Ambassade aux royaumes du nord

Quelque part, dans le desert...

Le barbare etait en aproche...arme en main il avançais vers le voyageur assoupit, pres duquel un petit feu finissait de se consumer. Les pas de la "creature" laissaient des traces nettes dans le sable, emetant un son à peine perceptible.
L'arme du barbare se leva, laissant à peine deviner la lueur de la lune sur sa lame rouillée...cette lame n'ateint sa cible. Un poignard se retrouva planté dans sa gorge tandis qu'il tombait au sol dans un rale macabre. Son assasin se jeta sur lui, plantant ses dent dans sa chair, arachant un ultime cri de douleur au malheureux agresseur

Le lendemain matin, royaumes du nord

Une silhouette vetue de bleue, montée sur un destrier blanc, s'approcha de la ville. Rapidement le cavalier est reperé et les gardes se massent non loin, pres à aborder cet etre suspect. Apres une partie de pierre-parchemin-couteau, un bras de fer, quelque lancés de dé, des jets de gloups, l'un des soldat et finalement poussé par ses camarades pour qu'il s'approche du cavalier.
Voyant le garde s'approcher, le cavalier retire sa capuche, revelant le visage d'un demi-elfe, ayant quelque penchant pour la drowitude (oui, ça viens de sortir).

"Bonjour soldat, je viens en ambassade pour ma ligue, connu sous le nom de "refugiés d'adept".
-euh...bah mon bon m'sieur, qu'est s'que vous v'lez?"

Le soldat semble mal à l'aise...au bout de quelques instant d'hesitation il tend un doigt tremblant en direction du visage du demi-elfe

"Z'avez du sang là...
-hum? Ah, merci."

D'un revert de manche le cavalier essuie le sang restant sur son visage avant de sourire aux garde, amusés par l'attitude de ce dernier

"Je viens pour parler diplomatie, je voudrais rencontrer votre suzerain."

édité au tour 1935 par andurinel

J’allais courageusement par mont et pas eaux, enfin surtout par sables ses dernier temps, pour retrouver les mien. Ma blessure et les sauvagerie que j’avais vécu m’avais malheureusement laisser des séquelles, mais j’étais sur par instinct de reconnaître ma tendre mère et ma belle épouse quand je serais devant elles.

Sur ma route j’avais rencontrer un brave elfe du nom d’Andurinel, il allait au royaumes du nord, ca tombait bien, moi aussi.

Nous marchâmes ensembles, presque mains dans la mains, enfin avec une armure ce n’est pas pratique. Je lui comptait pour faire passer le temps mes moult exploit de preux chevalier, la beauté de ma douce qui devait pleuré son mari et serait en joie de me revoir, la douceur de ma mère qui savait être une reine juste et forte. Et plein d’autre chose qui l’aidèrent a dormire sur la route.

Quel brave Elfe. Je l’aimais bien, malgré ses défauts, que je n’avais pas eu le temps de voir. Il faut dire que ma conversation est si passionnante qu’il n’eut guère le temps de parler.
Quel chance il avait de voyager avec moi.
C’est vrai ce n’est pas donner a tout le monde de voyager ave un si grand chevalier doté de temps de conversation.


Nous arrivâmes devant l’imposant bout de mur en construction. Et nous fumes accueilli pas un soldat qui amusa beaucoup mon compagnon.

Ils nous conduit dans l’enceinte du royaume, ou le cœur battant j’attendait de voir ma reine.


édité au tour 1936 par Ron

La reine s’était absentée en mission secrète, Favole n’en savait pas plus.

Elle avait confié les pouvoirs a Ser Magnus, la seule personne en qui elle avait une entière confiance. ET Magnus, n’avait pas hésité à le partager avec sa future épouse. Favole avait été tirée de l’infirmerie par des gardes paniqué en lui demandant de venir pour écouter des ambassadeurs des réfugiés d'Adept venant demander une audience. Favole mit une robe plus présentable, se coiffa de façon plus digne et alla a la salle du trône accueillir les ambassadeur.

Elle était touchée par la confiance que lui portait son futur époux, et espérait en être digne. Elle accueillit donc les visiteur avec chaleur… Du moins le premier. En voyant le deuxième elle du s’asseoir pour ne pas tomber.
RON ????

Elle se ressaisit comme elle pu :
« Bienvenue messire dans le royaume du nord… Je suis Dame Stark, c’est moi qui est en charge d’écouter vos requêtes, voulez vous boire ou manger quelque chose ?»

Favole fit entrer des serviteurs avec des pichets d’eau et de vin et quelques mets pour rassasier ses invités. Elle fit un signe discret a l’un des serviteurs d’aller chercher ser Magnus, ou n’importe qui qu’il trouverait.


édité au tour 1936 par Favole

Lady Stark… alors c’était elle, mais oui son cœur avait déjà parlé : « MERE !! Je suis si heureux que vous soyez en bonne santé !!!

Ma mère avait garder une éclatante jeunesse, et un sourire tellement mitigé qu’on voyais bien qu’elle ne savait si elle devait pleurer de joie ou hurler son bonheur. Elle vint vers moi pour me prier de l’attendre dans une autre pièce, ce que je fis avec empressement, j’avais tellement hâte de tout raconter a ma mère. Et ma femme, elle serait tellement heureuse de me voir.
Je suivis ses instructions et après un salut a mon compagnon de route, je quittais les lieux.
Quel bonheur !

Favole nageait en plein cauchemar… son mari n’était pas mort. Quand il l’appela Mère, elle se demanda si ce n’était pas encore une méchante farce qu’il lui faisait pour l’accablé encore un peu plus. Elle le pria de quitter la pièce, et ce fut avec un bonheur nos dissimuler qu’il s’appliqua a obéir. Est ce vraiment Ro pour écouter sa femme ?

Elle essaya de ne plus pensé a cela et se concentra sur l’ambassadeur.

Messire, je vous écoute..

Le demi-elfe n'etais pas des plus à l'aise. Que faire dans une cour royale? Comment se comporter? Bon, tant qu'à faire n'importe quoi, autant le faire en beautée.

Il fit un premier pas et s'inclina legerement, en fit un second, s'inclinant de de même. Il avança ensuite de trois dernier pas et s'agenouilla, tête baissée

Ô Majestée, vous qui apportés chaleur en ces terres,
Laissez moi vous implorez entre deux bouché de munster...

Franchement, pour l'effet de style d'introduction c'etait un echec

"Munster? J'ai perdu mon talent..."

Un peu genée le demi-elfe garda le silence quelques minutes avant de reprendre

Je suis l'actuel dirigeant des refugiés d'adept, un petit campement que j'ai monté suite au cataclysme. Beaucoup de personnes y sont venu...mais la plus part n'ont fait qu'abuser de notre bontée et sont ensuite partit...j'en ai d'ailleur vu ici, mais cela n'est pas le propos.
Nous ne somme plus tres nombreux. D'une trentaine de colons nous ne somme plus qu'une douzaine de personne.
Nous pouvons subvenir à nos besoin mais aurons probablement besoin d'aide pour nous developer, d'etablir des traités financiers.
Nous sommes vulnerables à toute attaque cer peu nombreux, peu armés. Rare sont ceux parmis nous qui savent combatre. Pour cela nous avons besoin de pacte de non agression et d'alliance.

C'est pour tout cela votre majestée que je suis venu implorer votre divine presence.

Favole écouta avec attention le discours de messire Andurinel. Elle aurait réellement aimé accéder à ses demandes, malheureusement, elle ne faisait plus partie du conseil et son statut actuel ne lui permettait pas de prendre ce genre de décision seule.

[]« Messire, je ne suis malheureusement pas la reine, Damme Myrween Stark, mais sa belle fille. Actuellement la reine se repose sur son conseil pour débattre des repartissions des ressources et je vais me voir dans l’obligation de faire quérir notre trésorier Ser Methusaleah Lannister. Pour ma part, je ne peux que m’engager a prodiguer des soins a tous ceux qui en auront besoins si les traiter sont ratifiés. »[/i]

Favole appela un garde et lui demanda de trouver au plus vite Ser Lannister.

« En attendant parler moi des votre, il y a beaucoup de blessés parmi vous ? Y a t’il des enfants ?»

Le demi-elfe reste dans la meme position, genou à terre, le regard vers le sol.

Nous avons effectivement des blessés, moi meme je ne suis pas dans la plus grande forme comme vous pouvez le voir. Nous n'avons pas d'enfant en jeune age mais neanmoins pas mal de mes hommes ne sont pas encore adultes. Et nous n'avons pas la chance d'avoir des medecins, helas...

[i]"Levez vous je vous en pries, et venez manger un peu, je vous soignerais quoiqu'il advienne avant votre depart, rassurez vous. "[i]

Favole lui fait un grand sourir elle avait envie de l'aider lui et ses proches, mais elle savait que la décision ne lui appartenait pas, et que Ser Methusaleah etait moins tendre qu'elle.

"Merci majestez, votre bontée vous honnore."

Le demi elfe se releve doucement et regarde la nouriture et les boissons qui ont étés apportés. Quelques mets inconus se trouvent là, probablement issu de creature que l'on ne trouve qu'au nord du desert. Il se laisse tenter par l'un d'eux tout en prenant une coupe de vin

"Comment se passe la vie de votre peuple? Il est nombreux et votre citée semble se developer vite."

Favole resta à considérer son invité, elle n’était pas trop a l’aise dans ce rôle, surtout qu’il s’entêtait a l’appeler « majesté ».

« Messire, nous faisons comme tous ici: nous essayons de nous organiser pour survivre. Nous avons plus de guerriers que d’agriculteurs, mais nous apprenons comme tous.
Racontez moi un peu plus sur vous ?
Ne serait il pas judicieux de venir vivre au royaume ou il y a des médecins compétents pour soigner vos hommes ? »

"Majestée, ce serait un honneur pour moi mais je ne peut accepter. Votre peuple est le premier qui doit jouir de votre bontée."

Il sort un couteau doucement, ne souhaitant pas se retrouver cribler de fleche. Il s'en sert pour decouper un fruit posé dans une coupelle, le portant ensuite à sa bouche

Nous nous avons que tres peu de guerrier mais, à part des medecins, nous avons des represantant de la plupart des corp de metier. Mais vu notre nombre assez faible nous accumulons les roles. Moi meme je sert en meme temps de guerrier, de bucheron et d'architecte, m'adonant parfois à la chasse ou au puisage quand le besoin s'en fait sentir.

Il mord de nouveau dans le fruit juteux qu'il tient entre ses mains avant de reprendre

Quand à moi...que dire? Je suis un demi-elfe comme vous pouvez le constater, ma "moitié" drow n'etant vraiment pas volontaire. Je vis en ces terres depuis probablement plus longtemps que vous. Mais mon passé reste flou, je vous l'avoue...

On venait de m’avertir qu’un représentant d’une ligue venait d’arrivé accompagné de Ron Stark ! Lui vivant, même si je n'avais pas pu voir son cadavre après l’attaque de Winterfell je l’avais vu au loin a plat ventre, mort, mais bon je commençais à avoir l’habitude des morts vivant en ce moment…
Je m’occuperais de Ron plus tard je devais d’abord voir le diplomate. En arrivant dans la salle du trône je trouvai Dame Favole en compagnie du diplomate. Je congédia la dernière et salut le diplomate.

«Bonjour ser, je suis le trésorier et le ministre des relations externe du Royaume du Nord.

Bonjour, Je suis ser Andurinel de la ligue des réfugiés d’Adept.

On m'a expliqué que vous désirez conclure un pacte de non-agression ou d'alliance avec nous.

C'est exact, et entretenir d’un traité commercial si cela s'avère nécessaire.

Un pacte de non-agression peut être facile établi, pour une alliance ou un traité commercial cela risque de prendre un plus de temps. Pouvez vous me présenter rapidement, cotre ligue, quels sont vos buts et ambitions ?

A la suite du cataclysme nous avons formé une petite communauté accueillant les survivants, sur la base de l'entraide, de la solidarité. Nous souhaitons pour le moment conserver cet aspect de fraternité. Quant à nos ambitions... elles consistent à survivre et à bâtir quelque chose de bon pour nous. Cela est un bon résumé.

A priori il y a aucune raison pour que l'on ne puisse pas faire des affaires commerciales, par contre nous sommes encore pas très bien installés et notre armée n'est pas encore assez puissante pour protéger à la fois notre camp et une autre ligue. Peut être un peu plus tard avec de nombreuse relations commerciales et diplomatiques établie on pourra envisager une alliance. Au niveau commercial, quelques ressources proposez vous et de quelles ressources avaient vous besoin?

Pour ce qui est du commerce je vous retourne la même question. Etant donné votre nombre de sujets vous avez plus de flexibilité... à vous de voir s’il vous reste des besoins.

Notre politique actuelle, vu que nous ne sommes pas de ces contrés est d’évité toute implication militaireen conséquence la Couronne a décidé de ne signer aucune alliance tant que nous connaîtrons pas plus les différents clans, ligues et relations entre elles. Au niveau des ressources, nous subvenons actuellement à tout. Je vais aller m’entretenir avec le reste du conseil et je vous ferai parvenir par courrier notre réponse. Je vous laisse, un de mes vieux amis viens d’arrivé et je désirais le saluer rapidement.
A bientôt ser Andurinel.


Je sortis de la salle du trône afin de rejoindre Ron Stark, laissant les gardes raccompagnés ser Andurinel.

Exerçant mes premiers devoirs de reconnaissance et toujours à la recherche de mon meilleur ami et de mon épouse, j’entrepris d’entrer dans le premier bâtiment se pressentant.

Hélas je venais de mettre le pied dans ce lieu de perdition que l’on nomme communément « Taverne ». Un nom trompeur puisqu’il cache toute la déchéance humaine, vidant bourses et bouteilles ( des toutes les façons possible). Des femmes aux vertus modestes venaient lutiner pour quelques pièces et ainsi pervertir l’honneur de preux comme moi.
Ce lieu était répugnant, toutes ses raclures humaines en train de pleurnicher. Mais qu’avais je donc fait en pénétrant ici ?
Ah oui, je cherchais ma famille, mes amis, et ma femme. D’ailleurs je repensais à ma mère, sacrement bien conservé la mamoune. On avait du mal a voir qu’elle avait eu 6 enfants.
Je voulu m’avancer dans cet enfer de la vertu quand le Tavernier bondit comme un diable sur moi, m’agrippa mon magnifique surcot pour se moucher dedans.
J’étais dégoûté, je crois que je préférais encore les rites de « mélanges broussailles ».

« Il est mooooooooooort, sniiiiiiiif, le docteuuuurrrrrrrrrr, comment vais je faire pour survivreeeuu sans mon meilleur client…»

Fortement agrippé a ma cape j’hésitais a faire un geste peu chevaleresque pour l’envoyer au tapis, au attendre en feignant l’écoute bienveillante. C’est la que je vu mon compagnon de route entrer. Ne pouvant me débarrasser du poulpe geignard massacrant ma belle tunique, j’espérais en Andurinel une diversion.

« Je veuuuuuux retrouvver un sac a rhum commmeeeuuu luiiiiiii ssnnnniiif »

D’un signe de main j’essayais de saluer le demi elfe. « allons allons mon brave Tavernier, vous voyez l’homme qui arrive, c’est un bon client, amenez donc deux bonnes bouteilles d’hydromel pour lui et moi et pour l’amour des dieux, arrêtez de vous moucher dans mon plastron !! c’est de la soie vierge vous connaissez le prix de cette petite merveille !!!?? »

Avec un sourire triste et la larme a l’œil, le tavernier partie en traînant le pieds : « Si seulement le DR Livesey était là… les affaires iraient tellement mieux »

Débarrassé de cette glue et essuyant mes beaux atours sur le premier gueux qui passait, j’allais accueillir Andurinel.


édité au tour 1936 par Ron

Le demi-elfe s'approcha du chevalier avec un sourire et le conduit à une table libre où ils s'assirent.

"Et bien mon ami, vous avez pu voir votre famille?"

Le tavernier, continuant de deverser un torent de larmes, apporta les deux bouteilles d'hydromel qu'il posa sur la table, laissant deviner quelques mots entre deux sanglots

"J'me suis ruiné pour faire ses reserves de rhum...bououououuuuuuuuuuh"

Andurinel regarda le gerant du lieu s'eloigner, ne pouvant s'empecher un rire, qui se voulait toutefois discret. Il detourna son regard et prefera obezrvée le dehanchée d'une jeune femme passant non loin...sympatique cette auberge. Il pris la bouteille d'hydromel et but la liqueur à meme le goulot, l'alcool réchauffant doucement sa gorge

"J'ai pu voir la reine, ainsi que le diplomate. Je suis plutot satisfait de la façon dont se deroule les choses."

Favole était en transe, c’était visiblement Ron, mais il ne l’avait pas reconnu… elle devait le retrouver au plus vitre pour mettre les choses au point. Si c’était lui…
Favole pria les dieux que cela soit une erreur.

édité au tour 1937 par Favole

Je restais un peu plus dans ce lui de débauche mes cette fois j’étais avec un ami, du moins une connaissance, je me sentais suffisamment fort pour braver les tentations de ce lieu de perdition et protéger malgré lui mon vaillant compagnon.

Je sortie ma petite timbale argenté pour savourer mon hydromel. Andurinel avait le coude plus léger.

« je suis fort aise d’avoir revu le visage de ma tendre mère, elle ne fais pas son ages n’est ce pas ? Quelle femme extraordinaire. Dire que j’avais peur de ne point la reconnaître, suite un petit accident j’ai des souvenir un peu.. confus… Mais j’ai grand hâte de retrouver ma tendre épouse dame Favole, je me souviens juste qu’on m’enviait la beauté de ma femme jusqu'à la cours de l’empereur. Ma pauvre Favole, comme elle va être heureuse de voir son mari revenir.. déjà avait vous perçu la pudeur de ma mère pour masqué sa joie de mon retour… ? »

Tout sourire je vis le regard de Messire Andurinel se tourner vers une femelle de bas étage ondulant magnifiquement sa croupe comme un appel lancinant aux « mélanges broussailles », un chant de sirène muet chanté seulement par le corps de cette vile créature.
Je dû prendre sur moi, et dans un geste sauveteur j’attrapais le visage de ce malheureux Andurinel.

« Sois fort mon ami, résiste, tu n’imagines même pas ce que cette créature est capable de te faire subir avec juste son corps.. soit fort.. pense a ta famille, à qui tu veux. A moi si ça t’aide, mais résiste, c’est femelle en chaleur n’attend qu’un moment de faiblesse pour faire traîner ses petites mains sur ton corps et te faire ce que seules les femelles savent faire. Ca va aller.. reprend tes esprits !!! »

Je lui sortis une timbale que je remplie d’hydromel , et l’incita à boire pour chasser l’image de cette gueuse que je chassais a grand coup d'invectives et de jurons.

Le demi-elfe oberva son interlocuteur lui reciter ses paroles moralisatrices, l'incitant à eloigner son regard de l'apetissante paire de s...hum...des yeux d'une autre jeune femme. Oui, oui, c'est cela. Les yeux. Ses flots de paroles n'etaient pas des plus convaincant mais l'incitation à la boisson, elle, etait des plus interessante. Il s'interessa donc à l'hydromel, buvant le contenu de ce que lui tendais le chevalier

Votre mère? La reine est votre mère? On dirais qu'elle a votre age. C'est une tres belle femme, ça pour sur. En plus de sa beautée elle est fort bonne"

Le demi-elfe se servit un peu plus d'hydromel et l'avala prestement, en moins de temps qu'il en faut pour le dire. Il finit par reprendre, voulant dissiper un eventuel doute

"C'est sur, sa bontée l'honore."

édité au tour 1937 par andurinel

Eldregorn s’ennuyait ferme, son poste de chef de la garde du nord (a pas confondre avec le chef de la garde tous cours^^), était pourtant un poste intéressant, lui permettant de montrer tous son potentiel ainsi que quelques tortu… euh interrogations.

Mais bizarrement la routine du quotidien lui sapait le moral. C’est dans ces moments là que l’on s’attend à voir entrer quelqu’un en courants ouvrir la porte et crier votre nom.

C’est ainsi qu’Eldregorn prit une chaise, s’assit en attendant face à la porte! Pendant plus de 2heures rien ne se passa, si ce n’est le floflo quotidien de prisonniers qui arrivaient pour ce faire interrogés.

Au moment où le chef de la garde du nord commença à perdre espoir de voir sa journée égaillait par la moindre nouvelle, qu’un soldat entra, en fracassant la porte !

Eldregorn écarquilla les yeux, fixant le pauvre solda comme un chien affamé a la recherche d’un petit bout d’os.

Le soldat un peu gêné d’avoir fracassé la porte, mit un certain temps à répondre et plaça ses mains entre ses jambes de peur de recevoir un coup, puis il inclina la tête, et s’essaya à prendre le thon le plus désolé qu’il puisse :

« Sire je suis vraiment navré pour votre porte…. mais vous…. m’aviez dit de venir le plus rapidement possible si…. »

Le chef de la garde fit un grand sourire et dit :

« Très bien continue, si la nouvelle est intéressant je te promets le post d’informateur en chef qui est vacant depuis que le dernier ne ma rien donné de plus croustillant que les affaires concertants dame favole que tous le royaume connaissait bien avant lui. »

Le garde tout content de ça sa future promotion lui annonça enthousiasmait :

« Votre frère Ron, est toujours en vie ! Il est à l’auber… »

Le nouvel informateur en chef de la garde du nord n’eut pas le temps de finir que le chef de la garde du nord était déjà parti.

Une fois arrivé Eldregorn regarda de tous les cotés de l’auberge, ne prêtant pas attention au tavernier pleurant la mort du pauvre docteur ! Puis il le vit enfin au coté d’une sorte d’elfe humanoïde. « Comment Ron a-t-il pu tomber aussi bat pour se coltiné le petit peuple ? »

Eldregorn s’avança en direction de Ron espérant que celui-ci n’est pas trop changé et surtout qu’il ne l’ai pas oublié.
édité au tour 1937 par Eldregorn

C’est vrai que ma mère faisait fort jeune… mais bon, mon mal de tête était tel que je ne préférais pas trop tenter le diable en essayant de réfléchir plus qu’a mon habitude.

Il leva son verre sur la beauté de ma mère et je me dis que j avait grand hâte de retrouver ma femme pour trouver ma mère si attirante.
Après ce dernier se dernier verre et avoir fait fuir toute les ribaudes, je recommandais au demi elfe de ne pas trop s’attarder seul.
Même si j’avais été très explicite sur le sort qu’encourait toutes damoiselles mettant en péril la vertu d’Andurinelle, les démons savent seuls ce que cet endroit pouvais receler comme piège comme un homme seul. Vaillamment et l’épée au clair prêt à frapper au cas ou le danger se présentait, je m’avançais courageusement et prudemment vers la sortie de ce lieu impur.
En sortant il tomba nez à nez avec un très bel homme, peut être parce qu’il me ressemblait.. après une minute d’hésitation je reconnu le petit chenapan avec qui j’aimais me chipoter enfants.

" Eldregorn!! mon vieux frére comment vas tu? je suis étonné de te voir dans ce lieu de débauche! Je reviens de voire mére, elle est de plus en plus jeune ne trouves tu pas?"


édité au tour 1937 par Ron

Eldregorn un peu choqué de voir un fantôme, du moins son grand frère que l’on lui avait dit mort.

Il etait inquiet a son sujet. En effet, sa vision semblait troublé, il ne comprenait pas comment Ron pouvait trouver sa mère plus jeune qu’avant meme si ça beauté restait intacte, cela l’interpella juste une seconde puis eldregorn fit comme s’il n’avait rien entendu.

Apres tous le voyage a dut être rude, et puis d’âpres certain dires il serrait même revenue d’entre les morts après un combat avec la mort elle même.

Eldregorn était un peu gêné a cause des différents événements qui ont eu lieu pendant son absence et il ne savait pas trop comment lui annonçait que ça femme voulait ce remarier avec un autre homme.

Encore une fois il passa sous-silence ce qui pouvait choquer son frère:

« Chère frère je ne sais comment exprimer la joie qui m’envahi devant le faite de vous revoir ici devant moi debout et vivant. Je vous croyais mort, comme la plupart d’entre nous et c’est un de mes hommes qui est venue m’annoncé la bonne nouvelle. Tu ne sais pas a qu’elle point ta présence nous as manqué. J’espère que tu pourras remettre un peu d’ordre dans le royaume car en ce moment mère est un peu débordé. »

Puis, il le regarda d’un peu plus prés, et vit un homme maigre mais robustes. Il avait toujours cette stature que les starks se transmettent de pères en fils. Qu'il etait bon de retrouvé la famille au complet, ça aidait Eldregorn a oublier.

« Viens donc avec moi mangé chez mère ce soir! elle serra un peu choqué de te revoir, mais je pense pouvoir dire au noms de tous que l’on est heureux de te revoir parmi les vivants. »

Il espérait juste que favole ne fasse pas de bourde et gâche la soirée.
édité au tour 1937 par Eldregorn

Quel joie de revoir mon grand frère, lui part contre avait vieillit, ce n’était pas comme mère. Mais ça restait toujours le même visage joviale de son frère, le même qui me cassait ses jouets, me piquait ses petites amies et me dénonçait aux parents quand je faisais des bêtises. Je ne pus résister a lui faire une bonne accolade fraternel. Qu’il était bon d’être de retour dans la famille.

« mon frère, j’ai un compagnon de route qui est bravement resté dans ce lieu de dépravation, crois tu qu’il soit bien noble de le laisser ainsi seul alors que les catins rodent en troupeaux a l’intérieur ?

Je ne lui laissais pas le temps de répondre :

Pour mère ne t’inquiète pas, je l’ai croisé tout à l’heure, elle a réussi a se contenir admirablement bien , mais je sentais qu’elle mourrait d’envie de me prendre dans ses bras comme lorsque j’étais petit. J’ai hâte de le revoir. Et ma Favole au fait, comment va t’elle ? Toujours aussi jolie ? Elle va être si heureuse de me revoir… Par contre pour éviter les gaffe, tu peux me rappeler si elle est brune ou blonde, je ne me souviens plus très bien…

Eldregorn ce sentait mal a l’idée de lui annoncé que ça femme allait certainement ce remarier. Comme pour évité un drame familial, il prit bien soins de ne parlé aucunement de favole et du possible mariage:

« Eh bien en ce qui concerne votre compagnon, je ne vois aucune objection a ce qu’il mange avec nous au prés de mère. Seulement d’âpres ce que j’ai compris il serrait a la recherche d’un traité diplomatique, hors le royaume ne peut ce permettre pour l’instant de signé un quelconque traité si ce n’est un accord commercial. Je lui serrais donc grés de ne pas trop insisté sur ce point mais il peut toujours tenter ça chance une fois. »

Puis il prit quelques secondes avant d’enchainé :

« Pour ce qui concerne ta femme elle est en pleine forme et toujours aussi belle. J’espère que le fait de la revoir ne te causera pas un choque…. »

Il arrêta net son discours, il voyait bien qu’il allait sur un terrain dangereux. Il décida donc de faire diversion par un grand sourire.

« … … Bon je crois qu’il se fait tard, ton ami a certainement besoin de repos. Et puis nous nous reverrons au diné ce soir. »

Quelle idée, être choqués par son épouse, surtout si elle était restés belle. Apres tout, c’est tout ce qu’on pouvais demandé a sa femme, être belle gentille, fidèle et dévouée.

Je remerciais mon frère sentant son léger malaise. L’émotion a toujours été trop contenue dans cette famille, je me ferais force de lutter contre ce phénomène et réveiller les bon sentiment familiale afin que l’on puisse tous enfin parlera cœur ouvert.

Voilà un bien noble quête.
Je laissais à ses occupations mon cher frère, et risquait ma noble tête dans la taverne pour appeler mon compagnon de route et lui proposer de quitter son hydromel pour partir avec moi vers le bastions à la recherche de ma femme et de mes deux meilleurs amis : Methusaleah et Magnus.
Quelque part j’avais eu l’esprit serein pendant ma captivité a savoir qu’ils n’abandonneraient pas ma tendre épouse en mon absence et prendraient soins d’elle.