Apres le calme...le neant...

Le reveil n'aurait pu etre plus brutal. Allongé au milieu des dunes Andurinel emergea brusquement, semblant sortir d'un sommeil profond. Le soleil etait deja à son zenith, eclairant le desert d'une lumiere chaude, assechant terre et vegetations. Ne faisant pas attention aux alentours il pris son sac de voyage et en debala quelques morceau de viandes envelopés dans des pieces de tissus usée. Sortant un couteau il commança à decouper cette nouriture seche et mauvaises, neanmoins necessaire à sa survie dans le desert. Apres son repas il se releva, pres à se mettre en marche...il regarda autours de lui...au nord, au sud, à l'est, à l'ouest.

Rien.

Le vide.

Le neant.

A des kilometres à la ronde rien n'etait visible, rien ne poussait, rien ne vivait. Sa vie passée n'etait t'elle qu'un reve? Ce desert n'etait t'il qu'un cimetiere vide ou son corp finirait par pourrir? Sous le choc il chutta sur le sol sec et granuleux. Il pris un peu de sable dans ses mains et le fit couler doucement entre ses doigt. Peut etre etait-ce cela le reve? Il allait se reveiller. Il se reveillerai. Il ne se reveillait pas. Il ne se reveillera pas. La réalitée. Voila ce à quoi il etait confronté.

Apres plusieurs heures assis au milieu du neant il releva et se mit à fabriquer un campement, tentant de preparer sa survie. Avec ce qu'il possedait il tenta d'alumer un feu pour ramener vers lui les survivants se trouvant aux alentours.

Le monde civilisé etait mort, les vivants devraient cohabiter quelques temps....


[HJ: les gens pas trop loin de x-99 / y-66 peuvent voir ce feu en cette position ;)]


RE: Apres le calme...le neant...

Anyankah était en train de chasser dans la forêt de l'Empire avec Luuna quand la catastrophe se produisit. Elle avait senti un puissant danger et tout avait disparu. Elle s'était réveillée à côté de Luuna recouverte de sable, seule chose qu'on pouvait distinguer de tout côter. Il ne lui restait que quelques provisions et un peu d'eau, elles ne pourraient vivres qu'une semaine tout au plus. Mais Anyankah et Luuna ne perdaient pas espoir car elles étaient encore toutes les deux et pouvaient ensemble surmonter toutes les épreuves. Elles commencèrent alors à marcher pour trouver un coin pour se protéger du soleil, elles marchèrent sans trouver d'abrit mais la nuit commençait à tomber et plus elles avançaient, plus elles pouvaient apercevoir au loin un feu de camps entouré de quelques arbres. Elles s'y dirigèrent prudemment. édité au tour 1893 par Anyankah


RE: Apres le calme...le neant...

Les rescapés commencaient à affluer, quelques heures à peine apres que le feu ai été allumé des survivants etaient deja là. Andurinel traversait le campement, torse nu, revelant une magnifique scarification ressemblant à un crane, portant du bois à different endroit, pour constuire des batiments de fortumes, raviver le feu. Il creusait aussi par endroit tentant de trouver un peu d'eau necessaire à la survie du campement. Le peu de nouriture qu'il avait rassemblé alla se caser dans une grosse marmite que quelqu'un avait du trainer jusque là. Il se dirigeait vers les diferents groupes, donnant quelques ordres

"Recoltez un maximum de bois, essayez de construire ce dont nous avons le plus besoin pour survivre. Si vous avez de l'eau ou de la nouriture en trop donnez les, nous devons partager pour survivre!

Et il repartais à l'autre bout de la zone, s'agitant comme pas possible, concentré dans sa tache

[HRP: des rations de nouriture sont sur la marmite, servez vous une ration seulement si vous ne pouvez pas survivre. Si vous avez de l'eau et de la nouriture en trop mettez les par tranche de 3 sur la marmitte. De meme, pour le bois, mettez le sur les fagots de bois (au dessus du feu) pour que je les recuperer et rassemble le tout pour batir quelques trucs. Le chantier est reservé à une mer ;)]


RE: Apres le calme...le neant...

Quand Anyankah se rapprocha du camp avec précaution, elle vit qu'il n'appartenait pas à quelqu'un en particulier, à part peut-être celui qui donnait quelques ordres, mais à un groupe de rescapés. Elle se présenta donc au camp toujours sur ces gardes, Luuna à ses côtés, et se mélangea au peu de personne présente. Pour montrer ses bonnes intentions, elle alla mettre un peu de ses réserves de nourriture dans le chaudron.

"Pour vivre en groupe, il faut savoir partager..."c'est ce que sa mère lui disait tout le temps mais elle n'avait jamais pu le pratiquer étant toujours solitaire ou plutôt en duo avec Luuna... Mais au faite est-ce que sa mère allait bien? Elle chercha un peu dans le camp si quelqu'un la connaissait et pourrait la renseigner sur où elle était avant le changement...


RE: Apres le calme...le neant...

Elle était hors de la ligue, à l'orée des bois, près de Tréjiah, lorsque le cataclysme se produisit.

Elle avait été violemment projetée sur le sol et avait perdu connaissance.

A son réveil, Tréjiah était toujours là, mais il semblait perdu dans ses pensées et regardait fixement l'endroit où aurait du se trouver la cité...
En titubant, elle chercha dans le sable, aida quelques compagnons à se remettre debout, trouva quelques objets qui allaient pouvoir leur servir dans l'urgence.
Puis elle commença à aménager un campement d'urgence et bientot, audessus du feu fait avec des morceaux de porte, le chaudron se mit à chanter (le lapin rose avait fait les frais de l'histoire, et la chêvre, trop ahurie c'était laissée traire...)


RE: Apres le calme...le neant...

Dame Labrulante était en train de se battre contre un très vieux barbare avec ses compagnons quand la terre trembla très fort.
Le barbare disparut subitement dans un nuage de poussière.
Elle espéra qu ils n avaient pas déclenché la colère des Dieux en s attaquant à ce barbare, peut-être honorable...
Mais elle se sentit soudain orpheline. Elle avait un sentiment de vide et quelque chose d important dans ce monde semblait avoir disparu.
A l'horizon, de la fumée...
Elle sauta sur son cheval et se dirigea avec EsoxLucius et Kronos, ses fidèles compagnons, vers le feu


RE: Apres le calme...le neant...

Rentrée depuis peu, après un long voyage hors des terres d'Adept, Nérina venais juste de retrouver Lorelei, ancienne Chancelière de la République Nomade, qui venait de contracter la "Barbarite-Aigue" !
Ne pouvant pas laisser son ancienne coéquipière dans ce triste état l'Elfe bleu avait aussitôt engager un combat destiner à libérer l'âme tourmentée de Dame Lorelei.
Après une longue joute à l'issue incertaine l'Elfe commençait enfin à prendre l'avantage sur son adversaire quand, une terrible grondement, accompagné d'un tremblement de terre et d'une énorme rafale de vent charger de sable la fit tomber au sol !
L'onde de choc passée, Nérina, se releva, épousseta sa tunique couverte de poussière, crachant du sable crissant entre ses dents ……..!
Le désert était vide ……………..
Lorelei disparue Â…Â…Â…Â…..
Une lourde chape de silence couvrait l'immensité vide ……
Miraculeusement son fidèle dragon blanc, ses armes et ses vivres n'étaient pas disparus ……….
Elle enfourcha le reptile volant et le fit monter en cercles concentriques affins d'avoir une vue la plus large possible de la situation Â…Â…Â….
Plus sa monture montait, plus l'Elfe ressenti le vide absolu qui s'était fait ……….
Enfin arrivé à la hauteur limite que pouvait atteindre sa monture, l'Elfe entrevis, très long au sud-est, la légère vibration de l'air que provoquait ordinairement une intense source de chaleur ……….

Il n'y avait rien d'autre à faire que de diriger le vol de sa bête dans cette direction …………….. !


RE: Apres le calme...le neant...

…Comment cela est arrivé, nul ne le sait, et nul ne le saura jamais. La fureur a embrasé le coeur ombrageux de chacun des hommes, comme une vague frénétique irrépressible n’apporta que vide et néant en ces terres bien isolées…

Le vent qui soufflait ne dérangeait en rien l’insecte dans sa course perpétuelle de la survie. Dernier rescapé en ces terres éloignées il serait le témoin indirect d’une renaissance. Autour de lui s’étendait des plaines a perte de vue. La vie avait perdue depuis longtemps son emprise sur ce domaine que les dieux eux même s’efforçaient d’en oublier l’existence. Le scarabée sentit le sol tremblait sous ses pattes, sentant le dangers il s’envola.

Emergeant du sol dans une explosion de sable, la main se tendit vers le ciel dans un geste rageur et hargneux, avant d'écraser le coléoptère entre ses doigts.

Le corps du vampire émergea du sol, et tandis qu'il se relevait, le vent se mit soudainement à souffler de plus belle.

Shinrei aurait voulu gerber ses tripes comme si il avait bu toute une nuit avec un nain, ceci n’était pas du au sable acre qu’il avait dans la bouche mais a l’air acide qui aurait brûler les poumons de n’importe quels mammifères.

Alors que le guerrier s’était enfin levé il contempla la vison apocalyptique qui s’offrait a lui, le désert a perte de vue.
La lune comme seule guide, Shinrei commença alors à marcher a travers les dunes. « Comment étais-je arrivé la ? Que signifiait ce vide dans ma mémoire ? » Autant de questions sans réponses qui affluaient dans l’esprit du guerrier.

C’est alors qu’elle apparue a l’horizon, la lueur d’un feu, sa taille devait être importante vu la masse de fumée qui se propagée dans le ciel noir. Shinrei avança en direction de ce phare de fortune. Shinrei s’attendait à voir les cendres encore brûlante d’une ville ravagée, ou le repère de voleurs mais arrivé sur place l’incertitude du vampire se transforma en stupeur, autour d’un flambeau gigantesque s’était installée toute une communauté. Des hommes, des elfes, des nains, de tous ages discutaient, construisaient, dormaient.

Shinrei hésita c’était la seule trace de vie qu’il rencontrait depuis son réveil. Peut que certains d’entre eux possédaient les réponses à ces questions, mais en même temps comment accueilleraient-ils un vampire ? La curiosité étant plus forte que le doute Shinrei s’approcha avec méfiance…


RE: Apres le calme...le neant...

Mélian se réveilla et ouvrit les yeux. Elle ne vit que le ciel bleu au dessus d'elle. Elle avait mal au crane, elle devait s'être tapé la tête quelque part et s'évanouir, cependant quelque chose la chiffonnait, elle compris quoi en se relevant.

Le désert, rien que le désert à perte de vue...sur quoi aurait-elle pu se cogner quand il n'y avait rien à l'horizon sur quoi se cogner?

Elle essaya de remettre ses idées en place et de se souvenir, mais elle n'y arriva pas. Elle se rappelait seulement d'un grondement sourd...

Peu importe, il lui fallait trouver quelqu'un, là elle aurait son explication.

Elle commença à marcher vers le nord, les dieux étaient avec elle, moins d'une heure après être parti elle retrouva son cheval avec ses rations et son équipement. Elle souhaita continuer son chemin vers le nord ouest, mais la bête refusait d'y aller, ne voulant aller qu'au nord est. Dans de telles conditions autant suivre l'animal, peut être que son instinct les guiderait en lieu sûr.

Et cela ne manqua pas, après une journée de voyage, elle vit une fumée monter au loin. Un feu de camp. Elle s'empressa de le rejoindre.

L'activité qui y régnait la surpris au plus haut point, il y avait la bon nombre de personnes, et toutes s'affairaient dans un seul but commun, la survie. Les anciennes querelles étaient oubliées - pour le moment en tout cas - afin de laisser place à l'entraide. Elle s'y mit donc elle aussi, partageant ses rations en trop avec le reste du camp, grâce à l'aide d'Andurinel qu'elle avait retrouvé dans le campement.

Il fallait s'organiser vite et bien, ca d'autres adeptiens risquaient d'arriver en masse d'ici peu...


RE: Apres le calme...le neant...

Étant au beau milieu dune foret bien toffu, Kemoc sapercut que tout devenait flou....un grand étourdissement sempara de lui, sa tête voulait exploser.....Sur son cheval il se prit la tête a deux mains sans rien comprendre........Et soudain son mal de tête disparu, mais lorsquil re-ouvrit les yeux les arbres nétait que poussiere, les temples et murs de sa cité n'étaient plus.
Cité mais quelle cité.....que fais-je sur un cheval, Kemoc se grata la tête. Sa monture semblait le comprendre cependant, il le rassurait, il vit quelque piste, se décida des suivre....


RE: Apres le calme...le neant...

Le vent du désert soufflait doucement. La chaleur était supportable.
Il portait en lui nulle odeur, nul sentiment autre qu'une étrange sensation de perte.

C'était comme si on se réveillait d'un rêve, que l'on savait avoir rêvé, mais sans se souvenir de quoique ce soit.

Tréjiah savait qu'il était prêtre mais son dieu n'existait plus. Il n'y avait plus rien dans le désert, et donc son utilité n'était plus.

Le dieu de Tréjiah était parti, envolé, évaporé.

Alors le prêtre regarda les hommes et femmes de toutes races qui furent ses amis par le temps passé oublié.

Il sourit, se leva et parti lui aussi, dans le désert, pour se perdre, fusionner avec le vent sablonneux et faire partie de ce passé que les dunes laissent imaginer.

Il tenta de faire passer un mot grâce à son pouvoir, laisser l'air au goût d'acier imprégner les esprits de ses amis.
Mais il n'avait plus aucun pouvoir, et sa pensée ne fut alors que tragiquement pour lui seul.

Adieu.


RE: Apres le calme...le neant...

De plus en plus de monde convergé vers le camp de refugiés, Andurinel en etait satisfait, une petite communautée commençant à se construire à cet endroit. Des tentes avaient etaient placés ça et là, pres du grand feu quelques personnes preparaient des repas pour tous le monde. Des tentes et autres logement de fortunes avaient étés elevés en prevision des nuits à venir. Eau et nourriture avaient etaient separés en ration, chacune pouvant permettre à quiquonque de se nourir le temps d'une journée. Andurinel invita les survivants à deposer leur exces de ressources de façon à permettre au camp de s'auto-sufire quelque temps. Dans de grandes marmites l'eau et la nouritures etaient stockés tandis que le bois s'ammasait en fagot non loin du grand feu. Les medicaments que possedaient les refugiés incapable de prodiguer des soins etaient scockés dans de grand paniers en osier ou les medecins pourraient se servir

[HRP: pour les personnes presentes je vous demande de partager votre excedent de ressources comme indiqué dans le RP, la marmite, les fagots et les paniers etant bel et bien materialisés sur la carte]


RE: Apres le calme...le neant...

Le reveil fut douloureux, tout autour de moi du sable a perte de vue, pas le moindre arbre, pas la moindre goutte, du sable et encore du sable.

Je me redresse et tappe ma cape pleine de sable fin, inscrusté dans mes vetements, je me demande combien de temps j'ai pu rester là allongé, et comment me suis je retrouver ici. Pret de moi mon coffre, mais ma charrue a disparue, j'en profite pour boire un peu, ma gorge est si seche.

Je reprend mes esprit doucement, et decouvre derriere moi un cordon de fumée, il monte vers le ciel, voila un signe de vie.

il a l'air si loin je ne pourrais pas le rejoindre avant des jours de marche, n'ayant pas d'autre repere, je me met en route.

En esperant, que cette fumée ne soit pas mon tombeau...


RE: Apres le calme...le neant...

Esox_Lucius
Cette sensation de vide, de néant, Esox la partagea avec Succube et ses autres compagnons de la RN, lorque le barbare qu'ils combattaient s'évanouit dans le néant...

La tête lui tournait, et son corps ne semblait plus lui appartenir. Qu'en était-il de ses réflexes aiguisés de guerrier, de la vivacité à laquelle son corps répondait, et qu'il avait mis beaucoup de temps à acquérir, à force d'entraînements épuisants.

Il ne vit pas ses compagnons s'éloigner, mais fixa ses mains, puis palpa son visage. Ce visage plus lisse au toucher était celui qu'il avait presque cent ans auparavant, lorsqu'il avait arpenté pour la première fois ce désert.

Il ne comprenait pas, mais talonna son fidèle cheval, et suivit les traces de ses amis. édité au tour 1894 par EsoxLucius édité au tour 1894 par EsoxLucius


RE: Apres le calme...le neant...

Lorsque Myoko se réveilla ce jour là, le monde avait changé : ville, plus rien n’existait. Alors qu’elle s’était endormie dans la forêt située près du village de Gorgu, après avoir mis du cœur à l’ouvrage afin de recoller les feuilles mortes sur leurs arbres avec de la cire, elle hurla voyant son œuvre réduite à néant. Quel montre avait tout fait disparaître ? Ilya lui demandait de se calmer, seulement la vision des quelques arbres dont elle avait réussi à recouvrir les troncs de feuilles (ceci ayant pour but qu’ils n’aient pas froid durant l’hiver) la faisait pleurer de plus belle.

- Je veux mes arbres ! Je voulais leur mettre des colliers de galets ! Mais je n’avais pas finiiiiiiiiii ! Je veux mes arbres ! »
Myo s’arrêta soudainement de pleurer et se mit à rire :
- Ils ne peuvent plus se cacher maintenant ! Je vais voir tout le monde ! Ilya on y va ? Allons les trouver ! Je vais gagner la partie de cache-cache !
- Fais attention tout de même.
- Rabat joie dÂ’Ilya, dit elle en tirant la langue.


Bien que ne sachant où elle était en train de se diriger, la petite elfe chantait , inventant des paroles sans queue ni tête, tout en jouant à sauter des obstacles imaginaires : un ours en train de ronfler, un champignon qui se fait taquiner par les fées…


Les heures passant, son estomac commençait lui aussi à chantonner, hormis que ses paroles n’étaient points agréables, et tandis que les larmes recommençaient à lui brûler les yeux, Myo aperçut la lumière d’un feu de camp.
S’en approchant, happée par la savoureuse odeur des victuailles cuisant au feu de bois, elle s’avança près du brasier et pointa du doigt la viande piquée sur une énorme pique en métal.
- Dites je peux en avoir un peu ? C’est que j’ai très faim moi ! dit elle à un homme torse nu assis près du feu. Si vous voulez, en échange, je vous donne cette feuille ! C’est ma dernière en plus ! Dites, je peux en avoir un peu ?
édité au tour 1896 par Myoko édité au tour 1896 par Myoko édité au tour 1896 par Myoko édité au tour 1896 par Myoko


RE: Apres le calme...le neant...

Andurinel s'approcha et se pencha, saisissant une piece de viance cuisant au milieu des braises sans la moindre crainte de se bruler. Il se releva et tendis la nouriture à la nouvelle arivante, lui souriant d'un air attendrit et amusé

Gardez donc votre feuille. Le commerce n'a rien à faire dans ce campement. Des etres qui aident d'autres etres; voila tout.

Il se remit ensuite au travail, se dirigeant vers un tas de bois qu'il commença à ordonner, compabilisant la quantitée de cette precieuse ressource avait été ammassé


RE: Apres le calme...le neant...

Quelques part dans le désert, Isaya était allongé sur le sable brulant du désert. Isaya se releva difficilement.

"Mais qu'est-ce qui c'est passé ici ? Il suffit que je dorme deux heures et tout le désert s'envole !"

Il ne savait pas que ses paroles était en partis vrai. En effet le désert était a présent vide, toutes les construction humaines avait disparus.

"Mais combien de temps ai-je dormis ? Tout cela n'a pas pus s'etre produit en deux heures !"

Isaya commenca a marcher dans la direction qui lui semblait etre celle d'une ancienne ligue. Aprés trois heures de marche, Isaya croisa une puis deux, trois, quatre personnes qui semblait se dirigeait vers un campement au loin sur l'horizon. Il en interpella un et lui demanda :

" Où allez vous tous ? Que s'est-il passé ? "

L'homme épuisé lui répondit d'une faible voix :

" Nous allons là-bas, vers cette fumé ", dit-il en montrant du doigt une colonne de fumée.

Voyant Isaya étonné, il lui dit a nouveau :

" Vous n'avez pas reçu de lettre ? "

Isaya étonné tourna la tète pour dire non

" Tenez regardez, lisez la. "

Isaya lus la lettre d'un certain Andurinel. Sur cette lettre, il convié tout etre, homme ou femme, a venir se restaurer et travailler ensemble.
Isaya eut envie de se rendre utile, rendit la lettre a l'homme, et commenca a marcher en direction de ce feu proche et pourtant si lointain....



RE: Apres le calme...le neant...

Wildwind
Quelque part, ailleurs dans le désert…

Blanquette, la petite chèvre noire qui ne s’affolait jamais, se promenait entre les dunes d’un air nonchalant, mais donnant pourtant l’impression de chercher quelque chose.

Elle finit par s’arrêter vers le sommet d’une dune, le nez au ras du sol, songeuse.

Elle avait survécu au cataclysme, elle avait entendu le désert qui gémissait alors que le sable engloutissait toute trace de civilisation. Mais elle ne s’était pas inquiétée, car personne ne lui avait dit qu’un cataclysme était impossible.

Et la voilà qui gratte, maintenant ! Elle creuse le sol de ses petits sabots agiles, et un chapeau commence à apparaître. Un chapeau troué d’une flèche… Inlassablement, elle continue de creuser, le sable qu’elle dégage cascadant le long du flanc de la dune, et dont les grains volatils se font ensuite emporter par le vent. Une demi-heure à peine après la fin de la catastrophe, Wildwind était tiré d’affaire. Il avait du sable dans le nez, ses yeux le brûlaient, mais en moyenne il était vivant, et c’est pour lui tout ce qui compte dans la vie.

Au bout de plusieurs tentatives, il finit par réussir à se levé, et se laissa conduire par sa chèvre, qui grâce à son odorat et son intelligence qui étaient supérieurs aux siens, le ramènerait vers les survivants de sa ligue. Il déplora quand même la perte de son fidèle destrier, Bisounours, qui, une fois qu’on s’était habitué à se faire consciencieusement marcher dessus et qu’on arrive à le persuader à marcher et à aller dans la bonne direction, lui aurait été bien utile pour entreprendre ce voyage.

Je fuis donc je suis, ou plutôt je fuis donc je serai encore

RE: Apres le calme...le neant...

La nuit, Tréjiah errait dans le désert pour disparaître comme il l'aurait désiré. Il avait en lui une charge de pouvoir qu'il n'avait jamais développé et s'en retrouvait un peu frustré, même si c'était pour le bien du monde.


Alors qu'il s'approchait une feu et d'un camp, ce qui fut sans doute le rapprochement de survivants déclencha en lui sa propre fin.

Dès lors Tréjiah n'existait plus.

Du camp les attentifs pouvaient voir au loin une grand lumière signifiant la libération de tous les pouvoirs de l'ancien prêtre.

Ceux ci étaient créateurs, car à l'emplacement de la disparition muette, des dizaines d'Ent apparurent par cette magie incontrôlée.

Les arbres sans âmes, perdus eux aussi dans ce monde, se mirent à errer doucement parmi les petits bois présents.


RE: Apres le calme...le neant...

*Partis à la recherche des assassins de ses parents. cherchant dans sa mémoire pour retrouver un indice l'aidant à identifier ces individus, il ne vis pas les dunes bouger et ne se rendis pas compte que le désert changeais, perdu dans ses pensées.
Soudain, le soleil couchant lui tapant dans l'oeil, il revint à lui. *

- Eeeeuh ! Ou je suis là?
Il devrait y avoir un village par ici?
*regard hagard*
- Mais....mais...qu'est ce qui c'est passé? Ou je suis partis?
Je ne reconnais pas ces dunes.En plus je n'ai pas de Provisions d'eau pour tenir longtemps.
Ca c'est bien ma veine.
*se laisse choir le séant dans le sable, l'air dépité*
- Bon! voyons voir....j'ai de quoi tenir une semaine en nourriture au moins et de quoi tenir quelques jours à peine avec mon eau et en rationnant..huuuum!! je devrai savoir me débrouiller.
*pensant à voix haute comme pour mieux réflechir*
- Alors déjà, tenter de se repérer!
Là! Cette dune est la plus haute visible, de la haut je devrai pouvoir observer les alentours.
*peinant à gravir le monticule*
- Bon..bon..bon. Nous y voilà. Huuum je ne connais pas se relief, tout est différent...je ne comprend vraiment pas ou je suis. Pas de Traces de civilisation alentours...quoi que! Aaah voilà oui.Là bas , une colonne de Fumée. Allons y!






RE: Apres le calme...le neant...

Depuis plusieurs mois les occupants du campement faisaient leur possible pour lui permetre de prosperer...cela ne fut pas facile. Des ressources furent dérobés en masse, que ce soit de la nouriture, de l'eau, du bois, des medicaments...beaucoup de ces precieux elements disparurents.
Mais peu à peu, au milieu du campement, un batiment commençait à se construire. Les journées etaient rytmée par les coup de marteaux incessant qui emplissaient le lieu.

Enfin, à l'aube d'une belle journée du mois le l'oasis un drapeau flottait sur la premiere batisse de cette nouvelle ligue. Le campement des refugiés d'adept mourraient...mais pour mieux renaitre...