approchez vous de la table et écoutez . . .

un nain encore très jeune a la tenue bariolée entra joyeusement dans la taverne et comanda une bière nainportienne puis il s'assit au une table...enfin sur une tab pour etre au meme niveau et que les autres et leur fit uen annonce:
" euhhhh hum hum mes seigneur un peu d'attention je vous prie... oui une petite minute excusez moi...voila je suis conteur et je viens vous lire les écrits d'un de mes amis nain...alors pour ceux que ça intéresse j'ai içi quelques pages de son oeuvre a lire, allon venez autour de moi les interessés! prenez uen bonne bière et venez écouter...bien voila...








1 l’histoire




Larataurus Halgoin, nés il y a plus de 60 ans, jeune pour un nain a peine la majorité…
Ce nom sonnait bien à son oreille musicale, Larataurus fils d’Alsann Halgoin, son père, ce mineur si fier, à la barbe déjà grisonnante…que dire ! Histoire banale, né un beau jour de chaleur dans un caverne des montagnes, éduqué par son père et son mentor qu’on appelait « le vieux » .Vie normale, mineur depuis la naissance Larataurus ne connaissait que la montagne, SA montagne il était le dernier enfant nain mais il désirait partir et explorer le monde…
Le vieux nain s’avançât timidement dans la pénombre…il émanait de lui une sorte de force brute encore vierge, son visage était éclairé par le feu de bois de charme qui crépitait doucement et ce clair obscur produisait un formidable effet de surnaturel…mais le vieux n’était pas surnaturel et il n’avait aucun pouvoir, seulement celui d’être écouté par les siens.
C’est alors qu’il s’assît en tailleur sur une carpette en peau d’ours des mines, ces ours si beaux autrefois et aujourd’hui disparus…leur peau à une valeur inestimable.
Le vieux commença de sa voix caverneuse :
«Fils et Filles de la mine, Enfants de la pioche, nous somme ici réunis, dans notre belle salle de réunion pour discuter du cas de Larataurus Halgoin Fils d’Alsann.
Comme vous le savez tous, ce dernier compte voyager et quitter nos belles mines, ce qu’aucun d’entre nous n’a encore jamais fait ! Il veut rejoindre un désert peuplé de toute les race ou paraît il tout le monde vit en harmonie…Seulement nous manquons de jeunes. Et nous ne pouvons laisser partir un fils de nain aussi doué ! Ainsi nous devons débattre avant l’arrivée de ce dernier. »
Entre Temps un jeune nain a la barbe déjà très fournie était rentré et écoutait son mentor expliquer son cas. Il l’avait prévenu il partirait que son peuple le veuille ou non, ses affaires était déjà prêtes, sa hachette de combats, ses affaires de voyage, ses ustensiles de cuisine, et sa fidèle mule Assena. Le vieux repris :
« Vénérables membres du conseil, je vous prierait de délibérer, Larataurus doit-il oui ou non partir ? Vous avez vingt minutes pour donner votre réponse. »
Le jeune fringuant s’avançât et déclarât :
« Je suis le seul maître de mon destin et vous ne m’empêcherez pas de partir d’ici »
Le vieux fit volte face, une larme lourde de sentiment coulait et atteignait déjà sa barbe
Il prit sa hache de combat qui pendait à sa ceinture et déclarât :
«-nous ne laissons partir personne vivant d’ici…
-plutôt mourir que de passer le reste de ma vie ici…un sourire accompagnait ces paroles.
Allons soyez raisonnable messieurs les vénérable ! Nous sommes repliés sur nous-mêmes et la consanguinité menace… nous devons nous ouvrir sur l’exterieur. Maintenant je vais vous laisser on m’attend dans un certain désert…vu ?
-jeune blanc bec…je…bien partez partez fuyez votre peuple ! Mais nos portes vous seront éternellement fermées dorénavant vous n’êtes plus un de nos frère ! Defenseurs du rêve halgoin laissez partir cet homme laissez le courir sa perte… »
Ainsi le jeune nain pris son barda et le chargea sur sa mule fatiguée mais avant il écrivit ces mots au vieux sur un parchemin usé « Je sait que votre porte de sera éternellement ouverte quoi que vous en disiez. Je reviendrai un jour ou l’autre, je vous écrirais souvent. Ce n’est pas un adieu mais un au revoir maître vénéré.

Bien a vous
Larataurus »

Il lança la lettre par-dessus son épaule et fit mettre en route sa mule, sur la route on pouvait l’entendre murmurer ces quelques paroles :

« Je reviendrai, un jour ou l’autre
Élève je resterais vôtre…
Mon maître vous resterez
Mon maître vous resterez…
…un jour ou l’autre…
…Vôtre… »
Déjà la montagne avalait les paroles de la chanson improvisée. Le nain pleurait a chaude larmes tout en chantant mais d’autre horizons s’ouvraient…Un certain désert l’attendait, Il était le premier et le dernier des nains Halgoin exilés, son village se mourrait et il n’en avait plus que pour quelques années, Larataurus le savait, le vieux se faisait de faux espoirs, larataurus essayait de se convaincre lui-même qu’il reviendrait, un joue, mais il savait qu’il ne le ferait pas, de peur de voir son village, consumé, les habitant morts depuis longtemps et les habitations en ruine…Si, il reviendrait, et son village vivrait, car il l’ouvrirait sur l’extérieur…



2 le voyage


Le jeune nain a la barbe déjà très fournie eu le plaisir de découvrir un coursier nain chevauchant un poney en rentrant dans sa modeste chaumière sympathiquement décorée bien que très pauvre. Le coursier lui tint ce langage :

« - Euh ‘jour seigneur ‘scusez moi de déranger pendant la sieste mais j’ai une missive du vieux pour vous ! Vite c’est que j’aimerai revn’ir avant le mois prochain…

-Ahhh un message du mentor ? Reviendrait-il sur sa décision de me laisser en dehors du clan pour mon futur retour ? Voyons cela…|on pouvait appercevoir de petites taches sur le papier, comme des larmes :

Cher enfant,

C’est par ce triste procédé que je te dis adieu…en effet je préférerait te serrer dans mes bras une dernière fois mais cela m’est totalement impossible tu le sait mais malgré mes mots de la dernière entrevue je t’ai toujours aimé et je ne puis te renier. Tu a été comme un fils pour moi et aujourd’hui les forces me quittent, ainsi je vais laisser bientôt le dernier souffle de vie quitter mon enveloppe corporelle mais je suis certain que mon âme se réincarnera et que nous nous croiserons un jour, d’une manière ou d’une autre. Mais aujourd’hui la communauté d’Halgoin va mieux en effet des femmes sont arrivées, des femmes naines et des enfants ont été conçus, ainsi nous pouvons survivre, mais nous avons besoin de ton aide il nous faut sortir des montagnes et nous extérioriser et c’est ta tache le conseil t’a choisi comme nouveau chef de clan…
Je te laisse car je sens l’appel des dieux…
Je ne t’oublierais jamais cher enfant merci pour le bonheur que tu m’as procuré…
Adieu
Isann

Les larmes coulaient chaudement sur le visage du nain et alors il comprit… il était ici dans ce désert pour aider son peuple, et il se devait de respecter ses engagement, ainsi commençât le trajet pénible entre le désert et halgoin…, il s’était promis de le faire tout les 2 ans pour amener a chaque fois avec lui vivres et armes, oui il bâtirait halgoin, oui halgoin deviendrait une cité forte du désert, telle était sa voie mais en serait il capable… ?

[i]...le nain reprit:
et bien dames et sieur cela vous a-t-il plut? sachez que je reviendrai vous en faire la lecture régulièrement, selon le bon vouloir du sieur Larataurus! bien maintenant un 'tite pièce poru le conteur non? bien je vais aller me rafraichir le gosier...


(hrp: en fait vous avez içi mon BG et une suite que je continue sous forme de journal, n'hésitez pas a critiquer ça me permettra de m'ameliorer...!)

RE: approchez vous de la table et écoutez . . .

Je ne suis pas de coutume inspiré d'ecouter les tranches de vies d'ivrognes patentés.

Mais continuez donc...


RE: approchez vous de la table et écoutez . . .

Lovelace assis à une table voisine, déjà devenue bien joyeux sous l'influence de la boisson s'écria:

Bravo cher compteur nain! J ais fortement apprécier ton récit, celui ci m a même bien assécher le gosier!
Aller, je me dois de fêter et de célébrer ton talent!

Lovelace se retourna vers le tavernier, et déclara: Ola tavernier! 1 grandes chope de votre meilleure bière naine!

Sur ce Lovelace but a la santé du nain, et luis souhaita longévité et prospérité.


RE: approchez vous de la table et écoutez . . .

Galladryl sortit de la taverne. édité au tour 1218 par GalladryldeThyréa


RE: approchez vous de la table et écoutez . . .

Castelnain, bien qu'assommé par la biere, assista a cet histoire:

"Bien, très bien!", s'entendit-il dire, "mon père lui, fut oblige de quitter sa mine. Tu as eu de la chance, j'en connait qui sont mort pour moins que ca..."


(hrp: tres bon RP, continue, tu m'epates..)


Tavernier, une biere pour le jeune et un tonneau pour moi!!


RE: approchez vous de la table et écoutez . . .

" eh bien mes seigneurs! voici la suite..."

3| La vie

Le jeune nain vivait, difficilement mais il vivait. Le petit être enchaînait les entraînements toujours plus intensifs, deux objectif, arriver a se battre convenablement et arriver a chevaucher convenablement et le deuxième était le plus difficile, en effet il n’avait qu’une connaissance très limitée en matière d’animaux de trait et autre et il avait du mal a imaginer qu’il pourrait un jour chevaucher sur un être vivant (mieux vaut vivant que mort)! Néanmoins les nombreuses leçon au sein d’Aestel lui enseignèrent les rudiments de l’équitation et surtout de la capture et du dressage des animaux (la seconde partie est de loin la plus délicate) en effet il est très difficile de capturer un animal sans le blesser, mais si on y parvient, il est environ deux fois plus difficile de le dresser convenablement sans avoir envie d’en faire un steak ou un méchoui. . .
Néanmoins son formateur lui dit un jour :

« -Bien ! Te voila prêt a affronter les cruels animaux de ce désert sans pitié (très rassurant comme vous pouvez le voir, en effet son formateur était aussi pessimiste qu’un templier d’Hécate)

- Vous êtes sur que c’est si dangereux que cela ? C’est que euhhh je veux juste un cheval !

-Ahhh mon ‘pti gars ici les chevaux ils sont différents de ton pays de nain de jardin, ici c’est pas des poneys…enfin bon bonne route

-groumfff nain de jardin nain de jardin…je t’en ficherai moi des nain de jardin ! »

Et sur ces sages paroles le nain prit ses maigres affaires et uniquement sa hache pour tenter de capturer ne serait-ce qu’une fourmi ou peut être un hanneton pour tenter de rentabiliser son stage de domptage…

Mais non, les dieux n’étaient pas avec lui aujourd’hui (hier non plus et avant-hier non plus, et ils ne le seraient certainement pas demain…) et il parvint qu’a se perdre dans l’immensité des dunes. Ce n’est qu’après 11546 pas et des poussière réalisés sous la chaleur (déjà que les nain on de petites jambes) sans une bonne bière imaginez l’état du pauvre nain en arrivant a Sa misérable chaumière… Mais quelle ne fût pas sa surprise que de voir une agitation toute particulière vers l’armurerie de la capitale ! Il se précipitât vers le plus proche guerrier et lui demandât le pourquoi de ce brouhaha…

« - Sieur Avalone est à nos portes ! Nous sommes attaqués ! Vous arrivez d’où ? Du désert mouhahahahaha !

-il se trouve que j’arrive du désert oui mais vos capacités cérébrales laissant a désirer je ne sait pas si vous pouvez le comprendre…

Le soldat à la mine farouche parût se renfrogner :

-ouais ouais bon ça va je retourne a mon poste…

Puis le nain se mit a penser (ce qui était plutôt rare oui euh non là je rigole hein !)

-Avalone…seigneur mon équipement ! Aux portes !


4| La mort

Les premiers Avaloniens étaient là dans la plaine, certains sous des tentes de fortune, assis à même le sol à rire et à patienter en attendant les ordres. Le jeune nain les voyait comme s’ils étaient en face ! Déjà les premiers étendards étaient agités mais il en fallait plus pour impressionner Aestel … ainsi la défense commençât a se mettre ne place, une tour de fortune par ci une barricade par là, les soldats Aotiens étaient sous tension et la peur pouvait se lire sur leurs visages mais les généraux les incitaient au courage et a la bravoure. Pendant ce temps eux les soldats Avaloniens, les vils ennemis buvaient et rigolaient. Si il s attaquaient aussi pleins de bière que ça la victoire serait simple !
Mais non il n’y eut pas de victoire simple, juste des morts et des blessés et du sang, du sang, des décilitres de sang versés pour la cruauté de l’homme, du sang partout du sang sur les blés, du sang sur les vêtements, du sang sur la peau, tout n’était qu’un déluge de rouge et de gris, le gris des armes, le gris des armure, le gris de la fumée des incendies provoqués par les guerriers, et le gris des cendres des corps jetés cruellement dans un brasier crépitant, on pouvait ça et là apercevoir des têtes tranchées les yeux exorbités dans un dernier râle de souffrance et partout les hommes pleurent et tentent d’éteindre le brasier de la guerre avec leurs armes, partout les homme pleurent les leurs et partout le sang a coulé.
Le jeune nain se relève difficilement après avoir été piétiné par une dizaine de chevaux d’Avaloniens fuyant le carnage et il tint ce langage au général le plus proche de lui :

« -Seigneur il nous faut rentrer avec le maximum de vivres et enterrer nos morts a l’intérieur des murailles ! ainsi nous pourrons tenir un long siège et avoir l’avantage du terrain et des murailles, et puis ce n’est pas nous les lâches mais eux qui se cachent derrière un fortin, dîtes aux prêtres de prier, au bûcherons de bûcheronner et aux fermiers de…Fermierer ? Enfin bon de produire des quoi nous nourrir…enfin ce ne sont que mes modestes conseils !

-Ainsi serait fait… »

Et ainsi fût fait,nous étions prêt a un siège de longs mois…

5| Le siège

A suivre


"je vais chercher le chapitre ceinq mais il sera difficile a obtenir..."


RE: approchez vous de la table et écoutez . . .

Tréjiah, qui ne faisait que passer dans une taverne ou se trouvaient en général des rumeurs rapides, n'eut pas le courage d'écouter jusqu'au bout. Peut-être que si c'était sur la place publique légendaire, il y prendrait plus de temps.


RE: approchez vous de la table et écoutez . . .

Trejiah
Tréjiah, qui ne faisait que passer dans une taverne ou se trouvaient en général des rumeurs rapides, n'eut pas le courage d'écouter jusqu'au bout. Peut-être que si c'était sur la place publique légendaire, il y prendrait plus de temps.


RE: approchez vous de la table et écoutez . . .

Castelnain, bien qu'assommé par la biere, assista a cet histoire:

"Bien, très bien!", s'entendit-il dire, "mon père lui, fut oblige de quitter sa mine. Tu as eu de la chance, j'en connait qui sont mort pour moins que ca..."


(hrp: tres bon RP, continue, tu m'epates..)


Tavernier, une biere pour le jeune et un tonneau pour moi!!


RE: approchez vous de la table et écoutez . . .

" eh bien mes seigneurs! voici la suite..."

3| La vie

Le jeune nain vivait, difficilement mais il vivait. Le petit être enchaînait les entraînements toujours plus intensifs, deux objectif, arriver a se battre convenablement et arriver a chevaucher convenablement et le deuxième était le plus difficile, en effet il n’avait qu’une connaissance très limitée en matière d’animaux de trait et autre et il avait du mal a imaginer qu’il pourrait un jour chevaucher sur un être vivant (mieux vaut vivant que mort)! Néanmoins les nombreuses leçon au sein d’Aestel lui enseignèrent les rudiments de l’équitation et surtout de la capture et du dressage des animaux (la seconde partie est de loin la plus délicate) en effet il est très difficile de capturer un animal sans le blesser, mais si on y parvient, il est environ deux fois plus difficile de le dresser convenablement sans avoir envie d’en faire un steak ou un méchoui. . .
Néanmoins son formateur lui dit un jour :

« -Bien ! Te voila prêt a affronter les cruels animaux de ce désert sans pitié (très rassurant comme vous pouvez le voir, en effet son formateur était aussi pessimiste qu’un templier d’Hécate)

- Vous êtes sur que c’est si dangereux que cela ? C’est que euhhh je veux juste un cheval !

-Ahhh mon ‘pti gars ici les chevaux ils sont différents de ton pays de nain de jardin, ici c’est pas des poneys…enfin bon bonne route

-groumfff nain de jardin nain de jardin…je t’en ficherai moi des nain de jardin ! »

Et sur ces sages paroles le nain prit ses maigres affaires et uniquement sa hache pour tenter de capturer ne serait-ce qu’une fourmi ou peut être un hanneton pour tenter de rentabiliser son stage de domptage…

Mais non, les dieux n’étaient pas avec lui aujourd’hui (hier non plus et avant-hier non plus, et ils ne le seraient certainement pas demain…) et il parvint qu’a se perdre dans l’immensité des dunes. Ce n’est qu’après 11546 pas et des poussière réalisés sous la chaleur (déjà que les nain on de petites jambes) sans une bonne bière imaginez l’état du pauvre nain en arrivant a Sa misérable chaumière… Mais quelle ne fût pas sa surprise que de voir une agitation toute particulière vers l’armurerie de la capitale ! Il se précipitât vers le plus proche guerrier et lui demandât le pourquoi de ce brouhaha…

« - Sieur Avalone est à nos portes ! Nous sommes attaqués ! Vous arrivez d’où ? Du désert mouhahahahaha !

-il se trouve que j’arrive du désert oui mais vos capacités cérébrales laissant a désirer je ne sait pas si vous pouvez le comprendre…

Le soldat à la mine farouche parût se renfrogner :

-ouais ouais bon ça va je retourne a mon poste…

Puis le nain se mit a penser (ce qui était plutôt rare oui euh non là je rigole hein !)

-Avalone…seigneur mon équipement ! Aux portes !


4| La mort

Les premiers Avaloniens étaient là dans la plaine, certains sous des tentes de fortune, assis à même le sol à rire et à patienter en attendant les ordres. Le jeune nain les voyait comme s’ils étaient en face ! Déjà les premiers étendards étaient agités mais il en fallait plus pour impressionner Aestel … ainsi la défense commençât a se mettre ne place, une tour de fortune par ci une barricade par là, les soldats Aotiens étaient sous tension et la peur pouvait se lire sur leurs visages mais les généraux les incitaient au courage et a la bravoure. Pendant ce temps eux les soldats Avaloniens, les vils ennemis buvaient et rigolaient. Si il s attaquaient aussi pleins de bière que ça la victoire serait simple !
Mais non il n’y eut pas de victoire simple, juste des morts et des blessés et du sang, du sang, des décilitres de sang versés pour la cruauté de l’homme, du sang partout du sang sur les blés, du sang sur les vêtements, du sang sur la peau, tout n’était qu’un déluge de rouge et de gris, le gris des armes, le gris des armure, le gris de la fumée des incendies provoqués par les guerriers, et le gris des cendres des corps jetés cruellement dans un brasier crépitant, on pouvait ça et là apercevoir des têtes tranchées les yeux exorbités dans un dernier râle de souffrance et partout les hommes pleurent et tentent d’éteindre le brasier de la guerre avec leurs armes, partout les homme pleurent les leurs et partout le sang a coulé.
Le jeune nain se relève difficilement après avoir été piétiné par une dizaine de chevaux d’Avaloniens fuyant le carnage et il tint ce langage au général le plus proche de lui :

« -Seigneur il nous faut rentrer avec le maximum de vivres et enterrer nos morts a l’intérieur des murailles ! ainsi nous pourrons tenir un long siège et avoir l’avantage du terrain et des murailles, et puis ce n’est pas nous les lâches mais eux qui se cachent derrière un fortin, dîtes aux prêtres de prier, au bûcherons de bûcheronner et aux fermiers de…Fermierer ? Enfin bon de produire des quoi nous nourrir…enfin ce ne sont que mes modestes conseils !

-Ainsi serait fait… »

Et ainsi fût fait,nous étions prêt a un siège de longs mois…

5| Le siège

A suivre


"je vais chercher le chapitre ceinq mais il sera difficile a obtenir..."


RE: approchez vous de la table et écoutez . . .

Galladryl sortit de la taverne. édité au tour 1218 par GalladryldeThyréa


RE: approchez vous de la table et écoutez . . .

Lovelace assis à une table voisine, déjà devenue bien joyeux sous l'influence de la boisson s'écria:

Bravo cher compteur nain! J ais fortement apprécier ton récit, celui ci m a même bien assécher le gosier!
Aller, je me dois de fêter et de célébrer ton talent!

Lovelace se retourna vers le tavernier, et déclara: Ola tavernier! 1 grandes chope de votre meilleure bière naine!

Sur ce Lovelace but a la santé du nain, et luis souhaita longévité et prospérité.


RE: approchez vous de la table et écoutez . . .

Je ne suis pas de coutume inspiré d'ecouter les tranches de vies d'ivrognes patentés.

Mais continuez donc...