Bon a peine arrivé, javais déjà bouletté, pourtant je métais appliqué, javais pris la peine d venir vers midi réveiller le cptaine, de lui apporter son rhum, de lui allumer son cigare. Je voulais vraiment être le parfait mousse pour quil me nomme pirate.
Il mavait même donné un arc pour que je sois son ombre, que je donne ma vie pour mon chef charismatique !
Ca serait la plus belle mort que je pourrais avoir, même si préférerais être adulte avant de lavoir.
Enfin, un arc, cest bien joli, mais ca ne ressemble pas trop à une lance pierre. Il fallait que je sois au mieux pour être digne de mon cptaine.
Je pris une flèche et tirait sur un palmier, avant dentre un
Aieuuuuuu. depuis quand les palmiers faisaient aie ?
Je pris mon courage à deux mains pour mapprocher du palmier et voir en quoi il était différent des autres. Je me mis à linjurier. Il nétait même pas blesser, quel comédien ce palmier
Mais cest la que je vis un homme a terre avec une flèche dans la poitrine.
Oups
aurais je raté le palmier ?
Lhomme respirait encore, il avait lair de terriblement souffrir, je pris sur moi de laider au mieux. Cest vrai quoi, on ne laisse pas un homme a terre souffrir comme ça !!
Je lachevais donc, et je dus reconnaître que je réussi a atteindre ma cible cette fois, comme quoi je maméliorais.
Mais a lair contrarier de cptaine, je compris que javais fait une boulette. Heureusement que le cptaine il est trop bien, il me punit quen me disant quil fallait que je dorme pas dans sa maison et quil fallait que je fasse un mot dexcuse au msieur Lestat que je venais de tuer. Pour plaire a mon cptaine et être un mousse digne de ce nom, jétais près a tout, même a dormir devant sa porte de maison pour être sur quil ne soit pas attaquer pendant la nuit.
Enfin dans un sens, se faire tuer par un gosse qui vise un palmier, cest un peu la honte. Mais bon, jéviterais de donner mon age dans ma lettre et mon écriture sera lui sauver lorgueil.
Je trouvais de quoi écrire, ça allait me prendre des heures pour écrire. Le cptaine se rendait pas contre, mais cest compliqué décrire. Ce me donne les mains mouates et lencre bavousait avec ma sueur.
"« Msieur Lestat,
Jvisé le plamié, padbol cé vou ki avé morflé. Scusé. Jle féré plu.
Jim »"
Apres deux bonnes heures je finis ma lettre et réussi à trouver un volatile pour lenvoyer. L'espece de stupide mouette alla se poser sur le cadavre. Je me sentis un peu bête. Je repris mon ecrit et epinglait mon mot d'excuse avec une nouvelle fleche sur le corps.
Comme ça, s'il se reveillait, il aurait de la lecture!
Avec tout ça, Jétais épuisé, être intellectuel cest fatiguant. Mais mon devoir avant tout, je retournais faire lombre de mon cptaine, même si jétais couvert dencre.
édité au tour 1946 par JimHawkins