Errer...

Il faisait froid…

L’harassante chaleur de la journée s’était envolée et les pales rayons de lune ne parvenaient pas à la restaurer. Le vent soufflait bruyament, faisant virevolter des gerbes de sable pour danser avec lui sur des rythmes endiablés.

Puis, soudainement, une main aux ongles de verre surgit d’une dune. Elle fut rapidement suivie par une autre puis un corps entier qui s’ébroua dans la lumière lunaire. Une longue chevelure brune, bouclée et pleine de sable cascadait sur les épaules de ce qui venait de sortir, jusqu'à ses reins. La créature, manifestement humanoïde, replongea une main dans le cercueil de sable et en sorti une longue chaîne cloutée, adaptée au combat. Elle s’en parât puis siffla brievement. Un grand cheval noir se redressa, faisant chuter le grand tissu qui le protégeait des caprices du désert et attendit son maître, naseaux dilatés. L’être s’approcha de la bête, l’harnacha tendrement, plia le tissu qu’elle plaça dans ses fontes et grimpa dessus à la mode masculine, jambes écartées sans gêne.

Le puissant animal reprit sa marche de sa veille, le sable roulant sous ses sabots de façon désagréable, sans pavés pour lui asseoir une marche aisée…

Cette nuit là, le désert est des plus calmes. Froid surtout… Enfin comme un désert quoi. Rien ne bouge, rien ne vie.

Mais est-ce vraiment le cas ?

Rien ne vie ?

Alors qu’est ce donc que cette petite chose qui gigote dans le sable ?

Un enfant ! Un bébé pour être plus précis… Qu’est ce qu’un baveux peu bien faire seul dans un désert… mais où va le monde ? Et puis le questionner ne ferais pas avancer les choses, à moins qu’il existe des experts en décryptage de bulle et autres babillement de bambin.

Là n’est pas le sujet, il est là un point c’est tout. Bien qu’apparemment il ait « réussi » à se nourrir seul jusque là, au vu de la quantité de sable qu’il a de collé à sa bouche, il paraît en relativement bonne santé, cela ne doit pas faire longtemps qu’il doit être ici. Le voici déjà qu’il se rendort.

Le silence revient

Le silence encore.

Le silence toujours.

Le silence persiste puis signe.

De toute façon que voulez-vous qu’il se passe d’autre dans un désert… on n'est pas dans un conte de fée ou le petit bébé ce fait sauver comme par hasard alors qu’il n’y a rien a plusieurs lieu a la ronde. Le désert est cruel, le désert est méchant, le désert mange les petits bébés abandonnés en son sein…

Mais… ce bruit ? Des bruits de crissement de sables… je vois… le désert à aussi le sens de l’humour, oser me faire mentir aussi honteusement… je ne serais pas fier si j’étais lui. M’est avis qu’il s’en fiche pas mal. Mais les faits sont là, quelqu’un ou quelque chose se rapproche.
édité au tour 1930 par Renald

Avec nonchalance, le noir cheval continua sa marche dans le désert glacé un certain temps. Sans but… sans écurie ou passer le jour…
Pandora buvait le paysage lorsqu’un gazouillement improbable fit sursauter le couple.
La jeune femme sauta prestement au bas de sa monture, sa chaîne cloutée sortie et prête à répondre à un assaut puis suivit le bruit… La curiosité, quel vilain défaut …

Quelle ne fut pas la surprise de la jeune femme en voyant un couffin avec a l’intérieur un petit crapaud haut comme trois cerises…
[I]Un gosse… Dans le désert… Pauvre truc… Aucune chance de survie.[/I]

Déjà Pandora se détournait pour reprendre sa propre route sans chiard dans les pattes quand un rayon lunaire se refléta sur un bijou dans le petit cou grassouillet de l’enfant. Intriguée (toujours cette damnée curiosité), elle se baissa jusqu'à l’enfant et décrocha d’un cou sec le pendentif.
[B]« Renald Lannister, fils de Methusaleah Lannister et d’Elia Martell Lannister. »[/B]

Son cœur s’il était vivant aurait fait un bond gargantuesque dans sa poitrine. Les lèvres en feu, elle se retourna vers l’enfant disséquant méthodiquement chaque parcelle de son visage. Les cheveux blonds de son père, le petit menton fière de sa mère… Une vague de sentiments submergeait Pandora…
C'était impossible, elle avait la berlue... Le manque de boisson lui avait fait tourner la tête et ses rèves prenaient corps devant ses yeux dérangés! Non ce n'était pas croyable... Elle avait un frère et qui plus est celui-ci agitait ses menottes devant ses yeux... Impossible!

Et l’enfant éclata d’un petit rire.
Ce rire d’enfant qui vous fait oublier pourquoi vous le grondiez. Elle avança un doigt vers sa bouche et le petit se mit à téter fébrilement espérant faire jaillir le lait maternel de sa sœur. Elle n’avait pas la moindre nourriture…
[I]Bon hé bien au boulot, on va trouver à bouffer au crapaud ![/I]

Ni une ni deux, elle chargea le couffin sur le postérieur de sa monture, le sangla et reparti au petit trot dans le but d’enfin trouver un endroit civilisé.


édité au tour 1930 par Pandora

Ups ^^" édité au tour 1930 par Pandora

Juune marchait dans le désert parcourant les alentours de son campement quand il vit une silhouette au loin.

S'approchant de celle-ci, il reconnut une de ces créatures mi-homme mi-cheval qui peuplaient parfois le désert : un centaure.

**La nuit me joue des tours!! Il s'agit juste d'une cavalière sur la croupe d'un cheval! Et quelle cavalière!!**

Il s'arma de son plus beau sourire et lança haut et fort :

"Eh bien, ma belle, il fait frais en cette soirée hein?! Heureusement que la lune se lève pour nous éclairer un peu. Vous n'auriez pas un lieu approprié où passer la nuit? Je cherche une halte..." -phrase qu il ponctua d un clin d oeil amical.

"Je ne suis ni un détrousseur, ni un mal intentionné, mais je pense qu'un peu de compagnie ne me fera pas de mal."

Visiblement, l inventeur attendait une réponse hospitalière de son interlocutrice qu'il continuait d'osculter de son oeil lubrique.

En quelques mouvements brefs et précis la chaîne cloutée fut sortie et en position de combat monté. Mais l’individu n’avait pas une mine si patibulaire que cela… Et le son de sa voix ne fit que confirmer ce que la jeune femme avait déjà déduit de sa démarche. Il ne semblait pas, de prime abord, dangereux. Qui plus est… Elle avait besoin de lui, même si cela lui faisait mal au c… derrière de l’avouer.
Elle répondit donc d’une voix calme, un peu rauque mais pas dépourvue de charme, s’efforçant d’avoir l’air civilisé.

« Le soir vient seulement de tomber que vous cherchez déjà un abri ? Le réveil ne fait que commencer, mon bon monsieur. »

Ses lèvres s’ourlèrent d’un petit sourire… [I]Et bien entrons dans le jeu…[/I]

« Malgré tout je serais ravie de vous accompagner jusqu’au campement le plus proche pour pouvoir manger un morceau en votre compagnie… Il fait long que je n’ai eu l’heur de discuter avec quelqu’un…»

Ses fines mains ne bougèrent pas de la chaîne, sans néamoins se crisper de façon potentiellement dangereuse.

**Jusqu'au campement le plus proche!! C'est pas ce soir que je connaitrais l'intimité d'une nouvelle conquète...**

"Oui bien sûr, ma belle!" *sourire crispé*

"Je sais où nous pouvons aller pour discuter un peu!" fit il en pointa de son pouce derrière son dos.

"Bastringage, vous connaissez!? Un repère très agréable de ma connaissance où nous aurons tout loisir d'être tranquille pour nous connaître plus amplement. Vous semblez manquer de rapports humain, me trompé-je?"

Puis sans laisser Pandora répondre il s'approcha du cheval et glissa sur un caviar :

"Mais n'ayant pas de cheval, vous allez devoir me faire une place tout près de vous si vous voulez que nous nous hations de trouver ce campement!"

Son sourire charmeur tiqua quelque peu lorsqu'il distingua enfin ce que tenait la belle à la main. A défaut de cravache, c'était une sorte de boulier que Pandora arborait et Juune regretta d'avoir utilisé la technique d'approche rapide n°13 de son guide du "Parfait Gallant-Homme". Pestant intérieurement, l'inventeur continuait de sourire néanmoins.

L‘audace manifeste de l’homme ne manqua pas d’agrandir le sourire de la demoiselle.
Et elle ne put s’empêcher de laisser échapper un petit rire en voyant son cher interlocuteur poser des yeux inquiets sur son arme passablement exotique. Rabattant une rebelle mèche derrière son auguste oreille Pandora prononça donc lentement en détachant ses mots.
« Parfait. Direction votre Bastringage donc. »

La jeune femme se recula sur la selle, plaçant sa chaîne de chaque coté de son cou de façon qu’elle n’entrave ni la montée de l’homme ni la manœuvre de l’étalon. Le bas de son dos appuyé contre le couffin sanglé contentant le bébé emmailloté, elle fit un signe d’invitation à Juune avant de chuchoter d’un air goguenard.
« Faites attention au pommeau vous pourriez vous blesser… »

L’homme pesta de nouveau… Se placer à l'arrière de la belle et pouvoir la serrer contre lui en évitant la chute aurait été des plus agréables.
« Mais je vais vous gâcher la vue ma belle »

Le regard noir de Pandora ne semblait cependant pas laisser matière a contestation, ce qui invita Juune à s'exécuter avec plus ou moins de style; le pomeau était effectivement mal placé.
La femme prit les reines et dirigea sa haute monture dans la direction que lui indiquait Juune.
L'inconfort de la boule de cuir contre les siennes était irritant, mais il souhaitait paraître au mieux, d'autant que deux boules fermes pointaient dans son dos, ce qu'il ne remarqua qu'après un moment.
« Et donc vous voyagez seule? »
Pandora toussota puis répondit avec un sourire malicieux que l'homme ne pouvait, hélas pour lui, pas voir…
« Pratiquement »
« Oui le cheval est un compagnon de route fort utile! », S’exclama t-il en souriant. Après un silence, « C'est agréable de chevaucher ainsi, cela vous arrive souvent?! »

Manifestement l'homme avait envie voir besoin de parler…
« hé bien oui ces derniers temps assez souvent... »

Elle eu un sourire étrange limite inquiétant.
« il faut bien survivre »
« Et bien, je vous emmène dans un endroit magnifique, où survivre ne fait pas partie de notre vocabulaire proche. Nous y serons à l'aise."

Elle ne pu retenir un grand rire cette fois tant l’homme qu’elle avait entre les cuisses (softement toujours hein…) semblait sur de son coup.
Laissant Pandora conduire le destrier de mains de maîtresse, et jugeant le moment opportun celui-ci glissa comme l'indique le manuel en page 8 un grandiose :
"Je me nomme Juune!"

Auquel, le visage fendu d’un grand sourire, Pandora répondit d’un ton anodin.
« hé bien ravie monsieur Juune"


édité au tour 1930 par Pandora

La position était inconfortable pour Juune qui, voyant les signes de Bastringage au loin, se mit à prononcer de manière irritée : "Temps mort, Temps mort! Descendons et finissons le trajet à pied, nous aurons tout loisir de nous hâter par la suite."

Dans le berceau, le bébé faisait des bulles.

Avec un petit sourire moqueur, Pandora repondit "Vous ne désiriez pas aller au plus vite possible?"
Néanmoins, par compassion pour l'entrejambe du malheureux, elle fit stopper le cheval.

Juune avait remarqué les lumières non éteintes de Bastringage, et souhaitait éviter Renart à tout prix, certain qu'il tenterait de lui enlever sa conquête. D'un bon adroit, il mit pied à terre.
"Faisons connaissance quelque peu voulez-vous, vous n'avez pas été fort bavarde!"

Promptement la belle lâcha : "Hé bien, je serais aussi bavarde qu'il vous sieras, mais pour l'heure je voudrais du lait!" Elle orna ses levres d'un ravissant sourire plein d'attente et d'espoir.

L'inventueur sentit son heure arriver, et son charme agir. Il remerciait en secret Hakse, qui lui avait donné ces plantes odorantes à frotter sous les aisselles pour plus de succès.
**Ca marche rudement bien** pensait-il.
Toujours aussi stylé que l'indique le manuel de drague de poche, les mots se détachèrent vaillament :
"Je crois avoir ce qu'il vous faut, ma belle!"

Juune cherchait une toile à étendre et prit sa veste, seule étoffe qu'il trouva. Il l'installa au sol, enleva ses chausses, et s'allongea tel un Austin Powers en rut. Enfin, il tappotta le sol de la main en guise d'invitation.

Le sourire de la jeune femme s'agrandit encore. Au loin, un loup hurla. Elle sauta au bas du cheval prestement et prit un petit tas à l'arrière de sa monture et s'approcha de l'homme, persuadé de sa superiorité hormonale.

"Vous allez m'attacher avec votre chaîne, ma sauvageonne? Ou me torturez jusqu'à ce que je n'en puisse plus, ma divine sadique?"

"Mieux que ça, j'ai ici une petite surprise qui ne vous laissera pas de glace."

Intérieurement Juune avait atteint les 100 degrés nécessaire à l'ébulition. **Oohoo Oohoohoo HooooooooOOO!!!!** Une goutte de sang perla de sa narine.

Renald poussa alors un hurlement à déchirer les tympans en apercevant le bougre, conjugué à sa faim toujours non assouvie.

"Juune, je vous présente Renald." fit Pandora fière.

"Je ... euh ... le ... Qu'est ce qu... Qu'est ce que c'est?" fit Juune tout raide.

"Et n'importe quel liquide blanchatre ne sera pas suffisant pour la nourrir!" Pandora esquissa un charmant sourire innocent. Renald, lui, continuait à crier tant son ventre l'y invitait.

"C'est quoi ça?!" Juune tendait son doigt tandis que le tendu se détendait. **Bruitage numéro 49 ** Kioutoup kioutoup** (Bruit que fait Arale quand elle touche quelque chose d'inconnu)

Pandora retira tendrement les couvertures qui enveloppait le nourrisson et présenta sa bouille d'ange à Juune.

"Un instant, ma belle!"
Juune se retourna et couvra le cri du loup : "NNNnnnaaaaAAAAAAAAaaaaannnnNNNNN!
"Vous disiez, ma douce?"

"Je veux du lait!"

"Ah du lait..." **ce satané sens propre! grr!** "Eh bien oui, je sais où vous en procurez..."

"Merci vous êtes adorable!"

Deux batements de cils et hop ils partaient vers le campement.

"Finissons le trajet à pied si vous n'y voyez pas d'inconvénient, je n'ai pas réussi à me détendre suffisamment" fit l'inventueur engourdi.

"Tres bien continuons à pieds, ne poussons pas le vice à vous torturer jusqu'au bout..."
Elle lui sourit à nouveau, toujours aussi innocemment tandis que la chose vivante dans le couffin s'était calmée et faisait de jolis petits gazouillis.

Bastringage cuvait son rhum.
Juune guidait le bébé, la belle et son cheval à travers les cocotiers jusqu'à l'étable. Les quelques flammes des torches ça et là éclairaient leur trajet, et c'est sans trop de mal que le groupe atteignit l'endroit où l'on pouvait tirer du lait. Arrivée devant l'étable, Pandora prit l'enfant du couffin et s'approcha d'une vache à demi somnolente.
«Dites-moi Juune…vous savez traire ces choses? »

Manifestement la traite n'avait pas fait parti de son éducation... Le bébé commençait à s’impatienter et progressivement ses petits gazouillis se muaient en cris alarmants. Juune se tenait dans l'entrée, une épaule sur les gonds de la porte, scrutant l'extérieur par moment. Les oreilles démolies, il répondit en regardant la jeune femme :
« - J'aurais pensé que, de nous deux, c'est vous qui auriez su comment traire...
- Au cas ou ça vous aurait échappé, cette chose à traire est une vache et je ne trais pas les mamelons de vache...
- Si c'est du lait qu'il vous faut, placez l'enfant dessous, et laissez-le téter. Lui saura faire...

D'un air dubitatif Pandora prit son potentiel petit frère dans les bras et le tint à distance adéquate du pis de vache. Celui-ci, en bon gourmand, téta goulûment. Soulagement auditif…
Juune s'approcha de Pandora qui, tenant son frère des deux mains, ne pouvait pas enlever la mèche de cheveux qui lui encombrait la vue.
« Vous permettez ?! »

La jeune femme, les bras tendus et dans une position assez inconfortable voir carrément instable trouva le moyen d’esquisser un sourire et de remercier l’inventeur.

« Il avait l'air d'avoir faim le bougre! » Fit Juune en rendant son sourire à Pandora.
« - Faut croire… En fait j'en sais rien, heureusement qu’il sait se faire entendre... C'est nouveau pour moi de devoir s'occuper de ça... Mais qu'est ce que je vais bien pouvoir en foutre...
- Mais... c'est bien le vôtre tout de même? Vous ne pouvez décemment pas déjà penser à l'abandonner...
- Pardon? Le mien? »

Pandora éclata d'un rire silencieux. L’homme la trouvait magnifique avec ce petit rictus…
« - Non, le sang soit loué… C'est mon petit frère. Il faut croire...
- Ah ?! Et bien ma belle, une chose à faire, trouver vos parents, leur rendre Renald et fuir ensemble... enfin quand je dis fuir... une petite escapade, bien sur. »

Le rire de la chasseresse se fit plus audible et son sourire se fit plus retord.
[I]C'est une idée… retrouver les parents…[/I]
« Juune vous m'avez donné une idée splendide ! »

Pandora tendit sa fine main pale au jeune homme sans se départir de son sourire. Main qu’il s’empressa de prendre dans la sienne avec toute la deference voulue.
« - Pandora Lannister.
- Glouh blurps
- Charmé ! »


Le lait coulait sur les joues de Renald qui n'avalait plus rien depuis quelques secondes. Son petit ventre semblait repus. Sa sœur sortit une fiole vide qu'elle remplit de lait puis la rangea dans son sac en prévision du réveil de la faim.
« Il y a un endroit ou dormir avec un enfant ici?
Je vais récupérer mon hamac pour lui, et je pense connaître un endroit tranquille pour nous.
Si vous voulez bien me suivre »

Pandora fit un sourire engageant à juune mais reprit par un :
« Je préfère passer cette première journée avec lui… a l'abris.»
Elle toussota, raclant légèrement sa langue avec ses crocs tendis que Renald, le ventre rebondit commençait à s agiter.
« Cela va de soi » fit l'inventeur.

Les pleurs de Renald allèrent en s’amplifiant jusqu'à ce que Pandora prenne l'enfant sur son épaule et pour lui tapoter tendrement le dos.
« Merde j'avais oublié ce détail... »

Renald fit trembler l épaule de Pandora. Le bruit réveilla trois perroquets qui s’envolèrent… la jeune femme battit des cils un bref instant.
« Nous disions donc… »

Le groupe passa ensuite sous d'autres cocotiers, bifurqua à l'angle des murailles et trouva un endroit où loger dans les quelques maisons environnantes, un endroit ou le soleil ne risquait pas de pointer inopinément son nez.

édité au tour 1933 par Pandora