âmes des anciens seront plus aptes que ce « Renart » à retrouver la trace du corps de ma femme et à aider notre cher ser Earendur à accomplir sa mission.

Je vais de ce pas me recueillir dans les temples, je vous retrouve mes devoirs faitÂ…


MademoiselleÂ…
»

Je la saluais avant de prendre le chemin du temple, ou plutôt d’une indication de temple…

édité au tour 1991 par Ron


RE: La route du nord

Renart
**Suite à une course effrénée et maintes cabrioles, Renart parvint finalement a ércupérer le casque et à s'en couvrir les parties génitales qui subirent alors de douloureuses et inattendues transformations... (mais tout va bien au finale, pas de panique mesdames)

"Bueno. Je veux des explications maintenant... sans quoi, je ne sais pas qui tu es, mais je te promets la plus belle fessée de ta vie!"

Les explications ne venant pas, fessée s'ensuit...
Mais aux exclamations bien familière de la jeune fille, qui l'appelle par son surnom, Renart s'étonne et pâlit:
"Mierda! J'ai compris... on m'avait prévenu pourtant... je... je suis désolé petite, je ne sais pas ce que t'as raconté ta mère sur moi... tu... tu as besoin d'argent, c'est ça?"

"Comment s'appelle t elle ta mère déjà...?"

La jeune femme a l'air très émue, fait volte face et s'en va... avant de crier: "si la favole vous dis que j suis amoureuse de vous, c est que des conneries! "

C'est à ce moment que Renart reconnut Jim.
"Mierda... mais qui va repasser mes collants?" se demanda t il en le voyant s'eloigner. Du moins est-ce la seule chose qu'il aurait aimé songé.
Renart, bras croisés sur la tête s'en retourna au fortin où l'attendaient des missives de différents chef de ligues...

Suivez le cigare!

RE: La route du nord

Il m’avait mentie, pris pour sa… fille et vu mes fesses… le casque n’avait rien donné… p’tain j’étais en plein cauchemar. Je me souvins d’un truc qu’avait dit la Favole sur le R’nart. C’était pas un type a avoir une femme, et que même si c’était ce qu’il voulait, il ne pourrait jamais ce le permettre.
De toute façon j’m’en foutait. Si chialait c’était même pas pour ça, c’était juste parce que l’autre andouille il m’avait foutu une fessé qui était même pas digne d’un c’ptaine.

Mais pourquoi que je lui avait foutu une baffe en partant ? Bon ok, il l’avait cherché avec la mention « mékilécon » mais un c’ptain ça se cogne pas! Enfin par par un mouuse, là, ça ce fait pas ça !

C’était con , avec ca, j’allais etre de corvée de patates pendant des années, au mieux.

Enfin si je revenais.

J’etais dans le temple abandonné, je trouvais un pauvre coco le perroquet qui avait rien demandé a personne et lui colla le casque avec un p’tit mot a Gaby pour lui dire que son truc ça marchait pas des masses. Il partis mollement en trainant de l'aille.

Les coco express c'est plus ce que c'était.

Je regardais au loin le Bastringage, ça avait été chez moi, j’aurais pu être pirate… tous mes potes étaient là bas, et puis l’R’nart… Mais kelcon !!!!


Il y avait un vent agréable dans l’desert mais ca sentait pas la bonne ambiance. L’agitation était top malsaine. P’tain fallait qu’je fasse quelque chose.

« Gling… Gling… »

J’me retournais, j’étais en face de la conserve. Le Ron dans le temple, j’avais un arc, il avait une armure et une hache. Nos regard se croisèrent, et ma seul pensée etait :

« P’tain j’en ai marre de courir ! »


RE: La route du nord

J’allais prier dans le temple pour trouver la dépouille de mon épouse quand je vis une jeune pucelle en larmes. Sur le coups, je m’approchait d’elle afin de voir de qu’elle mal elle souffrait et faire mon devoir de tout bon chevalier qui se respecte devant la gueuse en détresse.

Quand elle se retourna en sursautant je vis 3 choses :

1 elle était très apetissant, petite poitrine, mais au physique avenant
2 elle avait un arc dans la main et semblais hésiter
3 mais, cette robe, ce n’était pas celle de dame Favole ?? Mais si… c’est même moi qui lui avait recousu la taille. Et elle était toute déchirée en plus ! Quel sacrilege ! Une Armanain !!!


RE: La route du nord

J’avais une chance, si j’attaquais le premier. Cette conserve avait été un mari odieux, il était responsable du beaucoup de chose…
Je pris mon arc, avec une certitude, je ne fuirait pas.

Ca me faisait quand même flipper, mais bon, c’était pour lui, et dire qu’il le saurait jamais… Et on respire ! tout va bien, je vais bien.. p’tain elle est vachement grosse sa hache…



P’tain, mais qui avait poursuivit qui en fait… j’aurais p’têtre du plus parler avec lui avant.

En tout cas en m’écroulant j’avais la sensation que le vent me parlait, et qu’j’avais fait ce qu’il fallait pour tout le monde mais quand même… pour penser des conneries pareilles, fallait vraiment qu’il ait cogné fort…


RE: La route du nord

Sir_Earendur
Le Lord se reveilla, victime d'un terrible mal de crane...surement l'effet n°2 du rhum...mais il n'etait plus dans son hamac...non...il etais sur un sol dur et humide...celui d'une geole...deux cadavres trainaient dans un coin et degageaint une odeur peu delicate. Eärendur se releva avec difficultée et se rendit compte que ses armes et son armures avaient etaient derobés. Il s'approcha des grilles et atrapa les barreau, hurlant à qui pouvait l'entendre

"Je suis un Lord des royaumes du nord! Je vous somme de me liberer immediatement ou vous subirez le couroux des miens!"

DECET IMPERATOREM STANTEM MORI

RE: La route du nord

Favole était arrivée trop tard, mais de toute façon, qu’aurait elle pu changer. Elle était là, dans cette sinistre prison, avec Ser Earendur, mais que pouvait elle faire ?

Elle avait vu Jim, vu Ron, vu les armes, et vu aussi les autresÂ…
Comment des esprits aussi déments pouvaient avoir provoqué cela. Elle aurait du écouté son mari…

Mais il n’était plus là, et c’était a elle d’essayer d’arranger les choses…

Elle poussa une pierre où elle avait cacher des vivres non périssables au cas où il y aurait des rescapés dans ses oubliettes.

Elle réussi a faire tombé la pierre, et espéra que le bruit attire l’attention du ser, il ne mourrait au moins pas de faim…


RE: La route du nord

Arwen
(Hj: dans la continuité de ce que j ai dit dans un appel au secours)

Arwën avancait toujours sur la piste, la chaleur était harrassante et son destrier peinait.
Les traces de la monture du Lord étaient toujours visibles mais le vent les effacaient de plus en plus.
Arwën savait qu il éait sur la bonne voie, la douleur qu il avait ressenti dans sa tête tout d abord s était propagée et venait d atteindre son coeur, nul doute, un Dragon Divin avait souffert non loin.

Le climat extérieur devenait de plus en plus lourd, son destrier peinait de plus en plus...
N ai crainte mon fidèle Kybeau, nous arrivons, je le sens, nous trouveront les réponses à nos questions et ceux qui sont la cause d une telle souffrance seront anéantis.

Les Dragons sont la clé de tout...